OCCURRENCE: | 102100 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur explique dans ce passage l'existence d'hommes tels que lui, qui vivent la nuit et qui éventuellement abusent de femmes endormies. |
COTEXTE ET CITATION: | Quelques individus, dont un petit nombre se sera melé par le mariage avec les hommes-de-jour ; il y a meme beaucoup à présumer, que le mélange n'a eu lieu que par les femmes nocturnes, que quelques hommes auront surprises endormies. |
NOTES: | [(Page & Nuit) 48, 4] Cette occurrence ne s'applique pas à un personnage particulier mais entre dans le cadre d'un récit mythologique. |
SOURCE: | Rétif de la Bretonne, Nuits de Paris (Les) ou le spectateur nocturne. Paris: Gallimard, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Meljac S. |
OCCURRENCE: | 102694 accreditee |
CONTEXTE: | Les opposants à Yvain et au lion deviennent de plus en plus mauvais. Ici, il s'agit de deux démons. L'intervention du lion est de plus en plus indispensable. |
COTEXTE ET CITATION: | S'or ne sont li felon maté Donques ne le seront il mais ; Car au leon trive ne paiz N'aront il tant que vis les sache. Si maintenant les deux scélérats ne sont pas vaincus,eh bien, ils ne le seront jamais : car ils n'auront ni trêve, ni paix avec le lion aussi longtemps qu'il les saura en vie. |
NOTES: | [(Vers & Page) Pp. 398-399, vv. 5626-5629. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Chevalier au lion. Livre de poche, Lettres gothiques: Paris, 1994.Edition et traduction de David Hult |
OCCURRENCE: | 103016 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | "Puisqu'il y a plus de majesté dans mes origines que dans ma présente fortune, je n'ai pas l'intention de paraître jouer les charlatans en racontant une histoire que des auditeurs non-avertis auront du mal à croire [...]. <CITATION>Accorde-moi de garder le silence sur les vicissitudes de ma fortuneCITATION>." |
NOTES: | [(Page) 82] page dans l'édition Molinié |
SOURCE: | Chariton, Chairéas et Callirhoé. Romans grecs et latins: Paris, . |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305943 accreditee |
CONTEXTE: | En préambule à son recueil de nouvelles, le narrateur ironise sur la fausse pudeur de ses lectrices. |
COTEXTE ET CITATION: | Lisez tout, lisez lisez. Vous faictes bien les estroictes. Ne les lisez donc pas. A ceste heure verra l’on si vous faictes bien ce qu’on vous defend. O quantes dames auront bien l’eau à la bouche, quand elles orront les bons tours que leurs compagnes auront faictz. Et qu’elles diront bien qu’il n’y en ha pas à demy. Mais je suis content que devant les gens elles facent semblant de couldre ou de filler : pourveu qu’en destournant les yeulx, elles ouvrent les oreilles : et qu’elles se reservent à rire quand elles seront à part elles. Eh mon Dieu que vous en comptez de bonnes, quand il n’y ha qu’entre vous femmes, ou qu’entre vous fillettes. |
NOTES: | P. 17. |
SOURCE: | Des Périers Bonaventure, Nouvelles récréations et joyeux devis. Genève: Droz, 1980.Éd. Krystyna Kasprzyk (1500-1544?) |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |