OCCURRENCE: | 100848 accreditee |
CONTEXTE: | La servante dénonce à sa maîtresse les assiduités du mari; l'épouse le confond au cours d'un rendez-vous truqué. (mais ce n'est pas une substitution nocturne). |
COTEXTE ET CITATION: | "Et arriva à si bonne heure, qu'elle entra par une aultre porte en la chambre où son mary ne faisoit que arriver, et, se cachant derriere l'huys, escoutant les beaulx et honnestes propos que son mary tenoit à sa chamberiere. Mais quand elle veid qu'il approchoit du criminel, le print par derriere, en luy disant : "Je suis trop près de vous, pour en prendre une aultre." Si le gentil homme fut courroucé jusques à l'extrémité, il ne le fault demander, tant pour la joye qu'il esperoit recepvoir et s'en veoir frustré, que de veoir sa femme le congnoistre plus qu'il ne le vouloit." |
NOTES: | [(Page) 363 59e journée] |
SOURCE: | Navarre (Marguerite de), Heptaméron. Paris: Classiques Garnier, 1950.Édition de Michel François |
CHERCHEUR/E: | Bideaux M. |
OCCURRENCE: | TT101916 CHANTIER |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | A force de reflexion, Florange conclut que Mainville et sa femme doivent être amants. Un jour il les surprend en conversation et les confond par sa perspicacité. Devant leurs dénégations embarrassées, il leur interdit de se revoir, sous le prétexte que, si Mainville n'a pas su reconnaître le mérite de la marquise et l'aimer, il n'est plus digne de la voir. |
NOTES: | [(Page) 157-9] |
SOURCE: | Anonyme, Nouveaux désordres de l'amour (Les). Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |