OCCURRENCE: | 104392 accreditee |
CONTEXTE: | Frédelingue est faible par sa situation de Français en Angleterre, de Paysan (déguisement) et bien sûr par sa blessure. |
COTEXTE ET CITATION: | "Quand il sut que j'étais blessé, je le vis s'alarmer pour moi et se donner tous les soins obligeants. Il me fit coucher ; car à peine pouvais-je me soutenir. On mit un appareil à ma blessure." |
NOTES: | [(Page& Partie) 214, IV] [ancien AIDE_DU_FAIBLE_AGRESSE]Voir aussi RECEVOIR_AIDE_D'ENNEMI |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 104656 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | [Dom Pèdre] "C'étoit Alphonse que cinq ou six hommes armez attaquoient, et alloient bien-tôt reduit à la derniere extrêmité de sa vie, si ne je fusse arrivé à son secours. Son courage augmenta quand il se vit secouru ; nous tuâmes trois de ces Assassins, et les autres prirent la fuite. Mais Alphonse fut si blessé, qu'il demeura évanoüi entre mes bras. Quand je le vis en cet état, je ne me souvins de rien, que de ce qu'il étoit frere d'Isabelle ; je courus à une fontaine qui étoit proche de nous, je lui jettaï de l'eau sur le visage, je banday deux playes qu'il avoit receue ; et le faisant porter à la maison d'un Paysan, je le fis revenir à lui. |
NOTES: | [(Page & Tome) 260\, 2] Cie des Libraires p. 529 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Nouvelles afriquaines (Les). Îuvres,Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21..(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104388 accreditee |
CONTEXTE: | Frédélingue, déguisé en Paysan, tente d'empêcher l'enlèvement de Misrie. |
COTEXTE ET CITATION: | Je reconnus Misrie qui se débattait entre les bras de l'inconnu. Hélas! Je me trouvais sans armes contre cinq hommes ; quel fruit pouvais-je tirer d'un désespoir inutile ? Je fis à mon tour des cris affreux et m'avançai sans connaître le danger auquel je m'exposais contre celui qui tenait Misrie. |
NOTES: | [(Page& Partie) 212, IV] Intervention vouée à l'échec puisque Frédélingue, déguisé en Paysan, n'a pas d'armes. [Voir aussi: AIDE_INEFFICACE PERDRE_SANG] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 102398 accreditee |
CONTEXTE: | le marquis de Saluce impose des épreuves à son épouse Grisélédis, la fille d'un pauvre Paysan pour éprouver sa fidélité et sa patience. Entre autres, il la chasse et la renvoie à sa ferme natale ; il fait semblant de se marier et lui demande de s'occuper des préparatifs. Elle accepte sans émotions apparente. |
COTEXTE ET CITATION: | <CITATION>En entendant la réponse de Grisélédis, le marquis s'étonne de son grand courage ; il admira sa grande fermeté, sa force de caractère et sa constance CITATION>, et fut pris de compassion pour les malheurs qu'il lui avait fait subir. |
NOTES: | [(Partie & Page) 196-201] |
SOURCE: | Pizan (Christine de), Cité des Dames (La). Stock Moyen-Age: Paris, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104390 accreditee |
CONTEXTE: | Frédélingue, déguisé en Paysan, tente d'empêcher l'enlèvement de Misrie. Intervention est vouée à l'échec car Frédélingue, en Paysan, n'a pas d'armes. |
COTEXTE ET CITATION: | Cet homme, surpris de l'audace que montrait un simple Paysan, tire son épée et m'en porte un coup qui arrête mon transport et me renverse de mon cheval. |
NOTES: | [(Page& Partie) 212, IV] [Voir aussi: AIDE_EVITER_ENLEVEMENT PERDRE_SANG] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 200223 accreditee |
CONTEXTE: | Edmond évoque dans une lettre à son frère le moment où enfant, il a appris à lire. |
COTEXTE ET CITATION: | <CITATION>« Tu t’en souviens ; quand nous allions à l’école, sous maître Jacques, j’eus le malheur d’apprendre à lire, à écrire et à jeter plus vite que toi […]CITATION>. Et là-dessus, nos pauvres père et mère (à bonne intention pourtant) me crurent fait pour devenir un docteur […] ; quand ils virent que je lisais tout couramment un livre latin en français, ils ne se sentirent pas de joie, et me destinèrent à être habitant des villes, pour y faire fortune. […] Oh la maudite facilité que j’eus donc là ! |
NOTES: | Rétif de La Bretonne, Nicolas, Le Paysan perverti, ou les dangers de la ville ; Histoire récente, mise au jour d’après les véritables lettres des personnages, 1776 ; édition utilisée : Lausanne, L’Age d’Homme, 1977, édition de François Jost, Lettre II, p.22 |
SOURCE: | Retif de la Bretonne, Le Paysan parvenu. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Ferrand N. |
OCCURRENCE: | 305728 accreditee |
CONTEXTE: | Adam, un misérable Paysan, tue ses enfants dans un accès de violence incontrôlée après avoir bu son salaire à la taverne. |
COTEXTE ET CITATION: | La fillette qui crut que ce fût cela qu'il cherchât, et qui pressée par la faim désirait à manger aussi bien que son frère, court à lui et lui en met un [couteau] entre les mains, duquel, saisi d'une rage diabolique et dénaturée, il l'égorgea sur le champ, comme aussi celui qui lui avait demandé du pain. Et non content de ce massacre, il en fit autant à un innocent qui dormait paisiblement dans le berceau. |
NOTES: | Page 92. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305744 accreditee |
CONTEXTE: | Hermas est un riche Paysan qui se méfie des gentilshommes qui font la cour à ses filles. |
COTEXTE ET CITATION: | Il y en eut un plus fin que les autres qui étant d'un quartier de la Guyenne assez éloigné, se déguisa en Paysan et vint au village de la demeure d'Hermas, feignant de chercher maître. |
NOTES: | Page 163. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305745 accreditee |
CONTEXTE: | Un riche Paysan rejette le sprétendants de ses filles qui sont de noble extraction mais de petite fortune. |
COTEXTE ET CITATION: | Le milord, dont nous voulons parler et que nous nommerons Hermas, se faisant sage aux dépends de l'exemple de son voisin, écartait un tas de cadets et de pêtits gentilhommeaux qui venaient mugueter ses filles à cause qu'ils sentaient la graisse de sa cuisine et qu'ils savaient que ce père aux écus leur donnerait un gros mariage. |
NOTES: | Page 162. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305746 accreditee |
CONTEXTE: | Mélinte, un jeune noble déguisé en Paysan pour séduire une des fille du riche Paysan Hermas, parvient à ses fins et se fait aimer de Dorille. |
COTEXTE ET CITATION: | Sous une promesse de mariage, il la fit mère, et cette qualité se rendit bientôt visible. |
NOTES: | Page 164. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |