OCCURRENCE: | 104200 chantier |
CONTEXTE: | Dans "l'attentat", un amoureux éconduit par une jeune fille séduit une domestique qui va l'aider à se cacher dans la chambre de sa maîtresse. |
NOTES: | [(Page & Chapitre & To) 428-439, II] |
SOURCE: | Camus (Jean-Pierre), Evénements singuliers (Les). J. Caffin et Fr. Pleignard: Lyon, 1628. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 104328 accreditee |
CONTEXTE: | En portant secours à sa fille, victime d'un enlèvement, Adislas, père de Parménie, se blesse mortellement. |
COTEXTE ET CITATION: | "<CITATION>De pareils ordres ne seront exécutés qu'après ma mortCITATION>, s'écria mon père, transporté de colère. Après ces mots, il se jeta sur ces ravisseurs l'épée à la main." "Il mourut de sa blessure." (p.163) |
NOTES: | [(Page& Partie) 162, III] La blessure est un accident, les ravisseurs ayant essayé de minimiser le combat. [possible aussi sous aider EVITER ENLEVEMENT ?] Voir aussi: MOURIR EN AIDANT AUTRUI |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 102394 accreditee |
CONTEXTE: | Ildegerte refuse de se venger de son époux qui l'a répudiée. Elle mènera une troupe à la guerre pour aider son ex-époux à sauver son trône. |
COTEXTE ET CITATION: | <CITATION> Il vaut mieux conserver toue la justice de mon côté que de partager sa faute en l'irritantCITATION>. |
NOTES: | [(Page) 3] |
SOURCE: | . |
CHERCHEUR/E: | , Godwin D. |
OCCURRENCE: | 100608 accreditee |
CONTEXTE: | Un garçon de 15 ans salit la robe d'une dame. L'aide est ici inutile. Ce jeune garçon est mort. Impuissance. |
COTEXTE ET CITATION: | Ce mari, ou bien un parent, ou peut-être un inconnu, la suivait ; il applique un coup de bâton d'épine sur la tête du jeune garçon, et le renverse. J'accours. Il était sans mouvement, la tempe ouverte. J'appelle. |
NOTES: | [(Page & Nuit) p71 33e Nuit] Ce narrateur reviendra souvent sur le sentiment d'impuissance éprouvé lorqu'il ne peut aider quelqu'un. |
SOURCE: | Rétif de la Bretonne, Nuits de Paris (Les) ou le spectateur nocturne. 1691.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Meljac S. |
OCCURRENCE: | 102690 accreditee |
CONTEXTE: | C'est la première fois que le lion aide celui qui lui a sauvé la vie. II devient dès lors l'auxilliaire précieux d'Yvain. Il symbolise aussi le Bien. |
COTEXTE ET CITATION: | A chest coup li leons se creste ; De son seignor aidier s'apreste, Si saut par ire et par grant forche Et ront et fent comme une escorche Seur le gaiant le pel velue. A ce coup , le lion se hérisse. Il s'apprête à aider son maître, et bondit plein de colère et de toute sa force, rompant et déchirant comme il le ferait d'une écorce la peau velue que portait le géant. |
NOTES: | [(Vers & Page) pp. 310-311, vv. 4213-4217. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Chevalier au lion. Livre de poche, Lettres gothiques: Paris, 1994.Edition et traduction de David Hult |
OCCURRENCE: | 103438 accreditee |
CONTEXTE: | Un domestique est engagé par Guirlane pour l'aider à fuir loin de son mari. Le domestique non seulement n'aide pas Guirlane mais lui vole ses bijoux, la laissant encore plus démunie qu'auparavant. |
COTEXTE ET CITATION: | Donnez-moi tous vos bijoux et devenez ce que vous pourrez. |
NOTES: | [(Page& Partie) 251, IV] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 104352 accreditee |
CONTEXTE: | Récit de Parménie. |
COTEXTE ET CITATION: | "Ah ! seigneur, lui dit-elle, vous êtes blessé: [...] nous vous donnerons du secours." |
NOTES: | [(Page& Partie) 137-8, II] Voir aussi sous: aider BLESSE |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 102922 accreditee |
CONTEXTE: | L'aide est ici donnée par personne interposée. Le sauveteur est un marchand puissant qui donne l'ordre d'aider Misric. |
COTEXTE ET CITATION: | "[...] Vit la violence avec laquelle les deux sauvages m'obligeaient à les suivre. <CITATION>Il ordonna sur le champ qu'on punit ces malheureux CITATION>." |
NOTES: | [(Page& Partie) 247, IV] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 105264 chantier |
CONTEXTE: | Mle d'Hennebury hésite à épouser Olsignham parce qu'elle a honte de demander la permission de la Reine. Elle finit par épouser Estramène pour cacher à la Reine le fait qu'elle a hésité. La reine découvre la vérité et fait des reproches à la jeune mariée parce que la Reine a toujours voulu l'aider. |
NOTES: | Mlle d'Hennebury est une héroïne scrupuleuse. |
SOURCE: | Du Plaisir, Duchesse d. Chez C. Blageart: Paris, 1682.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | 104384 accreditee |
CONTEXTE: | Parménie, qui fuit Tormez, vient d'être trouvée par deux ouvriers. Tormez arrive : elle les implore de l'aider. |
COTEXTE ET CITATION: | "Ils s'avancèrent, leur bêche à la main." |
NOTES: | [(Page& Partie) 179, III] Comme les paysans pour Dorine, les ouvriers portent secours de façon instinctive. Mais ce secours reste suffisant. [ancien AIDE_DU_FAIBLE_AGRESSE] EG |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 100514 accreditee |
CONTEXTE: | La princesse de Clèves avoue à son mari ses sentiments pour un autre mais aussi sa loyauté vis-à-vis de lui. |
COTEXTE ET CITATION: | "Je n'ai jamais donné nulle marque de faiblesse et je ne craindrais pas d'en laisser paraître si vous me laissiez la liberté de me retirer de la cour ou si j'avais encore Mme de Chartres pour aider à me conduire. Quelque dangereux que soit le parti que je prends, je le prends avec joie pour me conserver digne d'être à vous. <CITATION>Je vous demande mille pardon, si j'ai des sentiments qui vous déplaisent, du moins je ne vous déplairai jamais par mes actions CITATION>. Songez que pour faire ce que je fais, il faut avoir plus d'estime pour un mari que l'on en a jamais eu ; conduisez-moi, ayez pitié de moi, et aimez-moi encore, si vous pouvez." |
NOTES: | Page 351. |
SOURCE: | . |
CHERCHEUR/E: | Boursier N. |
OCCURRENCE: | 103754 accreditee |
CONTEXTE: | Un mari se désole parce que sa femme est à l'article de la mort. Il la guérit grâce au remède qu'elle lui indique. |
COTEXTE ET CITATION: | Pensez vous qu'en ce monde cy soit medicine qui plus puisse aider et susciter la maladie d'entre nous femmes que la doulce et amoureuse compaignie des hommes ? Me voiez vous bien deffaicte et seche par grefté de mal ? Aultre chose ne m'est mestier que compaignie de vous. Ho! dit l'aultre, je vous gariray prestement." <CITATION>Il sault sur le lit, et besoigna le mieulx qu'il peut ; et tantost qu'il eut rompu deux lances, elle se leve et se mist sur ses piez CITATION>. |
NOTES: | [(Page) 516-17] |
SOURCE: | Anonyme, Cent nouvelles nouvelles (Les). Droz, éd. Sweetser: Genève, 1966. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 100954 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur promet à Synèse d'essayer d'éclaircir la naissance de Théophé, non pas pour aider cet homme à l'épouser, mais parce qu' il n'a que les intérêts de Théophé en tête. |
COTEXTE ET CITATION: | "<CITATION>...mais ce n'était pas lui que je pensais servir, et toutes mes vues se rapportaient à l'avantage de ThéophéCITATION>" |
NOTES: | [(Page) 210] |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire d'une grecque moderne. Garnier Flammarion/Alan J. Singerman: Paris, 1990. |
CHERCHEUR/E: | Marsal H., Weil M. |
OCCURRENCE: | 101268 accreditee |
CONTEXTE: | Le lion, qui a été sauvé d'un serpent par Yvain, l'aide dans son combat contre le géant Harpin de la montagne. |
COTEXTE ET CITATION: | Del tranchant, non mie du plat, Li fiert si bien qu'il li abat De la joe une carbonee. Et chil l'en ra une donnee Si qu'il le fait trestout brunchier Jusques seur le col du destrier. A chest cop, li leons se creste, De son seignor aidier s'apreste, Si saut par ire et par grant forche Et ront et fent comme une escorche Seur le gaiant le pel velue. Desous le pel li a tolue Une grant pieche de le hanche. Il le frappe avec une telle efficacité -du tranchant, non point du plat- qu'il lui enlève une carbonade de la joue. Et l'autre, à son tour, lui a donné un tel coup qu'il le fait complètement pencher en avant jusque sur l'encolure de son destrier. À ce coup, le lion se hérisse ; il s'appête à aider son maître, et bondit, plein de colère et de toute sa force, rompant et déchirant comme il le ferait d'une écorce, la peau velue que portait le géant. Sous la peau, il lui a arraché un gros morceau de la hanche. |
NOTES: | [(Vers & Page) Pp. 310-311, vv. 4207-4219. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Chevalier au lion. Livre de poche, Lettres gothiques: Paris, 1994.Edition et traduction de David Hult |
CHERCHEUR/E: |
OCCURRENCE: | 100640 chantier |
CONTEXTE: | L'Espagne décide de faire enlever Jeanne d'Albert et son fils, le futur Henri IV, à la fois pour empêcher Jeanne de donner suite à ses prétentions sur la Haute-Navarre et pour aider le parti catholique en France. Le capitaine Dominique, chargé de l'opération, tombe malade à Madrid. Pour témoigner sa reconnaissance à un Français de la suite de la reine qui lui a rendu la santé, il lui revèle le complot ourdi par le roi. La reine prévient Jeanne d'Albert, avec qui elle est très liée, et le complot échoue. |
NOTES: | [(Page) 301-304] |
SOURCE: | Anonyme, Dom Carlos, nouvelle historique. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | WW305107 CHANTIER |
CONTEXTE: | Colonne, ami de Nogaret, va aider Marianne à le tromper pour essayer de rallumer l'amour dans ce couple. [Ayant rencontré sa femme sans la reconnaître, Noraget croit avoir une galanterie avec une inconnue.] |
NOTES: | [(Page & Tome) 69/250, 3] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Annales galantes (Les). 1670. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104636 accreditee |
CONTEXTE: | Tristan le Nain demande à Tristan de l'aider à délivrer son amie qui est retenue prisonnière par Estout l' Orgueilleux. |
COTEXTE ET CITATION: | De ma dolur eussez pité :
Que unc ne sot que fud amur,
Ne put saver que est dolur,
E vus, amis, que ren amez,
Ma dolur pusset sentir,
Dunc vuldriez od mei venir.[...]
Eissi se pleint Tristran le Naim ;
Aler se volt od le congé.
L'altre Tristran en as pité
Et dit lui : "Bels sire, or esteez!
Par grant reisun mustré l'avez
Que jo dei aler ove vus.
Celui qui n'a jamais su ce qu'est l'amour ne peut pas savoir ce qu'est la douleur et vous, mon ami, qui n'aimez personne, vous ne pouvez pas sentir ma douleur. Si vous pouviez la ressentir, alors vous accepteriez de m'accompagner. [...]Ainsi se lamente Tristan le Nain. Il veut prendre congé. Mais l'autre Tristan a pitié de lui et dit : "Beau sire, ne partez pas ! Vous m'avez convaincu de vous suivre". |
NOTES: | [(Page & Vers) Pp. 440-43, vv. 992-1018. Traduction p. 441-43. |
SOURCE: | Thomas, Roman de Tristan. Paris: Le livre de poche, 1989.no. 4521 |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 102924 accreditee |
CONTEXTE: | Guirlane engage un domestique pour l'aider à fuir. |
COTEXTE ET CITATION: | Là-dessus elle raconta de quelle manière elle engagea un des domestiques de la maison à fuir avec elle. |
NOTES: | [(Page& Partie) 251, IV] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 305517 accreditee |
CONTEXTE: | Yvain se trouve prisonnier dans le château d’Esclados le Roux qu’il vient de tuer en combat singulier. Lunette, envers qui il s’est montré courtois par le passé va l’aider par reconnaissance en lui donnant un anneau qui rend invisible. |
COTEXTE ET CITATION: | “Ja n’i serés pris n’afolés. Mais chest mien anel prenderés, Et, s’il vous plaist, sil me rendrés Quant je vous arai delivré.” Lors li a l’anel tost livré, Si li a dit qu’il a tel forche Comme a li fus desous l’escorche Qui le keuvre, c’on n’en voit point. Mais il couvient quë on l’enpoint, Si qu’el poing soit la pierre enclose, Puis n’a garde de nule chose, Tant soit entre ses anemis. Ja par eux ne sera maumis Chil qui l’anel en son doit a, Que ja veoir ne le porra Nuz hom, tant ait les iex ouvers. Jamais, si vous voulez avoir confiance en moi, vous ne serez ni capturé ni blessé. En revanche vous prendrez cet anneau qui m’appartient, et, s’il vous plaît, vous me le rendrez quand je vous aurai délivré.” Alors elle lui a vite remis l’anneau en lui disant qu’il a le même pouvoir que le bois qui est sous l’écorce qui le recouvre, de telle sorte qu’on ne le voit point. Seulement il faut qu’on le prenne en sa main de manière à enfermer la pierre dans son poing ; alors on n’a plus rien à craindre, même si on se trouve entre ses ennemis. Jamais ils ne pourront faire du mal à celui qui porte l’anneau à son doigt, car nul homme, même les yeux grands ouverts, ne pourra le voir. |
NOTES: | P. 112, v. 1020-1035 ; trad. p. 113. |
SOURCE: | Philippe de Rémi, Jehan et Blonde. Champion: Paris, 1984.Edition Sylvie Lécuyer |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305651 chantier |
CONTEXTE: | Yder est déçu par l’attitude du roi Arthur qui ne respecte pas sa parole quand il a promis d’aider ses vassaux et oublie les services rendus (Yder a tué deux assaillants sauvant le roi de la mort). Il quitte la cour pour aller chercher d’autres aventures. |
COTEXTE ET CITATION: | «Ja Deus» dist il, «moi n’en ait, «Si jo por estre sanz seingnor «Od icesti plus ne demor. «En poi de tens l’ai bel servi, «Si m’at si tost mis en obli, «Ne il de moi ne li sovient «Ne il nul covenant ne tient.» «Que Dieu jamais ne m’assiste, dit-il, si je reste plus longtemps avec ce roi, même si cela veut dire que je reste sans seigneur. Je l’ai bien servi en peu de temps et il m’a si vite oublié qu’il ne se souvient pas de moi et ne tient aucune promesse.»(ma trad.). |
SOURCE: | ANONYME, Roman d" Yder. Cambridge: D.S. Brewer, 1983.Ed. et trad. Alison Adams |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |