OCCURRENCE: | 102588 accreditee |
CONTEXTE: | Merville, de jardinier, devient mineur enchaîné. |
COTEXTE ET CITATION: | Un vieux esclave que je n'avais jamais vu chez mon patron, vient me prendre et après m'avoir lié sur un cheval, il me conduisit à quelques lieues de la maison de mon patron. Il me fit arrêter dans un endroit que je jugeai être un pays de mines Là on m'attacha avec des cordes. |
NOTES: | [(Page) Tome IV, 227] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 104798 accreditee |
CONTEXTE: | Suite de la chasse au sanglier où d'Andelot vient au secours de Mme d'Aumale. |
COTEXTE ET CITATION: | Les hommes] entrerent dans l'enceinte et prirent des dards pour en tuer des Sangliers. Le cheval de d'Andelot ayant été blessé par un des plus grands, il descendit et l'attaqua. Le Duc d'Aumale craignant pour lui, quoi qu'il fût aimé de sa femme, et le Rival dangereux qui l'empêchoit d'être le maître du coeur de l'Admirale, s'approcha du Sanglier et lui lança son dard, dans le même moment que d'Andelot lui enfonça le sien dans l'épaule. Son coup fut malheureux, il perça la main de d'Andelot et l'attacha encore au flanc du Sanglier qui mourut aussi-tôt. |
NOTES: | [(Page) 217] Slatkine tome 2, p. 60. |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Amours des grands hommes (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-1. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 100496 chantier |
CONTEXTE: | Desroches a un accident de cheval. Il est soigné dans le château de Mme de la Carlière qu'il épousera. |
NOTES: | [(Page) 816] |
SOURCE: | Diderot (Denis), Madame de La Carlière. 1768?.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103698 accreditee |
CONTEXTE: | Tyravant (ennemi) veut percer de sa lance le moyne et rate son coup. |
COTEXTE ET CITATION: | "Adoncques le Moyne avecq son bâton de croix lui donna entre col et collet (sus l'os Acromion) si ondement qu'il l'étonna, et fit perdre tout sens et mouvement, et tomba les pieds du cheval [...] Par saint Jean, je suis moyne parfait; je vous en tuerai comme de mouches! Puis le grand galop courut après, tant qu'il attrapa les derniers et les abattait comme seille, frappant à tort et à travers". |
NOTES: | [(Page & Chapitre & Li) 383, XLI, 31-48] |
SOURCE: | Rabelais, Gargantua. La vie inestimable du grand Gargantua.... [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Garand D. |
OCCURRENCE: | 102176 chantier |
CONTEXTE: | Julien Sorel ne sait pas monter à cheval, donc se rend ridicule parmi des aristocrates en montant, mais après un essai malheureux, il réussit par son énergie et son obstination à rester en selle et à se faire admirer de Norbert et de Mathilde de La Mole (cette dernière devient amoureuse de lui). |
NOTES: | [(Page) II,3] Survie et subversion du topos. |
SOURCE: | Stendhal, Rouge et le Noir (Le). [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104342 accreditee |
CONTEXTE: | Clorante raconte à Caliste comment il est tombé dans une rivière alors qu'il était à la recherche de son aimée pendant la nuit. |
COTEXTE ET CITATION: | "Je partis en désespéré pour la suivre, et j'avais marché une partie de la nuit, quand traversant une rivière je me trouvai si faible que je tombai de mon cheval." |
NOTES: | [(Page& Partie) 37, I] Le personnage utilise le mot "naufrage" (p. 38) pour décrire son accident, une presque noyade. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 102170 accreditee |
CONTEXTE: | Description plaisante et parodique de Ragotin qui essaie de se tenir sur un cheval mal sanglé et trop grand pour lui. |
COTEXTE ET CITATION: | Après avoir évoqué à propos de Ragotin, "les deux parties de son corps qui étaient les plus charnues", Scarron évoque " les parties du derrière du citoyen du Parnasse" |
NOTES: | Chapitre 20, p. 181. Puis description d'une scène identique dont le héros malheureux est le poète ridicule Roquebrune. Tonalité burlesque. A rapprocher par exemple de Diderot, Jacques le Fataliste, lorsque la femme portée en croupe par le chirurgien tombe cotillons par dessus tête. |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 105250 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Lisandre étoit donc auprés du char de Lisidore, et il lui sembloit qu'elle l'écoutoit avec plus de tendresse qu'à son ordinaire ; lorsqu'en traversant un petit bois qui étoit sur leur passage, ils trouverent deux Cavaliers qui se battoient avec une fureur inconcevable, tout le monde courut à eux pour les separer ; mais à peine Lisidore eût-elle tourné les yeux sur l'un de ces inconnus, qu'elle se jetta brusquement de son char en bas, et courant elle-même vers l'endroit de leur combat, elle lui cria de s'arrêter ; il demeura comme immobile à cette voix, et aïant tourné sa tête du costé qu'il l'avoit entendu, il descendit brusquement de cheval, et il vint se jetter aux pieds de Lisidore. |
NOTES: | [(Page & Tome) 120, 2] Cie des Libraires p.455-56 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Lisandre, nouvelle. Slatkine Reprints: Genève, .Vol. 2 |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 100866 accreditee |
CONTEXTE: | Grâce à l'anneau qu'il porte, le fils retrouve son père. |
COTEXTE ET CITATION: | Milun salt sus, mult li fu bel : el dei celui cunnuist l'anel, quant il li rendi sun cheval. Milon saute à cheval avec joie : au doigt du jeune homme, quand celui-ci lui a rendu son cheval, il a reconnu l'anneau. |
NOTES: | [(Page) Milun/ Milon, pp. 240-241, vv. 429-431. |
SOURCE: | Le Livre de Poche/Harf-Lancner: Paris, 1990.Lais de Marie de France, Paris, le Livre de Poche, 1990. Traduits et présentés par Laurence Harf-Lancner, qui reprend l'édition de Karl |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104144 accreditee |
CONTEXTE: | Il s'agit de l'assassin engagé par Lindarache pour tuer Rustan. |
COTEXTE ET CITATION: | L'ennemi particulier de Rustan crut qu'il lui seroit facile de s'en défaire dans ce moment, sans qu'on pût discerner la main qui le frapperoit : il l'observa donc avec soin, et comme il tournoit la tête de son cheval, pour courir dans un endroit de la bataille où il croïoit sa presence necessaire ; il choisit le deffaut de ses armes, et lui enfonça son cimeterre jusqu'à la garde dans le corps. Rustan tomba de ce coup, et ceux qui le virent tomber le crurent mort. |
NOTES: | [(Page & Tome) 103] Slatkine p. 433, tome 1 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Alcidamie. Compagnie des Libraires: Paris, 1720-1. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 102726 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | "Picrochole ainsi désespéré s'enfuit vers l'Ile Bouchard, et au chemin de Rivière son cheval bronche par terre: à quoi tant fut indigné que de son épée le tua en sa chole." |
NOTES: | [(Page) XLVII, 423] Dans la partie "ouvrage" la fiche dit : Gargantua, Rabelais, XLVIII, 423, lignes 1-4. |
SOURCE: | Rabelais, Pantagruel Roy des Dipsodes. 1533.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Garand D. |
OCCURRENCE: | 102134 accreditee |
CONTEXTE: | D'Andelot trouve Madame d'Aumale qui est tombée de son cheval. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle étoit presque évanouïe, et dans un désordre qui laissoit voir une partie de son beau corps. Il n'est gueres d'amour et de constance qui résiste contre tant de beautez, et si dans ce moment la passion d'Andelot ne changea point entièrement d'objet, du moins dut-il sensible à une avanture qu'il trouvoit si touchante. Mais enfin l'interest de Madame d'Aumale ceda au plaisir qu'il recevoit de ses yeux. |
NOTES: | [(Page) 216] Slatkine vol.2, p. 60 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Amours des grands hommes (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-1. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 102708 accreditee |
CONTEXTE: | Un accident de cheval révèle l'amour de la Princesse de Clèves pour M. de Nemours. |
COTEXTE ET CITATION: | "Le roi et M. de Nemours se trouvèrent sur les plus fougueux ; ces chevaux se voulurent jeter l'un à l'autre. M. de Nemours, par la crainte de blesser le roi, recula brusquement et porta son cheval contre un pilier de manège, avec tant de violence que la secousse le fit chanceler. On courut à lui, et on le crut considérablement blessé. Mme de Clèves le crut encore plus blessé que les autres. L'intérêt qu'elle y prenait lui donna une appréhension et un trouble qu'elle ne songea pas à cacher ; elle s'approcha de lui avec les reines et, avec un visage si changé qu'un homme moins intéressé que le chevalier de Guise s'en fut aperçu... Quand il la [sa tête] releva, il vit d'abord Mme de Clèves ; <CITATION> il connut sur son visage la pitié qu'elle avait de lui, et il regarda d'une sorte qui put lui faire juger combien il en était touché CITATION>." |
NOTES: | [(Page) 321-22] |
SOURCE: | . |
OCCURRENCE: | 104184 accreditee |
CONTEXTE: | Le comte de Bourges qui vient d'apprendre que sa femme a été épargnée par les serfs chargés de l'exécuter, décide de partir à sa recherche, comme un pauvre parmi les pauvres. |
COTEXTE ET CITATION: | Certes, dist il, je ne bevrai De vin, ne mengerai de char, Si ne merra sommier ne char Et a pié sanz cheval irai Ne de linge ne vestirai, Ne ne müerai chaucemente Tant que Nostre Sires consente Qu'a son gré la puisse trouver. |
NOTES: | [(Page&vers) P. 160, v. 5246. |
SOURCE: | Maillart (Jehan), Roman du comte d'Anjou (Le). Mario Roques, Champion: Paris, 1964. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 103552 accreditee |
CONTEXTE: | La fuite du moine de l'escorte qui l'emportait. |
COTEXTE ET CITATION: | "Ce fait, le moyne donne des éperons à son cheval, et poursuit la voie que teraient les ennemis, lesquels avaient rencontré Gargantua et ses compagnons au grand chemin, et tant étaient diminués en nombre pour l'énorme meurtre que y avait fait Gargantua avecques son grand arbre, Gymnaste, Ponocrates, Eudemon, et les autres, <CITATION> qu'ils commençaient soi retirer à diligence, tous effrayés et perturbés de sens et entendement, comme s'ils vissent le propre espèce et forme de mort devant les yeuxCITATION>". |
NOTES: | [(Page & Chapitre & Li) 217, XLII, 34-40] |
SOURCE: | Rabelais, Gargantua. La vie inestimable du grand Gargantua.... Paris: Classique Modernes- Le Livre de poche, 1994. |
CHERCHEUR/E: | Garand D. |
OCCURRENCE: | 105216 accreditee |
CONTEXTE: | M. de Nemours se blesse à la chasse et Mme de Clèves en éprouve de l'émoi. |
COTEXTE ET CITATION: | Le roi et M de Nemours se trouvèrent sur les plus fougueux; ces chevaux se voulurent jeter l'un à l'autre. M de Nemours par la crainte de blesser le roi, recula brusquement et porta son cheval contre un pilier de manège, avec tant de violence que la secousse le fit chanceler. <CITATION> On courut à lui, et on le crut considérablement blessé CITATION>. Mme de Clèves le crut encore plus blessé que les autres. |
NOTES: | Page 321 |
SOURCE: | . |
CHERCHEUR/E: | Boursier N. |
OCCURRENCE: | 103118 accreditee |
CONTEXTE: | Après avoir été jeté sur un lit et fessé par l'Olive, Ragotin, en fuyant, se coince le pied dans un pot de chambre. |
COTEXTE ET CITATION: | Lors tout le monde vit où estoit l'encloüeure [c'est-à-dire la point dans le sabot d'un cheval] et personne ne peust se put empescher de rire; voyant le pied de metail qui s'estoit fait le petit homme. |
NOTES: | [(Partie & Page) II, 703] Chapitre 7 |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Riou D. |
OCCURRENCE: | 103750 accreditee |
CONTEXTE: | Aucassin est parvenu à la hutte de feuillage que Nicolette a construite au coeur de la forêt et d'émotion, tombe de cheval. |
COTEXTE ET CITATION: | Il mist le pié fors de l'estrier por descendre et li cevaus fu grans et haus ; il pensa tant a Nicolete se tres douce amie qu'il caï si durement sor une piere que l'espaulle li vola hors du liu. |
NOTES: | [(Page) 118] |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 102706 accreditee |
CONTEXTE: | M. de Nemours est blessé sous les yeux de Mme de Clèves qui ne peut cacher son émoi. |
COTEXTE ET CITATION: | Le roi et M. de Nemours se trouvèrent sur les plus fougueux; ces chevaux se voulurent jeter l'un à l'autre. M. de Nemours, par la crainte de blesser le roi, recula brusquement et porta son cheval contre un pilier de manège, avec tant de violence que la secousse le fit chanceler. On courut à lui, et on le crut considérablement blessé. Mme de Clèves le crut encore plus blessé que les autres. L'intérêt qu'elle y prenait lui donna une appréhension et un trouble qu'elle ne songea pas à cacher; elle s'approcha de lui avec les reines et, avec un visage si changé qu'un homme moins intéressé que le chevalier de Guise s'en fut aperçu... Quand il la [sa tête] releva, il vit d'abord Mme de Clèves; <CITATION> il connut sur son visage la pitié qu'elle avait de lui, et il regarda d'une sorte qui put lui faire juger combien il en était touché CITATION>. |
NOTES: | Page 321-322 |
SOURCE: | . |
OCCURRENCE: | 104430 accreditee |
CONTEXTE: | Il s'agit de l'assassin engagé par Lindarache pour tuer Rustan. |
COTEXTE ET CITATION: | L'ennemi particulier de Rustan crut qu'il lui seroit facile de s'en défaire dans ce moment, sans qu'on pût discerner la main qui le frapperoit : il l'observa donc avec soin, et comme il tournoit la tête de son cheval, pour courir dans un endroit de la bataille où il croïoit sa presence necessaire ; il choisit le deffaut de ses armes, et lui enfonça son cimeterre jusqu'à la garde dans le corps. Rustan tomba de ce coup, et ceux qui le virent tomber le crurent mort. |
NOTES: | [(Page & Tome) 433, 1] Cie des Libraires p. 103 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Alcidamie. 16.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | TT102342 CHANTIER |
CONTEXTE: | "Loin de saluer celui qu'il ne reconnaissait pas, il le frappa si violemment d'une lance solide et bien trempée qu'il lui transperça l'écu et le haubert et lui enfonça dans le côté droit le fer de son arme, lui faisant une plaie large et profonde. Il arriva avec un tel élan, bien assuré sur ses arçons, qu'il heurta son adversaire avec une force incroyable, le jetant à terre de sa monture, tandis que dans la chute sa lance se brisait. Mais Lancelot ne resta pas longtemps dans cette posture, car il avait un cheval puissant, rapide et léger; en dépit de la plaie qu'il venait de recevoir, il se releva rapidement et remonta sur son cheval, en proie à une souffrance qui le mettait en sueur [...]". |
NOTES: | [(Page & Paragraphe) 57, 19] |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Conte du Graal. Lecoy/Champion: Paris, 1975. |
CHERCHEUR/E: | Michel B., Weil M. |
OCCURRENCE: | 102858 chantier |
CONTEXTE: | D'abord amoureux de Mlle de Vitry, fille d'honneur de la Reine-Mère, le duc (Henri) de Guise vient un jour au secours d'une belle jeune femme sur un cheval emballé et tombe instantanément amoureux d'elle. |
NOTES: | [(Page) v.3, pp 121-22] |
SOURCE: | Anonyme, duc de Guise (Le), nouvelle. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100930 accreditee |
CONTEXTE: | Le secret concerne les oreilles de cheval du roi Marc. Il est révélé par le nain Frocin. |
COTEXTE ET CITATION: | Oiez du nain comme au roi sert. Un consel sot li nains du roi, Ne sot que il. [...]" "`Marc a orelles de cheval" Bien ont oï le nain parler." Il [le nain] détenait du roi un secret, qu'il était le seul à connaître... "Marc a des oreilles de cheval!" Ils ont parfaitement entendu le nain. |
NOTES: | Vers 1334-1335 et 1308-1308. Traduction de Philippe Walter, Tristant et Yseut, Paris, Lettres Gothiques, p. 83-85. |
SOURCE: | Livre de Poche, Lettres gothiques: Paris, 1989.Édition D. Lacroix et Ph. Walter |
CHERCHEUR/E: | , Dubost F. |
OCCURRENCE: | 105026 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | "J'avois [...] une telle disposition a bien prendre l'accent de toutes les langues, que comme le fils de mon financier [chez lequel elles est recueillie] avoit des gens aupres de luy pour les luy montrer; j'en appris en peu de temps jusques a l'Allemand meme, avec une merveilleuse facilite. J'avois aussi une grande passion pour la chasse, et enfin jusques-la on n'avoit guere veu de fille mepriser, comme moy, des l'age de dix ans, tous les divertissements du sexe, pour monter a cheval, tirer un pistolet, ou faire quelque autre semblable exercice". |
NOTES: | [(Page) 12] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. Paris: 1671-72. |
CHERCHEUR/E: | Boursier N., Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104950 accreditee |
CONTEXTE: | Iphile vient de tuer l'un des ravisseurs de Cinthie. |
COTEXTE ET CITATION: | Aprés cette execution, il tourna ses yeux de tous côtez pour voir où étoit Cinthie, et il l'apperçut à vingt pas de lui qui couroit de toute sa force pour éviter d'être enlevée une seconde fois par celui dont elle l'avoit été la premiere, et qui n'étant qu'étourdi du coup qu'il avoit reçû, n'avoit pas si-tôt été revenu de son étourdissement, qu'il étoit remonté à cheval, et couroit aprés Cinthie, qui faisoit ses efforts pour n'en être pas attrapée. |
NOTES: | [(Page & Tome) 242] Slatkine: Vol, Page[s]: 1,468 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Alcidamie. Compagnie des Libraires: Paris, 1720-1. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104494 accreditee |
CONTEXTE: | Un cavalier inconnu poursuit Misrie, et semble la reconnaître. Elle lui montre son erreur. Il ne l'écoute pas. |
COTEXTE ET CITATION: | "Là-dessus il la relève, et, malgré sa résistance, remonte à cheval, et l'enlève." |
NOTES: | [(Page& Partie) 211, IV] Il y a erreur sur la personne enlevée, mais l'acte de violence demeure. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 100746 accreditee |
CONTEXTE: | Le héros secourt la femme dont il va ensuite tomber amoureux. |
COTEXTE ET CITATION: | Quand je fus près du cheval de bronze, je vis une femme enveloppée dans une écharpe [...] qui disait : "Ah! Je meurs! " <CITATION>A ces mots que j'entendis, je m'approchai d'elle pour savoir si elle n'avait pas besoin de secoursCITATION>. |
NOTES: | [(Page) 54 chap I GF ] Note : edition GF 1965 |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Paysan parvenu (Le) ou les Mémoires de M***. Garnier/Deloffre: Paris, 1969. |
CHERCHEUR/E: | Cammas I. |
OCCURRENCE: | 305968 accreditee |
CONTEXTE: | Allusion, au tout début du roman, à l'épisode du cheval de Troie qui provoqua la chute de la ville. |
COTEXTE ET CITATION: | Quant Menelax ot Troie assise, onc n’en tourna tres qu’il l’ot prise, gasta la terre et tout le regne pour la venjance de sa femme. La cité prist par traïson, tot craventa, tours et donjon, arst le paÿs, destruist les murs : nuls n’i estoit dedenz seürs. Quand Menélas eut mis le siège devant Troie, il n’en bougea plus avant de l’avoir prise, il dévasta pays et royaume entiers pour venger l’outrage infligé à travers sa femme. Il prit la cité par traîtrise et abattit tout, tours et donjon, il incendia le pays, détruisit les remparts : personne ne s’y trouvait en sécurité. |
NOTES: | P. 52, v. 1-8. |
SOURCE: | Anonyme, Roman d Énéas. Paris: Lettres Gothiques, 1997. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 105178 accreditee |
CONTEXTE: | Dans le lai de Guiguemar, Guiguemar est blessé à la cuisse. |
COTEXTE ET CITATION: | Il vit dans l'épaisseur d'un grand buisson une biche et un faon, une bête toute blanche avec des bois de cerf sur la tête. Aux aboiements des chiens, elle bondit, Guiguemar tendit son arc, tira sur elle et l'atteignit en plein front Elle s'écroula sur le champ, mais la flèche rebondit jusqu'au cheval et frappa Guiguemar à la cuisse, de sorte qu'il lui fallut mettre pied à terre; il tomba sur l'herbe drue près de la biche qu'il avait atteinte. |
NOTES: | [(Page) 40-41] GF 194, vers 89-102. |
SOURCE: | . |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 101716 chantier |
CONTEXTE: | Télémaque sauve Antiope du sanglier monstrueux qui l'attaque. Antiope est la fille du roi Idoménée. C'est elle qui a attaqué le sanglier et l'a blessé la première. Son cheval tué, désarçonnée, elle est à terre, en danger de mort. |
NOTES: | [(Page& Livre) 540] Cent pages avant, Télémaque, torturé d'amour est comparé à un "sanglier" furieux. |
SOURCE: | Fénelon, Aventures de Télémaque (Les). Claude Barbin: Paris, 1699 avril.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 105064 accreditee |
CONTEXTE: | Polimneste se promène à cheval dans les bois pour rêver à ses amours malheureux. |
COTEXTE ET CITATION: | Il y étoit à peine entré qu'il entendit un bruit d'armes et de chevaux, qui lui fit juger que quelques personnes se battoient en cet endroit : Il courut où ce bruit l'appelloit, et trouva quatre ou cinq hommes qui en attaquoient un seul. Polimneste avoit peu de suite ; mais le droit de commander donne un certain air d'autorité qui se distingue en toutes rencontres. Il poussa son cheval entre ces inconnus, et reprochant leur lâcheté à ceux qui combattoient avec avantage... |
NOTES: | [(Page & Tome) 397, II] Cie des Libraires p. 487-88 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Annales galantes de Grèce (Les). Godenne/Oeuvres complètes de Slatkine: 1670. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104660 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | [Le jeune Haly] se faisant un passage avec la pointe de son épée. Il parvint jusques auprés de la personne de Gomelle, qu'il trouva dans une trés-grande extrêmité : son cheval avoit été tué sous lui, et les courrois de son casque avoient été coupées; de sorte que lors que mon Prince arriva dans cet endroit, Gomelle combattoit à pied et sans casque contre un grand nombre des ennemis qui l'entouroient, et dont il auroit été sans doute pris ou tué. Mon illustre Maître écarta d'abord ceux qui le pressoit le plus, et le couvrant et de son corps et de son bouclier, il lui donna le temps de remonter sur un cheval qu'un des siens lui presenta, et sauva par cette action l'homme du monde dont la mort lui étoit la plus avantageuse. |
NOTES: | [(Page & Tome) 447, 1] Cie des Libraires p.161 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Alcidamie. 16.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | TT102426 PROVISOIRE |
CONTEXTE: | "bref, une créature si laide qu'on ne saurait l'exprimer en paroles [...]" "je vis qu'il avait la tête la plus grosse que celle d'un cheval de somme, ou de n'importe quelle autre bête [...]" |
NOTES: | [(Vers & Page) 288-9, 293-311, 71-3] La description par comparaisons avec des animaux suit la citation. Coll. Lettres gothiques, éd. Le Livre de poche (trad. D. H. Hult) no 4539, 1994, Paris. La description et le commentiare sont dits par Calogrenant, narrateur-relais. Au Moyen-Age, la laideur est synonyme de diabolique. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le chevalier au lion. Copie de Guiot: .Bibliothèque Nationale 794 |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 105220 accreditee |
CONTEXTE: | Dom Pedre raconte comment, pour sauver une jeune fille, il fut blessé par un sanglier qu'il chassait. |
COTEXTE ET CITATION: | Nous poursuivîmes un Sanglier jusques à un bois qui tenoit à cette maison, Isabelle s'y promenoit sans autre suite qu'une fille & se trouva malheureusement sur le chemin du sanglier. Elle eut si peu de loisir pour se retirer que je la vis dans un péril extrême. Je descendis promptement de cheval, je courus à sa defense, je tuay le Sanglier ; <CITATION> mais il me fit une assez grande blessure au bras gauche CITATION>. |
NOTES: | [(Page) 508] Slatkine vol. 2, p. 255 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Nouvelles afriquaines (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21.12 tomes? |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 103052 accreditee |
CONTEXTE: | Angélique s'évanouit de peur de ses ravisseurs. |
COTEXTE ET CITATION: | Je m'évanouis entre les mains de celuy qui me tenoit embrassée sur son cheval [...] L'effroy que j'eus de me voir seule eût été capable de me faire mourir. |
NOTES: | [(Partie & Page) 2, 717] Ch. 11. |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Riou D. |
OCCURRENCE: | 100012 accreditee |
CONTEXTE: | D'Andelot trouve Madame d'Aumale qui est tombée de son cheval. |
COTEXTE ET CITATION: | <CITATION>Elle étoit presque évanoüie, et dans un desordre qui laissoit voir une partie de son beau corps. Il n'est gueres d'amour et de constance qui resiste contre tant de beautez,CITATION> et si dans ce moment la passion d'Andelot ne changea point entierement d'objet, du moins fut-il sensible à une avanture qu'il trouvoit si touchante. Mais enfin l'interest de Madame d'Aumale ceda au plaisir qu'il recevoit de ses yeux. |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Amours des grands hommes (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-1. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D., Sadiki T. |
OCCURRENCE: | 105222 accreditee |
CONTEXTE: | Le duc d'Aumale blesse accidentellement l'homme dont sa femme est amoureuse. |
COTEXTE ET CITATION: | [Les hommes] entrèrent dans l'enceinte et prirent des dards pour en tuer des Sangliers. Le cheval d'Andelot ayant éte blessé par un des plus grands, il descendit et l'attaqua. Le Duc d'Aumale craignant pour lui, quoiqu'il fut aimé de sa femme, et le Rival dangereux qui l'empêchoit d'être le maître du coeur de l'Admirale, s'approcha du Sanglier et lui lanca le dard, dans le même moment que d'Andelot lui enfonca le sien dans l'épaule. <CITATION> Son coup fut malheureux, il perça la main d'Andelot et l'attacha contre le flanc du Sanglier qui mourut aussitôt CITATION>. |
NOTES: | [(Page&volume&chapitre) 2, 60/217] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Oeuvres complètes de Mme de Villedieu. Oeuvres,Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21..(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 100236 accreditee |
CONTEXTE: | On a enlevé la fille de la Caverne, Angélique. |
COTEXTE ET CITATION: | La Caverne raconte : "... que des hommes qu'elle ne connoissait point étaient entrés dans le jardin par une porte de derrière, comme elle répétait son rôle avec sa fille; [...]que l'un deux l'avait ( Angélique) saisie [...] s'était remis à cheval [...] tenait sa fille devant lui." |
NOTES: | [(Partie & Page) I, XXIII, 205] Classiques Garnier [1973], p 152 |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 102696 accreditee |
CONTEXTE: | L'empereur chrétien est sauvé par Sophie qui se fait passer pour un gentilhomme appelé Don Fernand. |
COTEXTE ET CITATION: | Il donna dans une embuscade de Maures, fut abandonné des siens et environné des infidèles; il y a apparence qu'il eust esté, son cheval l'ayant desja lesté sous luy, <CITATION> si notre Amazone ne l'eust remonté sur le sien.CITATION> |
NOTES: | [(Partie & Page) 2, chapitre14] |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Riou D. |
OCCURRENCE: | 102132 accreditee |
CONTEXTE: | Artambare ne peut plus supporter la vue de Cléonice. |
COTEXTE ET CITATION: | Tous les traits lui faisoient comprendre la grandeur de sa perte, il remonta a cheval en diligence, et il emmena Célidor avec lui jusques à une place de guerre qui étoit à quatre heures de chemin de cette maison. |
NOTES: | [(Page & Tome) P. 137, 1. |
SOURCE: | Villedieu (Mme de),Desjardins, Cléonice, ou le roman galant. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 100764 accreditee |
CONTEXTE: | L'empereur chrétien est sauvé par Sophie qui se fait passer pour un gentilhomme appelé Don Fernand. |
COTEXTE ET CITATION: | Il donna dans une embuscade de Maures, fut abandonné des siens et environné des infidèles ; il y a apparence qu'il eust esté, son cheval l'ayant desja lesté sous luy, <CITATION> si notre Amazone ne l'eust remonté sur le sien... CITATION>. |
NOTES: | [(Partie & Page) 2, chap. 14] Voir "travestir_sexe" |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Riou D. |
OCCURRENCE: | 100696 chantier |
CONTEXTE: | L'histoire s'ouvre par une scène de chasse; deux chevaux (ceux de la duchesse d'Aumale et celui d'Andelot) effrayés par un sanglier, prennent la fuite; accident, la duchesse d'Aumale tombe du cheval. La scène se transforme en scène érotique, quand d'Andelot, dont le cheval avait aussi pris la fuite, saute à terre et voit une partie des charmes de la duchesse. Scène interrompu par l'arrivée du duc. |
NOTES: | [(Page) 214-7] Voir Slatkine tome 2, p. 60 4e partie. Histoire d'Andelot. |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Amours des grands hommes (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-1. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100692 accreditee |
CONTEXTE: | Dans l'Histoire de Dom Pedre de la Mera et de la Dona Isabelle de Panaroche. |
COTEXTE ET CITATION: | C'est Dom Pedre qui parle: "Nous poursuivimes un Sanglier jusques a un bois qui tenoit a cette maison, Isabelle s'y promenoit, sans autre suite qu'une fille, et se trouva malheureusement sur le chemin de Sanglier. Elle eut si peu de loisir pour se retirer, que je la vis dans un peril extreme. Je descendis promptement de cheval, je courus a sa defense, je tuay le Sanglier; mais il me fit une assez grande blessure au bras gauche. |
NOTES: | [(Page & Tome) 255, 2] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Nouvelles afriquaines (Les). Îuvres,Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21..(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104376 accreditee |
CONTEXTE: | L'agression est un enlèvement. Le sauveur est le père (depuis longtemps perdu) de la victime. |
COTEXTE ET CITATION: | Il m'allait enlever quand dix ou douze hommes, qui avaient entendu mes cris, et qui étaient au bout du bois à se reposer, parurent à cheval et fondirent sur mes ravisseurs. |
NOTES: | [(Page& Partie) 137, II] [ancien AIDE_DU_FAIBLE_AGRESSE] EG [Voir aussi: PERE_MOURIR et RETROUVAILLES_PARENT_FILLE] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 103796 accreditee |
CONTEXTE: | Ragotin se ridiculise en tombant de cheval. |
COTEXTE ET CITATION: | Il eut encore cette troisième disgrâce devant sa maîtresse. |
NOTES: | Livre I, Ch. XX, p. 484 Récurrence de ce topos dans Le Roman Comique p. 166, 1e partie, Ch. XVII et p. 342, IIe partie, ch. XX. |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 102332 accreditee |
CONTEXTE: | La prophétie que fait une inconnue, Urzande, à Périon le plonge dans l'inquiétude. |
COTEXTE ET CITATION: | Saches Roi Perion que quand tu recouvreras ta perte la seigneurie d'Irlande perdra sa fleur. Et ce dit, tourna la bride à son cheval, et sans que le Roy la peust arrester s'en alla. De ceste parole, fut le bon Prince encores plus triste et pensif que devant. |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 26, 3] Livre 1, ch. 3, p. 26 |
SOURCE: | Vaganay (Hugues), Premier livre d. trad. Herberay des Essarts: inconnu, ca. 1559. |
CHERCHEUR/E: | Godwin D., Weil M. |
OCCURRENCE: | 101314 accreditee |
CONTEXTE: | Ragotin juché sur un cheval est comparé à Phaéton. |
COTEXTE ET CITATION: | (Classiques Garnier,1973:127), nouvelle XIX : Le cheval, qui n'était pas accoutumé d'y porter quelque chose, fit une croupade qui remit Ragotin en selle. Le méchant écuyer resserra les jambes et le cheval releva le cul encore plus fort, et alors le malheureux se trouva le pommeau entre les fesses, où nous le laisserons comme un pivot pour nous reposer un peu. nouvelle XX : Nous avons laissé Ragotin assis sur le pommeau d'une selle, fort empêché de sa contenance et fort en peine de ce qui arriverait de lui. Je ne crois pas que défunt Phaéton, de malheureuse mémoire, ait été plus empêché après les quatre chevaux fougueux de son père que le fut notre petit avocat sur un cheval doux comme un âne. |
NOTES: | [(Partie & Page) I, XX, 182] |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104390 accreditee |
CONTEXTE: | Frédélingue, déguisé en paysan, tente d'empêcher l'enlèvement de Misrie. Intervention est vouée à l'échec car Frédélingue, en paysan, n'a pas d'armes. |
COTEXTE ET CITATION: | Cet homme, surpris de l'audace que montrait un simple paysan, tire son épée et m'en porte un coup qui arrête mon transport et me renverse de mon cheval. |
NOTES: | [(Page& Partie) 212, IV] [Voir aussi: AIDE_EVITER_ENLEVEMENT PERDRE_SANG] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 200118 accreditee |
CONTEXTE: | Gauvain blesse le Gardien des Passages de Gauvoie. |
COTEXTE ET CITATION: | Tantost li chevaliers s'eslaisse, Sanz desfience et sanz menace, Lo cheval point, l'escu embrace. <citation>Et mes sire Gauvains s'adrece Vers lui, sel fiert si qu'il lo blece El braz et el costé molt fort,citation> Mais ne fu pas navrez a mort [...] Sans un mot de défi ni de menace, le chevalier s'élance aussitôt, piquant des deux, l'écu au bras. Monseigneur Gauvain se dirige aussi vers lui et lui porte un tel coup qu'il le blesse grièvement au bras et au côté, mais la blessure ne fut pas mortelle [...] |
NOTES: | Éd. et trad. Charles Méla, Paris, Le Livre de poche, 1990. vv. 8308-8314. |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. . |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |
OCCURRENCE: | 200052 accreditee |
CONTEXTE: | Perceval apprend par sa cousine les raisons de l'infirmité du Roi Pêcheur chez qui il vient de passer la nuit. Comme pour son père, la blessure aux hanches a entraîné la stérilité de la terre : voir à ce sujet les vers 3520-3528. |
COTEXTE ET CITATION: | Rois est-il, bien lo vos os dire, Mais il fu en une bataille Navrez et mehaigniez sanz faille Si que puis aidier ne se pot. <citation>Si fu navrez d'un javelot Parmi les anches amedeuz, S'en est encore si engoiseus Qu'il ne puet sor cheval monter.citation> Il est roi, je peux bien vous le dire, mais il a été, au cours d'une bataille, blessé et vraiment mutilé à tel point qu'il ne peut plus se soutenir par lui-même. C'est un javelot qui l'a blessé entre les deux hanches. Il en ressent encore une telle souffrance qu'il ne peut monter a cheval. |
NOTES: | vv 3446-3453. |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. . |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200225 accreditee |
CONTEXTE: | Et einsi com il aprochoient Vers la forest, issir an voient Le cheval Keu, sel reconurent, Et virent que les regnes furent Del frain ronpues anbedeus. Li chevax venoit trestoz seus, S'ot de sanc tainte l'estriviere. |
COTEXTE ET CITATION: | Le sénéchal Keu s'impose comme candidat pour triompher du chevalier qui tient en captivité des personnes de la cour. Son cheval revient de la rencontre tout seul. |
NOTES: | P. 60, v. 257-263. |
SOURCE: | CHRÉTIEN DE TROYES, Le chevalier de la charrette. Paris: Livre de Poche. Lettres gothiques, 1992.Édition et traduction Charles Méla |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |
OCCURRENCE: | 200227 accreditee |
CONTEXTE: | Aucassin oublie ses rênes en pensant à Nicolette, tombe de cheval et se démet l'épaule. |
COTEXTE ET CITATION: | Pensa tant a Nicolete sa douce amie qu'il oublia ses resnes et quanques il dut faire. Et li cevax qui ot senti les esperons l'en porta par mi le presse, se se lance tres entre mi ses anemis. Il pensait tellement à Nicolette, sa douce amie, qu'il en oubliait ses rênes et tout ce qu'il devait faire. Son cheval qui avait senti la piqûre des éperons, l'emporta au coeur de la mêlée au beau milieu de ses ennemis. |
NOTES: | P. 68. |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |
OCCURRENCE: | 202662 accreditee |
CONTEXTE: | Birague aide Sylvie à fuir Mme de Molière. |
COTEXTE ET CITATION: | Tout ce que Monsieur de Birague pût faire pour moy en cette allarme, fut de monter promptement à cheval, et avant qu'on eût pû songer à s'assurer de ma personne, de s'en assurer luy-même ; <citation>il m'alla cacher dans une maison forte de Madame la Comtesse d'Englesaccitation>. |
NOTES: | 26-27 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 200211 accreditee |
CONTEXTE: | Lors fu li chevaliers iriez, La lance a en .ii. poinz levee Et si l'en done grant colee Par les espaules en travers Par la on n'estoit pas li fers, Qu'il lo fist enbronchier aval Jusque sor lo col do cheval. Et li vallez s'est correciez Quant il santi qu'i[l] fu bleciez De la colee qu'il ot prise. A l'oil au mielz qu'il puet l'avise Et laise aler lo javelot. Le chevalier a, cette fois, perdu son calme, à deux mains il brandit sa lance et lui assène un grand coup par le travers des épaules, avec la partie où il n'était pas le fer. Il lui a fait courber la tête jusqu'à l'encolure de son cheval. Le jeune homme s'est pris de colère à sentir la blessure du coup qu'il a reçu. Il le vise à l'oeil, du mieux qu'il peut, et laisse partir son javelot. |
COTEXTE ET CITATION: | A la sortie de la cour d'Arthur, Perceval rencontre le chevalier vermeil et provoque sa colère en lui demandant de lui donner ses armes. |
NOTES: | P. 96-97, vv. 1058-1069. |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. . |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200190 accreditee |
CONTEXTE: | Jehan dissimule son identité au comte de Gloucester, le prétendant de Blonde. |
COTEXTE ET CITATION: | Coment fu vostre non pelé ? –Sire, dist il, j’ai non Gautier, Je sui nes devers Mondidier. -- Gautier ? Diable, ce fu non sot ! Et ou vole vous aler tot ? Cil varlet fou il vostre gent, Cui fu monté seul cheval gent ? -- Oïl voir, sire, il est a moi, Il me garde ce palefroy. –Voel le vous vendre ? Je cater, Si vous vol a raison donner. Il fout mout bel prendre deniers. -- Sire, jel vendrai volentiers, Fait Jehans, car marcheans sui. Comment vous être (ap)pelé ? -- Seigneur, répondit Jehan, Je m’appelle Gautier et je suis né du côté de Mondidier. -- Gautier ? Diable ! Ceci être nom de sot. Et où vous vouloir aller si tôt ? Ce valet, monté su(r) le beau cheval, être votre gens ? -- Oui, seigneur, il est à moi ; il me garde ce palefroi. – Vous vouloir le vendre ? Moi (l’a)cheter et vouloir bien payer. Prend(r)e l’argent être très bon pour vous. Seigneur, je le vendrai volontiers, dit Jehan, car je suis marchand. |
NOTES: | P. 95, vv. 2639-2653 ; trad. p. 64. Le texte imite le mauvais français parlé par le comte. |
SOURCE: | Philippe de Rémi, Jehan et Blonde. Champion: Paris, 1984.Edition Sylvie Lécuyer |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200191 accreditee |
CONTEXTE: | Jehan dissimule son identité au comte de Gloucester, le prétendant de Blonde et se fait passer pour un marchand. |
COTEXTE ET CITATION: | Coment fu vostre non pelé ? -Sire, dist il, j’ai non Gautier, Je sui nes devers Mondidier. -- Gautier ? Diable, ce fu non sot ! Et ou vole vous aler tot ? Cil varlet fou il vostre gent, Cui fu monté seul cheval gent ? -- Oïl voir, sire, il est a moi, Il me garde ce palefroy. –Voel le vous vendre ? Je cater, Si vous vol a raison donner. Il fout mout bel prendre deniers. -- Sire, jel vendrai volentiers, Fait Jehans, car marcheans sui. Comment vous être (ap)pelé ? -- Seigneur, répondit Jehan, Je m’appelle Gautier et je suis né du côté de Mondidier. -- Gautier ? Diable ! Ceci être nom de sot. Et où vous vouloir aller si tôt ? Ce valet, monté su(r) le beau cheval, être votre gens ? -- Oui, seigneur, il est à moi ; il me garde ce palefroi. – Vous vouloir le vendre ? Moi (l’a)cheter et vouloir bien payer. Prend(r)e l’argent être très bon pour vous. Seigneur, je le vendrai volontiers, dit Jehan, car je suis marchand. (64) |
NOTES: | P. 95, vv. 2639-2653 Le texte imite le mauvais français parlé par le comte. |
SOURCE: | Philippe de Rémi, Jehan et Blonde. Champion: Paris, 1984.Edition Sylvie Lécuyer |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200231 accreditee |
CONTEXTE: | Aucassin, en quête de Nicolette, la cherche dans la forêt où elle s'est réfugiée et arrive à la hutte de feuilles qu'elle a construite. |
COTEXTE ET CITATION: | Il mist le pié fors de l'estrier por descendre, et li cevaus fu grans et haus ; il pensa tant a Nicolete se tresdouce amie qu'il caï si durement sor une piere que l'espaulle li vola hors du liu. Il sortit le pied de l'étrier pour descendre, mais son cheval était grand et haut, et Aucassin pensait tant à Nicolette sa très douce amie, qu'il tomba lourdement sur une pierre au point de se démettre l'épaule. |
NOTES: | P. 118-119. |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305317 accreditee |
CONTEXTE: | Le Comte d'Englesac se croyait toujours aimé de Sylvie. Il apprend qu'elle est mariée. Saisi de désespoir, il tente de se donner la mort. |
COTEXTE ET CITATION: | Quel fut le premier objet qui s'y présenta à ses yeux, comme il ne faisoit que descendre de cheval ? Sa Maîtresse mariée ; ô Dieu ! Quel spectacle pour lui ! Frappé comme d'un coup de foudre à cette veüe, & après s'estre fait dire les particularitez de sa disgrace, <CITATION>il voulut de douleur se jetter sur son espée, & c'en estoit fait, sans la promptitude avec laquelle son Valet de chambre l'en empêcha.CITATION> |
NOTES: | [(Page) 67-68] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. Paris: 1671-72. |
CHERCHEUR/E: | Boursier N. |
OCCURRENCE: | 303842 accreditee |
CONTEXTE: | ...mu de retrouver Nicolette dans la hutte qu'elle a construite dans la forêt, Aucassin tombe de cheval et se démet l'épaule. |
COTEXTE ET CITATION: | Ele le portasta et trova qu'il avoit l'espaulle hors du liu. Ele le mania tant a ses blances mains et porsaca, si con Dix le vaut qui les amans ainme, qu'ele revint a liu. Et puis si prist des flors et de l'erbe fresce et des fuelles verdes, si le loia sus au pan de sa cemisse et il fu tox garis. |
NOTES: | [(Page) 124] |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305594 accreditee |
CONTEXTE: | La rumeur parvient à Lancelot que la reine est morte. Il s’abandonne à la douleur et appelle la mort. Il tente de se pendre avec le nœud de sa ceinture en se glissant à bas de son cheval. Mais ses compagnons le relèvent. |
COTEXTE ET CITATION: | Morz qui onques ne desirra Se cez non qui de li n'ont cure Ne vialt venir, mes ma ceinture La m'amanra trestote prise. […] Lors ne demore ne delaie, Einz met le laz antor sa teste, Tant qu'antor le col li areste, Et por ce que il mal se face Le chief de la ceinture lace A l'arçon de sa sele estroit, Ensi que nus ne l'aparçoit, Puis se let vers terre cliner. […]Cil qui avoec lui chevalchoient Si cuident que pasmez se soit Que nus del laz ne s'aparçoit Qu'antor son col avoit lacié. Tot maintenant l'ont enbracié, Sel relievent antre lor braz, Et si ont lors trové le laz Dont il estoit ses anemis, Qu'anviron son col avoit mis Sel tranchent molt isnelement. La Mort, qui a toujours cehrché ceux qui ne veulent pas d'elle, refuse de venir, mais avec ma ceinture je vais la saisir et elle sera là. […]Alors sans plus aucun retard, il passe sa tête par le noeud jusqu'à ce qu'il tienne autour de son cou, et, dans le but de se détruire, il attache par l'autre bout la ceinture étroitement à l'arçon de la selle, sans éveiller l'attention de personne, puis se laisse glisser au sol. […]En le voyant tombé à terre, ceux qui chevauchaient avec lui le croient d'abord évanoui, car personne n'a remarqué le noeud qui lui serrait la gorge. Le prenant aussitôt à bras-le-corps, ils le relèvent dans leurs bras et découvrent alors le noeud qu'il s'était mis autour du cou, se faisant ainsi l'ennemi de lui-même. En toute hâte ils l'ont coupé. |
NOTES: | P. 300-302, v. 4276-4305. |
SOURCE: | CHRÉTIEN DE TROYES, Le chevalier de la charrette. Paris: Livre de Poche. Lettres gothiques, 1992.Édition et traduction Charles Méla |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305599 accreditee |
CONTEXTE: | Floripas, la fille de l’amirant, proclame son amour pour Gui de Bourgogne qu'elle estime pour sa grande valeur. |
COTEXTE ET CITATION: | «Signeur», dist Floripas,« or dirai mon pensé». «.I. chevalier de France ai lontans enamé” «Guis a nom de Borgoigne, moult i a bel armé; «Parens est Karlemaine et Rollant l’aduré. «Dès que je fui à Romme, m’a tout mon cuer emblé; «Quant l’amirans mes peres fist gaster la cité, «Lucafer de Baudas abati ens ou pré, «Et lui et le ceval, d’un fort espiel quarré. «Se cis n’est mes maris, je n’arai homme né; «Pour lui voel je croire ou roi de sainte maïsté». «Seigneurs», dit Floripas, «je vous dirai ce que je pense. J’aime depuis longtemps un chevalier de France. Il s’appelle Gui de Bourgogne et il porte bien ses armes. Il est parent de Charlemagne et du vaillant Roland. Dès mon séjour à Rome, il m’a dérobé mon coeur. Quand mon père l’amiral fit ravager la cité, Gui a abattu d’un gros épieu carré Lucifer de Baudas et son cheval. S’il ne devient mon mari, je n’en épouserai aucun autre. Pour lui, je veux croire au Dieu de sainte majesté». (ma traduction). |
NOTES: | P.68, vers 2236-2245. |
SOURCE: | Anonyme, Fierabras. Paris: F. Didot, 1879.Edition de Gaston Raynaud |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305614 accreditee |
CONTEXTE: | Abandonné par le roi et sans appui, Lanval, désoeuvré, part à l’aventure en-dehors de la ville. C’est là qu’il va rencontrer la jeune fille de l’autre monde, qui va devenir son amie et lui donner la richesse. |
COTEXTE ET CITATION: | i aveit li reis sujurné. Asez i duna riches duns E as cuntes e as baruns, A cels de la table roünde […] femmes et terres departi, fors a un sul ki l’ot servi, Ceo fu Lanval; nel’en sovint, Ne nuls des soens bien ne li tint. Li chevaliers dunt jeo vus di, Ki tant aveit le rei servi, Un jur munta sur sun destrier, si s’est alez esbaneier Fors de la vile en est eissuz ; Le roi séjournait donc dans la ville, il a distribué de riches présents à ses comtes, à ses barons, aux chevaliers de la Table Ronde […]. Il a donné à tous femmes et terres, sauf à un seul de ceux qui l’avaient servi, Lanval : il l’a oublié et personne, dans l’entourage du roi, n’a cherché à la défendre, Le chevalier dont je vous parle, qui a si bien servi le roi, monte un jour à cheval pour se promener. Il quitte la ville. |
NOTES: | P. 134, 12-20; p. 136, vers 39-43. |
SOURCE: | Marie de France, Lanval. Paris: Lettres gothiques, 1990.Texte édité par Karl Warnke. Trad.: Laurence Harf-Lancner,Paris, Lettres Gothiques,1990. |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305623 accreditee |
CONTEXTE: | Eliduc, suivant sa promesse à Guilliadon, revient au jour fixé pour l'enlever. |
COTEXTE ET CITATION: | Sun chamberlenc apareilla e a s’amie l’enveia, si li manda que venuz fu, bien a son cuvenant tenu; la nuit quant tut fu avespré, s’en eissist fors de la cité; li chamberlens od li ira, e il encuntre li sera. Sur un cheval la fist munter, e il munta, sa resne prent, od li s’en vet hastivement Il donne ses instructions à son chambellan, qu’il envoie à son amie pour lui dire qu’il est arrivé, fidèle à sa promesse: cette nuit quand il fera sombre, qu’elle sorte de la ville avec le chambellan: lui-même viendra à sa rencontre. Il la fait monter à cheval, monte lui-même en selle, saisit les rênes et part au galop avec elle. |
NOTES: | P.306-308, vers 767-774; 806-808. |
SOURCE: | Marie de France, Eliduc. Paris: Lettres Gothiques, 1990.Texte édité par Karl Warnke Traduction par Laurence Harf-Lancner |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305776 accreditee |
CONTEXTE: | Début de la nouvelle intitulée "Les deux brigands". |
COTEXTE ET CITATION: | Un gentilhomme, dont je cognois la maison, faisant voyage seul bien monté & le pistolet à l'arçon de sa selle, fut rencontré en un destroit par deux soldats desbandez qui faisans semblant de luy demander l'aumosne, se jettent sur luy, & l'ayans percé de divers coups d'espée le laissant mort sur la place, tirans son corps dans un boccage voysin, luy prennent sa bource, son cheval & son pistolet. |
NOTES: | Page 326. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305902 accreditee |
CONTEXTE: | Perceval voyage avec une demoiselle qu'il veut venger car un chevalier qui lui avait promis le mariage l'a trahie. |
COTEXTE ET CITATION: | Perchevaus tout sans demorer Est descendus de son destrier, Assez fu qui li tint l'estrier. A tant li sire les en maine En la soie sale demaine, Si fait desarmer Percheval. De le mule ne del cheval N'estuet parler, c'est chose vaine, Assez orent fain et avaine A remanant icele nuit. |
NOTES: | Tome I, page 60, vers 1914-1923. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, La continuation de Perceval. Paris: Champion, 1922.Édition de Mary Williams |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305910 accreditee |
CONTEXTE: | Une jeune fille rencontrée par Perceval lui fait le récit de la mésaventure qui lui est arrivée. en fait, il s'agit d'une traîtresse qui ment |
COTEXTE ET CITATION: | Atant vinrent doi chevalier qui maintenant entr'ax me prisent et desor le cheval me misent, si m'en porterent les galos tant qu'a l'entree de cest bos vinrent, si me misent a terre ; et li uns d'ax me vint requerre que je ses volentez feïsse ; et, si m'aït Dix, mix volsisse estre detraite piece a piece. ne demora mie grant piece quant doi autre chevalier vinrent ... |
NOTES: | Tome III, page 43, v. 15332-44. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, La continuation de Perceval. Paris: Champion, 1922.Édition de Mary Williams |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305921 accreditee |
CONTEXTE: | Gérard combat les Saxons qui ont dévasté la région de Cologne. Aiglente, la fille du duc Mile, et sa suivante Flourentine admirent ses exploits depuis les murs de la ville et tombent amoureuses de lui. |
COTEXTE ET CITATION: | "Or di, biele, foi que me dois, Veïs tu or cel chevalier, Qui chaiens vint a cheval ier ? Com il set bien armes porter ! Le veïstes vous or jouster A cel Saisne k'il abati ? Pleüst a Diu, ki ne menti, K'il m'amast ! que je l'ameroie." Dist Flourentine : "Je volroie K'il m'eüst un des dois consté De mon pié, mais les son costé Me leüst une nuit jesir, S'eüsse de lui mon desir." |
NOTES: | Pages 111-112, vers 2723-2735. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, Roman de la Violette. Paris: H.Champion, 1928.Edition Douglas Labaree Buffum |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |