OCCURRENCE: | 305676 accreditee |
CONTEXTE: | Dans la cinquième histoire, Mlle de l’Epine répond à la déclaration de Des Prez. |
COTEXTE ET CITATION: | « Nous ne sommes pas nés l’un pour l’autre. Quoique je sois d’une bonne maison, elle n’approche point de la vôtre en France. Le bien vous met cent piques au-dessus de moi ». |
NOTES: | Page 291. |
SOURCE: | Challe Robert, Illustres Françaises (Les). Paris: Le Livre de Poche, 1996.Éd. Fr. Deloffre et J. Cormier |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 103928 accreditee |
CONTEXTE: | Pontis, engagé près de Verdun dans un bois peu sûr avec un chanoine, est attaqué par six ou sept voleurs. |
COTEXTE ET CITATION: | [...] Nous lachâmes nos chevaux, et me serrant dos à dos avec le chanoine, je [lui] dis de ne point me quitter, et de se défendre ave son épée du mieux qu'il le pourroit [...] Ils nous tirèrent d'abord quelques coups de fusil dont le chanoine seul fut blessé à la cuisine ; mais la chaleur du combat l'empêcha de le sentir : car il se défendait de son côté avec une ardeur incroyable, ayant sur lui une ceintrure de trois cents pistoles, qui lui fournissait un merveilleux courage. |
NOTES: | [(Page& Tome) 83, XXXI] Dans Mémoires de Gaston, duc d`Orléans, collection des mémoires relatifs à l'histoire de France, M. Petitot, Paris, 1824, XXXI, p. 83. |
SOURCE: | Gaston, duc d'Orléans?, Mémoires de Gaston, duc d'Orléans. M. Petitot: Paris, 1824. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 103192 chantier |
CONTEXTE: | Philippe II prend pour femme la fiancée de son fils Dom Carlos, Elisabeth de France, fille de Henri II. |
NOTES: | [(Page) 271-2] |
SOURCE: | Anonyme, Dom Carlos, nouvelle historique. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104982 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Les deux rivaux s'y trouverent [au bal], et s'y étant querellez je ne sçai comment, noüerent une partie pour le lendemain au dessus de Ville-neuve. Le combat fut sanglant, deux seconds y furent tuez, et la partie du Comte bien blessée, ce qui produisit deux effets tres-fâcheux; l'un que le Roy ayant renouvellé ses Edits contres les duels, il n'y eut plus de seureté pour mon pauvre Amant à demeurer en France, et l'autre que l'éclaircissement du sujet de ce duel, fit connoître à la Dame d'Englesac, que la haine d'Entre son fils et moi n'étoit qu'un jeu concerté. |
NOTES: | [(Page) 37] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. Paris: 1671-72. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104054 accreditee |
CONTEXTE: | La dame à qui la fille du comte d'Anjou et sa suivante ont demandé l'aumône leur donne volontiers l'hospitalité car elle reconnaît qu'elles sont de noble origine.p. 34, v. 1087-93. |
COTEXTE ET CITATION: | Ainz estes, si con je devine, De grant lieu et de France orine : Bien le semble a vostre viaire Qui tant est douz et debonnaire, Et vo simple contenement Moustre certain ensaignement Que de haut lieu estes estrecte. Ainsi, vous êtes, je le devine, de haut parage et de noble origine. Cela transparaît dans votre visage qui est si doux et de bon air (de bonne race). Et votre simple maintien, à lui seul, renseigne avec certitude que vous êtes de haute extraction. |
NOTES: | Page 34, v. 1087] Voir aussi p. 40, v. 1282 ; 59, v. 1926 ; 68, v. 2201. Traduction de Françoise Denis. |
SOURCE: | Maillart (Jehan), Roman du comte d'Anjou (Le). Mario Roques, Champion: Paris, 1964. |
CHERCHEUR/E: | , Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104010 accreditee |
CONTEXTE: | Une femme fait circuler la rumeur que la princesse Marie était devenue impuissante, cela afin d'empêcher le mariage de celle-ci. |
COTEXTE ET CITATION: | Pour se justifier dans le monde de l'opposition qu'elle formait au mariage de la princesse Marie envers ceux qui le souhaitaient, elle faisoit en même temps dire partout que la princesse Marie étoit devenue impuissante par les remèdes que Sevirni, médecin chimique, lui avoit donnés pour la guérir de la grande maladie dont elle étoit relevée peu de temps auparavant. |
NOTES: | [(Page& Tome) XXXI] Dans Mémoires de Gaston, duc d`Orléans, collection des mémoires relatifs à l'histoire de France, M. Petitot, Paris, 1824, XXXI |
SOURCE: | Gaston, duc d'Orléans?, Mémoires de Gaston, duc d'Orléans. M. Petitot: Paris, 1824. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | TT104012 CHANTIER |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | La princesse Marie est accusée d'impuissance suite au traitement médical qu'elle a dû subir pour 'une grande maladie'. |
NOTES: | Dans Mémoires de Gaston, duc d`Orléans, collection des mémoires relatifs à l'Histoire de France, M. Petitot, Paris, 1824, XXXI |
SOURCE: | Gaston, duc d'Orléans?, Mémoires de Gaston, duc d'Orléans. J. Caffin et Fr. Pleignard: Lyon, 1628. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 103730 accreditee |
CONTEXTE: | Évocation de la situation dans les villes et les provinces de France à la suite des guerres de religion. |
COTEXTE ET CITATION: | Le glaive y exerçait alors sa cruauté partout. Le père n'y épargnait pas le sang de son propre fils, ni le fils celui de son propre frère. Le zèle inconsidéré de religion animait les plus chers amis les uns contre les autres. |
NOTES: | [(Page & Histoire) 203, VI] Leitmotiv du zèle inconsidéré de la religion et transgression de la loi sacrée de la vie et des liens du sang. |
SOURCE: | Rosset (François de), Histoires mémorables et tragiques de ce temps...(Les). 1614 (aucun ex. connu): .(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Vaucher A. |
OCCURRENCE: | 104100 accreditee |
CONTEXTE: | Quand Sylvie apprend à Englesace qu'elle veut qu'il parte de la maison de Menèze, Englesac menace de rentrer en France. |
COTEXTE ET CITATION: | Pour vous épargner les remords d'une infidélité que je n'eusse osé soupçonner en une ame comme la vôtre, il en faut étouffer le souvenir dans mon sang. |
NOTES: | [(Page) 73] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. Paris: 1671-72. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104018 chantier |
CONTEXTE: | Un courrier heurte dans la nuit un valet venant en sens inverse qui ne conduit pas bien sa monture. Après les inévitables horions, le courrier s'aperçoit que le maître du valet qui chevauchait devant, est celui auquel il doit remettre la dépêche. |
NOTES: | [(Page&tome) 383, XXXI] Dans Mémoires du Sieur de Pontis, Collection des Mémoires relatifs à l'histoire de France, éd. Petitot, Paris, Foucault, 1824, Tome XXXI, p 383 |
SOURCE: | Potocki (Comte), Manuscrit trouvé à Saragosse (Le). 1805.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 100390 chantier |
CONTEXTE: | La mère de Virginie épouse M. de La Tour qui n'est pas gentilhomme. Il doit chercher fortune en Ile de France. |
NOTES: | [(Page) 81] |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Paul et Virginie. 1788.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103244 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur fait des allusions à la situation politique en France, en l'an 159, mais il camoufle les noms des personnages et les noms de lieu. Ainsi le personnage de Cléophon est en réalité Henri III, celui d'Alexandre est Henri IV ; la ville de Massalie est Marseille et la Perse est en fait la France. |
COTEXTE ET CITATION: | P. 271 : <CITATION>Il y avait en ce temps à Massalie [en fait Marseille] de grandes séditions. CITATION>P. 263 : <CITATION>La Perse [en fait la France] battue depuis quarante ans de tant d'orages CITATION>. <CITATION> Cléophon [en réalité Henri III] avait reçu des témoignages de rébellion. Alexandre [en fait Henri IV] reçoit de Paris des témoignages de fidélité CITATION>. |
NOTES: | [(Page & Histoire) 271 & 263, XI] |
SOURCE: | Rosset (François de), Histoires mémorables et tragiques de ce temps...(Les). 1614 (aucun ex. connu): .(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | De Vauchet A. |
OCCURRENCE: | 105168 accreditee |
CONTEXTE: | Le libertinage de Mme de Merteuil est publiquement dévoilé. Le châtiment qui la frappe est sans appel : ruine, chassée hors de France, défigurée par la peite vérole. |
COTEXTE ET CITATION: | Note à la dernière lettre du recueil : "nous ne pouvons pas dans ce moment, ni donner au Lecteur la suite des aventures de mademoiselle de Volanges, ni lui faire connaître les sinistres événements qui ont comble les malheurs ou achève la punition de madame de Merteuil." |
NOTES: | [(Page & Lettre) 19] |
SOURCE: | Laclos (Choderlos de), Liaisons dangereuses (Les). Paris: Gallimard (Pléiade), 1979.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Coulet H. |
OCCURRENCE: | 103068 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur décrit la révolte qui gronde en France. |
COTEXTE ET CITATION: | <CITATION>Les orages qui avaient battu continuellement la France ... cédaient à la bonace (?) que le ciel lui envoyait CITATION>. |
NOTES: | [(Page & Histoire) 482, XXIII] |
SOURCE: | Rosset (François de), Histoires mémorables et tragiques de ce temps...(Les). 1614 (aucun ex. connu): .(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | De Vauchet A. |
OCCURRENCE: | 104822 accreditee |
CONTEXTE: | Uranie passe pour morte en France. |
COTEXTE ET CITATION: | Je n'ai pu me dérober à la tyrannie de mes parents, que par les apparences de ma mort. |
NOTES: | [(Page) 586] Slatkine : 2,274 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Nouvelles afriquaines (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21.12 tomes? |
CHERCHEUR/E: | Gusto K., Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 103242 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur fait des allusions précises à la situation politique en France, en l'an 1594. Ainsi le personnage de Cléophon est en réalité Henri III, celui d'Alexandre est Henri IV; la ville de Massalie est Marseille et la Perse est en fait la France. |
COTEXTE ET CITATION: | P. 271 : Il y avait en ce temps à Massalie [en fait Marseille] de grandes séditions.[...]" P. 263 : La Perse [en fait la France] battue depuis quarante ans de tant d'orages. Cléophon [en réalité Henri III] avait reçu des témoignages de rébellion. Alexandre [en fait Henri IV] reçoit de Paris des témoignages de fidélité. |
NOTES: | [(Page & Histoire) 271, XI] |
SOURCE: | Rosset (François de), Histoires mémorables et tragiques de ce temps...(Les). 1614 (aucun ex. connu): .(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | De Vauchet A. |
OCCURRENCE: | 100864 accreditee |
CONTEXTE: | La mère reconnaît sa fille à l'anneau et au tissu de soie avec lesquels elle l'avait abandonnée. |
COTEXTE ET CITATION: | L'anel li a dunc aporté e ele l'a mult esguardé. El l'a tresbien reconneü e le paile qu'ele a veü. Ne dute mes, bien set et creit que li Fraisnes sa fille esteit. Elle apporte l'anneau, que la dame examine et qu'elle reconnaît aussi bien que l'étoffe qu'elle vient de voir. Elle n'a plus aucun doute, elle est sûre que Frêne est bien sa fille. |
NOTES: | Marie de France, Lais, Le Fraisne / Le Frene, v. 441-60; p.110-111; Ed. et trad. Laurence Harf-Lancner, Le livre de poche, 1990 (No.4523). L'édition des lais anonymes est la suivante: ed. et trad. Alexandre Micha, Lais feeriques des XIIe et XIIIe siecles, Paris, Garnier-Flammarion, 1992. |
SOURCE: | Marie de France, Lanval. Paris: Lettres gothiques, 1990.Texte édité par Karl Warnke. Trad.: Laurence Harf-Lancner,Paris, Lettres Gothiques,1990. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305964 accreditee |
CONTEXTE: | Après vingt deux ans d'exil en Allemagne, Girart et Berthe décident de repartir pour la France déguisés en pèlerins. |
COTEXTE ET CITATION: | Au digos de la Cene, sembant romeu, Erberjat a Orlins chiez l’oste Erveu. Le Jeudi Saint, sous l’apparence d’un pèlerin, il se logea à Orléans chez l’hôtelier Hervieu. |
NOTES: | Page 582-83, v. 7774-75. |
SOURCE: | Anonyme, Girart de Roussillon. Paris: Livre de poche, Lettres gothiques, 1993.Édition de W.M. Hackett (1953-55) Traduction de Micheline de Combarieu du Grès et Gérard Guiran. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 102640 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Ce fût de là que prit naissance cette fameuse guerre des Guelphes, et des Gibelins, qui a si long-temps desolé l'Italie, et qui a divisé tous les Potentats de l'Europe. Le prétexte public de cette sédition fur le refus que le S. Pere avoit fait à l'Empereur de l'Evesché de Ravenne pour le plus cher de ses favoris: Mais le motif secret fut le mépris de Constance pour l'amour de Frederic; et cette passion s'étant tournée en rage, par la piece que la fine None avoit faite au credule Empereur, on ne sçauroit assez bien exprimer les effets que cette rage produisit. Rome pliée, le Pape contraint d'abandonner le S. Siege pour chercher un axile en France, des Anti-papes éleus, les foudres de l'Eglise esté les suites funestes d'un amour si fatal. |
NOTES: | [(Page & Tome) 187-9, 2] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Annales galantes (Les). 1670. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305912 accreditee |
CONTEXTE: | À la cour du roi de France, Gérard chante son amour pour son amie Euriaut. Son succès suscite l'envie de certains chevaliers, notamment de Lisiart qui, pris de haine, va se venger en créant le doute sur la fidélité de la jeune fille. |
COTEXTE ET CITATION: | Tels i ot ki en ont envie De son solas et de sa vie ; Et pour chou que il se deduit, En avoit a la court plus d'uit, Cui il anoie tant et grieve, K'a poi ke li cuers ne lor crieve ; Mais sour tous poise Lisïart, Qui molt fu fel et de mal art. |
NOTES: | Pages 12-13, v. 241-248. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, Roman de la Violette. Paris: H.Champion, 1928.Edition Douglas Labaree Buffum |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 103484 chantier |
CONTEXTE: | Don Juan d'Autriche, fils naturel de Charles Quint, tombe amoureux de la reine Elisabeth de France. Cela déplaît fort à la reine et à don Carlos (pour des raisons différentes, s'entend). |
NOTES: | [(Page) 288] |
SOURCE: | Anonyme, Dom Carlos, nouvelle historique. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103236 accreditee |
CONTEXTE: | Le pouvoir monarchique a peur de l'information clandestine distribuée par les libelles protestants. |
COTEXTE ET CITATION: | P. 499 : "Toutes ces rumeurs, toutes ces allumettes de sédition et tous ces écrits pernicieux et dignes de châtiment que l'on publiait [...]" P. 482 : "Les orages qui avaient battu continuellement la France... cédaient à la bonace(?) que le Ciel lui envoyait." |
NOTES: | [(Page & Histoire) 482 & 499, XXIII] |
SOURCE: | Rosset (François de), Histoires mémorables et tragiques de ce temps...(Les). 1614 (aucun ex. connu): .(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | De Vauchet A. |
OCCURRENCE: | 103932 accreditee |
CONTEXTE: | Un jeune gentillhomme se conduit de manière indigne de son rang. |
COTEXTE ET CITATION: | [Il a pour]<CITATION> inclination malheureuse et tout-à-fait indigne de sa naissance CITATION> d'aller le soir au coin d'une rue attendre quelqu'un qui passât, prenant un singulier plaisir à lui allonger un coup d'épée et à le blesser par pure malice [...] l'on vint me dire qu'il avoit blessé un avocat, une femme et un autre homme. |
NOTES: | [(Page& Tome) 256, XXXI] Dans Mémoires de Gaston, duc d`Orléans, collection des mémoires relatifs à l'histoire de France, M. Petitot, Paris, 1824, XXXI |
SOURCE: | Gaston, duc d'Orléans?, Mémoires de Gaston, duc d'Orléans. M. Petitot: Paris, 1824. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 101060 accreditee |
CONTEXTE: | Le fidèle ami de Des Grieux, Tiberge, fait un long voyage pour soutenir le héros dans sa douleur lors de la mort de Manon. |
COTEXTE ET CITATION: | "Ce fidèle ami me remit de loin, malgré les changements que la tristesse avaient fait sur mon visage. <CITATION>Il m'apprit que l'unique motif de son voyage avait été le désir de me voir CITATION>et de m'engager à retourner en France; qu'ayant reçu la lettre que je lui avais écrite du Havre, il s'y était rendu en personne<CITATION> pour me porter les secours que lui demandaisCITATION>." |
NOTES: | [( Page & Partie) 203] Edition Classiques Garnier |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut. Garnier/Deloffre-Picard: Paris, 1990. |
CHERCHEUR/E: | Landry L., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103930 accreditee |
CONTEXTE: | Un jeune gentilhomme, cadet dans le régiment des Gardes s'amuse à embusquer des innocents. |
COTEXTE ET CITATION: | [Il a pour] inclination malheureuse et tout-à-fait indigne de sa naissance d'aller le soir au coin d'une rue attendre quelqu'un qui passât, prenant un singulier plaisir à lui allonger un coup d'épée et à le blesser par pure malice [...] l'on vint me dire qu'il avoit blessé un avocat, une femme et un autre homme. |
NOTES: | Dans Mémoires de Gaston, duc d`Orléans, collection des mémoires relatifs à l'Histoire de France, M. Petitot, Paris, 1824, XXXI p 83 |
SOURCE: | Gaston, duc d'Orléans?, Mémoires de Gaston, duc d'Orléans. M. Petitot: Paris, 1824. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 104008 accreditee |
CONTEXTE: | Un soldat doit porter un message lors du blocus de l'île de Ré. Lors de sa traversée à la nage vers le continent, il doit se battre avec les poissons. |
COTEXTE ET CITATION: | [Il] disoit <CITATION> avoir eu encore plus de peine à se defendre des poisoons qui se colloient à tous moments à son estomac et à ses cuisses CITATION>, ayant les mains continuellement occupées à les arracher. |
NOTES: | [(Page& Tome) 80, XXXI] Dans Mémoires de Gaston, duc d`Orléans, collection des mémoires relatifs à l'hisoire de France, M. Petitot, Paris, 1824, XXXI, p. 80 |
SOURCE: | Gaston, duc d'Orléans?, Mémoires de Gaston, duc d'Orléans. M. Petitot: Paris, 1824. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 100640 chantier |
CONTEXTE: | L'Espagne décide de faire enlever Jeanne d'Albert et son fils, le futur Henri IV, à la fois pour empêcher Jeanne de donner suite à ses prétentions sur la Haute-Navarre et pour aider le parti catholique en France. Le capitaine Dominique, chargé de l'opération, tombe malade à Madrid. Pour témoigner sa reconnaissance à un Français de la suite de la reine qui lui a rendu la santé, il lui revèle le complot ourdi par le roi. La reine prévient Jeanne d'Albert, avec qui elle est très liée, et le complot échoue. |
NOTES: | [(Page) 301-304] |
SOURCE: | Anonyme, Dom Carlos, nouvelle historique. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305965 accreditee |
CONTEXTE: | La reine reconnaîtra l’anneau qu’elle avait donné à Girart en gage d’amour et lorsqu’il le lui montrera lorsqu’elle se rendra à l’église pour la procession du Vendredi saint, elle comprendra qu’il s’agit de lui. |
COTEXTE ET CITATION: | Baille li ist anel qu’eu te dirai, Qu[e] ele vos donet de cor verai A tot sa druerie, veient Gervai El gonfanon de France e Bertelai. Tu lui montreras l’anneau que je vais te remettre : c’est celui qu’elle t’avait donné d’un cœur sincère, avec son amour, en présence de Gervais, le gonfalonier de France, et de Bertolais. |
NOTES: | Page 584-85, v. 7806-09. |
SOURCE: | Anonyme, Girart de Roussillon. Paris: Livre de poche, Lettres gothiques, 1993.Édition de W.M. Hackett (1953-55) Traduction de Micheline de Combarieu du Grès et Gérard Guiran. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 102648 accreditee |
CONTEXTE: | Par vengeance contre la reine qui veut le contraindre à se lier définitivement à une épouse devenue odieuse, le maréchal de Bellegarde fait eprdre à la France le marquisat de Saluces. |
COTEXTE ET CITATION: | Ainsi ce même amour, qui dans la premiere Partie de cet Ouvrage a produit les semences de la Ligue, met dans celle-ci un obstacle secret à la Paix generale du royaume, et nous a coûté une étendue de terre qui ne pourroit être reconquise qu'au prix de beaucoup de sang, et de beaucoup de travaux. |
NOTES: | Page 117 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Désordres de l'Amour (Les). Micheline Cuénin, Droz: Genève, 1995. (seconde éd. augmentée) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104078 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Ce qu'on appelle le point d'honneur, est un Tyran plus cruel pour les braves gens, que les passions les plus violentes. Alibirond étoit en vain attaché à la Cour de France par un amour aussi tendre que constant. Une rencontre en forme de duel l'en arracha, et il voyagea longtemps comme un Chevalier errant dans la plus belle et la plus grande partie de l'Europe. |
NOTES: | [(Page) 475] Slatkine vol 2, p. 247 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Nouvelles afriquaines (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21.12 tomes? |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 200177 accreditee |
CONTEXTE: | Le roi de France récompense ceux qui ont aidé Jehan et Blonde. |
COTEXTE ET CITATION: | Frere le conte o lui s’en vont, Car de sa menie esté ont Tant comme il furent escuier, Aussi furent il chevalier, Tant que bien leur guerredona : Femmes et tere leur donna, Dont il furent riche et manant. Les nouveaux chevaliers, frères du comte, suivirent le roi, car ils avaient appartenu à sa maison du temps où ils étaient écuyers et y restaient maintenant en tant que chevaliers. Le roi les en récompensa largement en leur donnant femmes et terres, ce qui en fit de riches seigneurs. (196) |
NOTES: | P. 181, vv. 6079-6085 |
SOURCE: | Philippe de Rémi, Jehan et Blonde. Champion: Paris, 1984.Edition Sylvie Lécuyer |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305599 accreditee |
CONTEXTE: | Floripas, la fille de l’amirant, proclame son amour pour Gui de Bourgogne qu'elle estime pour sa grande valeur. |
COTEXTE ET CITATION: | «Signeur», dist Floripas,« or dirai mon pensé». «.I. chevalier de France ai lontans enamé” «Guis a nom de Borgoigne, moult i a bel armé; «Parens est Karlemaine et Rollant l’aduré. «Dès que je fui à Romme, m’a tout mon cuer emblé; «Quant l’amirans mes peres fist gaster la cité, «Lucafer de Baudas abati ens ou pré, «Et lui et le ceval, d’un fort espiel quarré. «Se cis n’est mes maris, je n’arai homme né; «Pour lui voel je croire ou roi de sainte maïsté». «Seigneurs», dit Floripas, «je vous dirai ce que je pense. J’aime depuis longtemps un chevalier de France. Il s’appelle Gui de Bourgogne et il porte bien ses armes. Il est parent de Charlemagne et du vaillant Roland. Dès mon séjour à Rome, il m’a dérobé mon coeur. Quand mon père l’amiral fit ravager la cité, Gui a abattu d’un gros épieu carré Lucifer de Baudas et son cheval. S’il ne devient mon mari, je n’en épouserai aucun autre. Pour lui, je veux croire au Dieu de sainte majesté». (ma traduction). |
NOTES: | P.68, vers 2236-2245. |
SOURCE: | Anonyme, Fierabras. Paris: F. Didot, 1879.Edition de Gaston Raynaud |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305600 accreditee |
CONTEXTE: | Landri s’est mis au service de l’empereur de Constantinople et vient d’être victorieux contre les païens. Salmandrine, la fille de l’empereur de Constantinople, est amoureuse du jeune guerrier et indique sans ambages ses préférences à son père. |
COTEXTE ET CITATION: | Dès ores vueil je, pere, que me donés mari. Ce soldoier de France c’om apele Landri. Aquitée a la terre et trestot le pais; l n’est tel hom ou monde por ses armes servir. «Dès maintenant, mon père, je veux que vous me donniez pour mari ce chevalier de France qui est à votre service et qu’on appelle Landri. Il a délivré la terre et tout le pays. Il n’y a meilleur homme au monde pour se servir de ses armes» (ma traduction). |
NOTES: | P.56, vers 1457-1460. |
SOURCE: | Anonyme, Doon de la Roche. Paris: H.Champion, 1921.Edition de Paul Meyer et Gédéon Huet. |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305609 accreditee |
CONTEXTE: | A la mort du père d’Ille, Hoël en profite pour s’emparer des terres qu’il convoite. Dépouillé de tout et sans défense de la part de son seigneur, Ille s’en va chercher aventure ailleurs. |
COTEXTE ET CITATION: | Illes n’ot adont que .X.ans. Por le pere, qui si fu preux, Le het Oiaus o ses neveus ; [Mais ne li mostroit tant ne quant. Or le violt mostrer son enfant.] De totespars li corent seure ; Ille escillierent li baron. Onques del frer Galeron, Del foible duc, ne fu tensés. Et li varlés s’est porpensés Qu’il en ira au roi de France. Cele part vait sans demorance Ille n’avait alors que dix ans. Les éminentes qualités de son père avaient attiré sur lui la haine d’Hoël et de ses neveux ; une haine qu’Hoël dissimulait soigneusement au père, mais qu’il veut maintenant manifester au fils. De tous côtés, l’on fond sur lui, et on l’a vite anéanti. Les barons dépouillent Ille, sans que le frère de Galeron, le faible duc, intervienne pour le protéger. Le jeune garçon décide alors de se rendre auprès du roi de France et se met aussitôt en chemin. |
NOTES: | P. 35-36, vers 150-160. |
SOURCE: | Gautier d"Arras, Ille et Galeron. Paris: H.Champion, 1988.Edition Yves Lefèvre. Traduction Delclos et Quereuil, Paris, Champion, 1993 |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305610 accreditee |
CONTEXTE: | Aiol, le fils d’Elie, part en France pour reconquérir son héritage, dont le roi Louis, sur les conseils du traître Makaire, a dépossédé son père, qu'il a exilé, malgré les services rendus contre les Sarrasins. C’est le commencement de ses aventures. |
COTEXTE ET CITATION: | Loeys li fieux Karle mal gueredon l’en fist : Il li toli sa tere et chou qu’il dut tenir, Et le cacha de France a paine et a essil Par le conseil Makaire,[…]. «-E dieus che dist Elie[s], molt par es ber! «Bien sai qu’encore arai mes iretés «Par mon enfant Aiol[s] c’ai engendré». «-Ch’arés mon, dist Aiols, vos les rarés, «De chou vos tous raseurés: «Se Dieux me maine en France a saveté «Que al roi Loeys puisse parler, «Ançois que vos voiés [tout] cest an passer, «Les vos voil toutes rendre et aquiter». Le fils de Charles, Louis, lui en donna une bien mauvaise récompense: il lui enleva sa terre et tous les biens qu’il aurait dû tenir, et le chassa de France en exil, sur le conseil de Makaire[…] - «Eh, Dieu», dit Elie, «tu [Aiol] es brave et noble! Je sais bien que je vais rentrer en possession de mon héritage, grâce à mon fils Aiol, que j’ai engendré». - «Vous aurez cela assurément. Vous le posséderai à nouveau», dit Aiol. «De cela, soyez tous rassurés: si Dieu me mène en France sain et sauf, et si je peux parler au roi Louis, je veux tout vous faire rendre et livrer avant la fin de l’année». (ma traduction) |
NOTES: | P. 2, vers 44-47 ; p. 10, vers 312-320. |
SOURCE: | Anonyme, Aiol. Paris: Didot, 1877.Edition Jacques Normand & Gaston Raynaud |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305655 accreditee |
CONTEXTE: | Après bien des aventures, Jehan, devenu roi de France, épouse la fille du roi d’Espagne qui lui avait été promise dès l’enfance. |
COTEXTE ET CITATION: | Grant joye s’entrefirent les deux amans, et firent de beaux passetemps durant la nuyt, comme vos aultres, jeunes gens que bien aiymez quelque belle jeune ville, quant la povez tenir entre voz bras: Dieu scet le plaisir et la joye que vous avez. Si l’engrossa celle nuyt le roy d’un beau filz, que despuis fut roy de France. |
NOTES: | P. 757 |
SOURCE: | ANONYME, Roman de Jehan de Paris. Paris: La Pleiade, .Gallimard, 1952.Edition de Albert Pauphilet dans Poètes et Romanciers du Moyen Age. |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305684 accreditee |
CONTEXTE: | Milon et son gouverneur Guinemant, en fuite déguisés en pèlerins, sont hébergés chez un bourgeois de la ville de Vierzon en se faisant passer pour père et fils. Milon ne peut cacher sa noblesse, ce qui éveille la méfiance de leur hôte qui fait part de ses soupçons à sa femme. |
COTEXTE ET CITATION: | "Dame, dit li prevoz, escoutez que je di : Veez vous cel valet que ci a cler le vix ? Bien samble jantil home que de bon leu issi, Fil a conte ou a duc, ou a .I. haut marchis ; Onques icil villars qui l'a amenei ci Ne li apartint onques, par foi le vous afi." |
NOTES: | Page 96, v. 907-912. À leur retour en France, le roi devine leur noblesse sous leur habit de pèlerins (p. 160). |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. Paris: Honoré Champion, 2002.Édition de Jean-Pierre Martin |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305757 accreditee |
CONTEXTE: | Le serviteur chargé de guider un marchand de Lucques à travers la France pour le conduire à Rouen, ne résiste pas à la tentation de le tuer pour le voler. |
COTEXTE ET CITATION: | Cettuy-ci sçachant que le Lucquois estoit chargé beaucoup d'or & de bons papiers, fut sollicité par celuy qui tente, d'attenter sur la vie de ce marchand, & de faire sa fortune de sa despoüille. Et de faict, il executa son mauvais dessein sur la montaigne d'Argentueil, favorisé de la solitude du lieu, comme aussi du mauvais temps & de la pluye qui faisoit lors qu'il commit ce meurtre. |
NOTES: | Page 60. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305798 accreditee |
CONTEXTE: | Deux rivaux se battent en duel pour la main de Theodosia. |
COTEXTE ET CITATION: | Vous jugez bien qu'à la mode de la France de semblables differents se decident par les couteaux. Il en fallut venir là, & le Comtin avec toute son addresse & sa valeur n'eut pas du bon. Sainct Pancrace le vainquant, lui ostant ses armes, & le laissant sur le champ percé de blessures, dont il mourut trois jours apres. |
NOTES: | Page 89. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305800 accreditee |
CONTEXTE: | Le baron de Saint-Pancrace a tué en duel l'ancien prétendant de sa fiancée, Theodosia. |
COTEXTE ET CITATION: | Ce fut au baron de sortir de la France, car la partie estoit trop forte contre lui. |
NOTES: | Page 89. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |