OCCURRENCE: | 104422 accreditee |
CONTEXTE: | Misrie, vendue comme esclave, attire l'attention et l'amour d'un marchand Turc maître d'escalves. |
COTEXTE ET CITATION: | Le Turc qui m'avait achetée éait justement, dit Misrie en s'adessant à moi, celui que vous entendîtes parler dans la caverne. Ce jeune homme conçut pour moi une passion infâme, dont même il m'entretint en me conduisant où nous allions. |
NOTES: | [(Page& Partie) 250, IV] [ancien AMANT_TORTIONNAIRE] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 104890 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | [Timoléon] Cependant les Siracusains ne perdoient aucune occasion de me chasser de la place que j'occupois. Ils travailloient nuit et jour à la construction de plusieurs ponts de bateaux, afin de venir m'assieger : mais à peine avoient-ils conduit leur ouvrage à sa perfection, que nous faisions des sorties qui le ruïnoient entierement, et qui jettoient la rage et le desespoir dans l'ame des plus interessez. Nous brûlions leurs travaux, nous faisions des décharges continuelles sur les ouvriers qui vouloient joindre les bateaux, et quand malgré nos efforts, ils avoient fabriqué quelque pont, nous allions le briser avec une assurance que j'ose dire qui leur donnoit de la terreur et de l'étonnement. |
NOTES: | [(Page & Tome) 354, I] Cie des Libraires p. 362 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 200223 accreditee |
CONTEXTE: | Edmond évoque dans une lettre à son frère le moment où enfant, il a appris à lire. |
COTEXTE ET CITATION: | <CITATION>« Tu t’en souviens ; quand nous allions à l’école, sous maître Jacques, j’eus le malheur d’apprendre à lire, à écrire et à jeter plus vite que toi […]CITATION>. Et là-dessus, nos pauvres père et mère (à bonne intention pourtant) me crurent fait pour devenir un docteur […] ; quand ils virent que je lisais tout couramment un livre latin en français, ils ne se sentirent pas de joie, et me destinèrent à être habitant des villes, pour y faire fortune. […] Oh la maudite facilité que j’eus donc là ! |
NOTES: | Rétif de La Bretonne, Nicolas, Le Paysan perverti, ou les dangers de la ville ; Histoire récente, mise au jour d’après les véritables lettres des personnages, 1776 ; édition utilisée : Lausanne, L’Age d’Homme, 1977, édition de François Jost, Lettre II, p.22 |
SOURCE: | Retif de la Bretonne, Le paysan parvenu. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Ferrand N. |