OCCURRENCE: | 103110 accreditee |
CONTEXTE: | Comme dans la première histoire du recueil (qui en compte trois) le duel représente ici la punition finale de la passion, et des actions qu'elle a inspirées --Ici pourtant le personnage puni n'est pas la femme (une courtisane), mais son amant passionné et naïf. |
COTEXTE ET CITATION: | Après plusieurs delais ils se rencontrent finalement hors la ville, où sans autre deffy, ils mettent la main à l'espée, et monstrent par leur coups le peu de bien qu'ils se veulent -- quelques estocades tirees, ils tomberent tous deux d'un coup entrefourré, qui ouvre le passage de la mort à leurs vies, et les renvoyé par devant Pluton, pour les accorder de leurs differents. |
NOTES: | [(Page & Histoire) 144, III. |
SOURCE: | Du Pont (Jean-Baptiste), Enfer d'amour (L') ou par trois histoires est monstré .... Thibaut Ancelin: Lyon, 1603.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Poli S. |
OCCURRENCE: | 104416 accreditee |
CONTEXTE: | Frédélingue tente de délivrer une femme emprisonnée par Fermane. Un combat s'ensuit. L'échec est alors complet. Frédélingue est découvert, doit se défendre, et est gravement blessé. |
COTEXTE ET CITATION: | Après ces mots, il m'attaqua avec une intrépidité surprenante. Je voulus, pendant quelques moments, ménager sa vie, et ne faisais que parer ses coups. Je me sentis blessé ; mon sang qui coulait m'irrita ; je le pressai : je reçus encore une nouvelle blessure. |
NOTES: | [(Page& Partie) 278, V] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 103928 accreditee |
CONTEXTE: | Pontis, engagé près de Verdun dans un bois peu sûr avec un chanoine, est attaqué par six ou sept voleurs. |
COTEXTE ET CITATION: | [...] Nous lachâmes nos chevaux, et me serrant dos à dos avec le chanoine, je [lui] dis de ne point me quitter, et de se défendre ave son épée du mieux qu'il le pourroit [...] Ils nous tirèrent d'abord quelques coups de fusil dont le chanoine seul fut blessé à la cuisine ; mais la chaleur du combat l'empêcha de le sentir : car il se défendait de son côté avec une ardeur incroyable, ayant sur lui une ceintrure de trois cents pistoles, qui lui fournissait un merveilleux courage. |
NOTES: | [(Page& Tome) 83, XXXI] Dans Mémoires de Gaston, duc d`Orléans, collection des mémoires relatifs à l'histoire de France, M. Petitot, Paris, 1824, XXXI, p. 83. |
SOURCE: | Gaston, duc d'Orléans?, Mémoires de Gaston, duc d'Orléans. M. Petitot: Paris, 1824. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 305967 accreditee |
CONTEXTE: | Ataïn, messager du roi auprès de Berthe, la comtesse de Roussillon, tente de la violer. |
COTEXTE ET CITATION: | Et quant la vit colchade el lit sovine, E fu en sa chemise doljat de line, - E a gente façon et color fine ; Et tan blanche la car cun flor d’espine,- Li gars poset se man sor sa poitrine, E vol baillar son cors e sa tetine E baisar en la boche, quant l’agratine : « Mar ou vos ou pensastes, gars de cuisine ! -Eu me gabave, donne qu’es pelegrine ; Aqui romeu de loin jaz sor l’eschine. » Ele apela Garsent e Aibeline : « Ostaz mei is gloton qui m’ataïne.» Et quand il la vit allongée dans le lit, vêtue de sa seule chemise de fine toile de lin, -avec son beau visage, son teint délicat, sa peau blanche comme fleur d’aubépine- il porta la main sur elle, tout prêt à lui caresser les seins, le corps, à embrasser sa bouche, mais elle se défendit à coups d’ongles. –À quoi pensez-vous, maudit rustre ! -C’était pour plaisanter, madame le pèlerine : le pèlerin lui aussi est couché, mais pas ici. - Garsent, Aibeline, débarrassez-moi de ce malotru ! » dit-elle avec colère. |
NOTES: | Page 706-07, v. 9617-28. |
SOURCE: | Anonyme, Girart de Roussillon. Paris: Livre de poche, Lettres gothiques, 1993.Édition de W.M. Hackett (1953-55) Traduction de Micheline de Combarieu du Grès et Gérard Guiran. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104436 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Ligneroles fut attaqué par quatre hommes inconnus, qui crierent à Bussy, qu'ils n'en vouloient qu'à la vie de Ligneroles, mais il leur fit connoître pour toute réponse, qu'il étoit difficile de donner la mort à un homme qu'il défendoit. Ligneroles opposoit son courage au nombre de ses ennemis, et conjuroit Bussy de le laisser perir seul sans se mettre en danger de perdre la vie, ou par ces assassins, ou par la colere du Roi, qui ne manqueroit point d'être averti du secours qu'il venoit de lui donner. Bussy souffroit avec impatience ce que lui disoit Ligneroles, et paroit la pluspart des coups qui lui étoient portez. Le Duc de Guise passa dans ce moment, et se mit de la partie, les quatre hommes cederent à la valeur et à la fermeté du Duc, de Bussy et de Ligneroles. |
NOTES: | [(Page & Tome) 43-44, 2] Cie des Libraires: p.149-150 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Amours des grands hommes (Les). 16.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104450 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | [Célidor]"Ah! Madame...à quoi vous engagez-vous, que plûtôt mille coups mortels me percent le coeur en vôtre presence, que de voir jamais Cleonice l'Epouse d'Artambare.» |
NOTES: | [(Page & Tome) 142, 1] Cie des Libraires p. 545 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de),Desjardins, Cléonice, ou le roman galant. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 102510 accreditee |
CONTEXTE: | Le roi maltraite sa maîtresse Diane parce qu'il devine qu'elle attendait son amant, le duc de Parme. |
COTEXTE ET CITATION: | [Diane, surprise par le roi quand elle attendait son amant, le duc de Parme, essaie de réparer le mal. Mais le roi]" se démesla de ses embrassemens, qu'il regardoit alors comme d'une couleuvre, ou de quelque chose de plus dangereux encore; et la rage dont il étoit transporté luy faisant oublier la moderation deue à sa dignité, on tient qu'il commença sa vengeance par quelques coups de poing, et qu'il témoigna vigoureusement dans cette rencontre, que tous Monarques sont hommes, si-tôt qu'ils deviennent Amans". |
NOTES: | [(Page & Tome) 174, 3] Cie des Libraires p. 98-99. |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Oeuvres complètes de Mme de Villedieu. Oeuvres,Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21..(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 100658 chantier |
CONTEXTE: | Ils avaient trouvé ce jeune homme aux prises avec le sélictar et déjà blessé d'un coup de poignard." "Ils avaient tous deux armes. Synèse menacé s'est mis en état de se défendre. Mais ayant été blessé par le sélictar, il l'a saisi au corps et je voyais les deux poignards briller en l'air dans les efforts qu'ils faisaient tous deux pour se porter des coups. |
NOTES: | Même événement raconté d'abord par le narrateur puis par Théophé. Deux points de vue différents. |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire d'une grecque moderne. Garnier Flammarion/Alan J. Singerman: Paris, 1990. |
CHERCHEUR/E: | Marsal H., Weil M. |
OCCURRENCE: | TT103410 CHANTIER |
CONTEXTE: | "Il aimait à faire des piqûres d'épingles, et, pour seconde, décharge en donnant trois coups de poignard dans le coeur". |
NOTES: | [(Page & Tome & Partie) 264-5, 2, 4] Le 9 février, Passion 43 Première transformation explicite de la figure: l'instrument servant traditionnellement à assembler des corps séparés s'inverse en instrument propre à lacérer un corps intègre. |
SOURCE: | Sade (Marquis de), Cent vingt journées de Sodome (Les)ou l. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Martin C. |
OCCURRENCE: | 102610 accreditee |
CONTEXTE: | Périandre tente d'enlever Caliste, mais Clorante l'accable "d'un coup mortel" et l'envoie "aux enfers". |
COTEXTE ET CITATION: | Périandre se défend quelque temps avec les siens : mais qui peut résister à l'amour armé pour défendre l'objet qui l'allume, et secondé d'un ami intrépide et plein de valeur ? Périandre et les siens tombent percés de plusieurs coups mortels. |
NOTES: | [(Page) Tome V, 300] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 103700 accreditee |
CONTEXTE: | Gargantua démolit le chateau du Gué de Vède: |
COTEXTE ET CITATION: | "Ponocrates l'advisa [Gargantua] que ce n'étaient autres mouches que les coups d'artillerie que l'on tirait du château. Alors choqua de son grand arbre contre le château, et à grands coups abattit et tours, et forteresses, et ruina tout par terre. Par ce moyen furent tous rompus et mis en pièces ceux qui étaient en icelui". |
NOTES: | [(Page & Chapitre & Li) 183, XXXIIII, 32-36] Vérifier la citation. |
SOURCE: | Rabelais, Gargantua. La vie inestimable du grand Gargantua.... Paris: Classique Modernes- Le Livre de poche, 1994. |
CHERCHEUR/E: | Garand D. |
OCCURRENCE: | TT103454 CHANTIER |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Emerenciane tue de deux coups de poignard Clodio, le valet de son père. Celui-ci lui avait fait croire qu'il avait sauvé son amant Don Gaston et qu'il venait à sa erncontre. En fait, Il ne l'a fait sortir de la maison où elle était séquestrée que pour tenter d'abuser d'elle |
NOTES: | Editeur : Witte, Paris, 1715 |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Pierre Witte, 1715. |
CHERCHEUR/E: | Assaf F. |
OCCURRENCE: | 104466 accreditee |
CONTEXTE: | Le dauphin trouve un homme blessé, soigné par des ermites. |
COTEXTE ET CITATION: | Je leur ai demandé par quel accident cet homme étoit en cet état. Il y a de l'apparence que ce sont des voleurs qui 'y ont mis, a reparti l'un de ces Peres, car nous avons entendu tirer plusieurs coups: Nous sommes sortis pour voir ce qui causoit ce bruit, et nous avons apperceu deux ou trois hommes qui se sauvant entre les arbres, nous ont laissé celuy cy blessé comme vous le voyez. |
NOTES: | [(Page & Tome) 267, 3] Cie des Libraires p. 469-70 |
SOURCE: | Retif de la Bretonne, Le paysan parvenu. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 103664 accreditee |
CONTEXTE: | Lors d'une altercation terminée en bagarre généralisée Doguin, a frappé l'homme qui, le lendemain l'agresse. |
COTEXTE ET CITATION: | Doguin fut rencontré par un des jeunes hommes qu'il avoit battu le jour de devant [...] et revint au logis avec deux bons coups d'épée". "On s'approche du lit de Doguin sur le point qu'il rendait le dernier soupir". |
NOTES: | [(Partie & Page) I, 543-7] Doguin dont la mort est mentionnée dans le titre du chapitre 6 disparaît donc très vite du récit. Il est le valet de la Rappinière, personnage malhonnête dont le statut actantiel est plus important. |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Riou D. |
OCCURRENCE: | 103760 accreditee |
CONTEXTE: | Les guerre entre Gargantua et les fouaciers de Lerné. |
COTEXTE ET CITATION: | "Puis voulut gagner à la fuite, mais forgier s'écria: Au meurtre, et à la force, tant qu'il put; ensemble lui jeta un gros tribard qu'il portait sous son aisselle, et le atteignit par la jointure coronale de la tête, sus l'artère crotaphique, du côté dextre, en sorte que Marquet tomba de dessus sa jument, mieux semblant un homme mort que vif". |
NOTES: | [(Page & Chapitre & Li) 131, XXIII, 38-42] Au paragraphe suivant, Forgier est appuyé par toute sa bande qui chasse à grands coups les fouaciers. |
SOURCE: | Rabelais, Gargantua. La vie inestimable du grand Gargantua.... Paris: Classique Modernes- Le Livre de poche, 1994. |
CHERCHEUR/E: | Garand D. |
OCCURRENCE: | 305720 accreditee |
CONTEXTE: | Rigobert qui a pris sur le fait sa femme en compagnie de son amant de venge d'une façon particulièrement cruelle. |
COTEXTE ET CITATION: | Après avoir donc coupé à ce misérable jeune homme le nez, les oreilles, les extrémités des pieds et des mains et ce qui le rendait homme, il lui donne plus de cinquante coups de dasgue devant que de le favoriser de celui de la mort. […] Il la fit traîner ainsi garottée dans une cave profonde où il la laissa mourir . |
NOTES: | Pages 67-68. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104646 accreditee |
CONTEXTE: | L'amant de Misrie est réduit en esclavage par le Turc par qui elle est elle-même détenue. |
COTEXTE ET CITATION: | "T'a-t-on placé dans cet endroit pour ne travailler qu'à rompre les outils qu'on te donne? [...] A ces mots, il m'arracha ma chemise, et me reversant à terre, il me donna mille coups de fouets. Son père [...] me déchargea un nombre infini de coups de bâtons." |
NOTES: | [(Page& Partie) 228, IV] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 103736 accreditee |
CONTEXTE: | Solim raconte la mort d'une jeune homme trouvé chez Roxane. |
COTEXTE ET CITATION: | "Il m'a donné deux coups de poignard. Les eunnuques [...] l'ont entouré, il s'est défendu [...] <CITATION> enfin il a cédé au nombre, et il est tombé à nos pieds CITATION>." |
NOTES: | [(Page & Lettre) 333, 159] |
SOURCE: | Montesquieu, Lettres persanes (Les). Pierre Marteau: Cologne, 1721.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
OCCURRENCE: | 102608 accreditee |
CONTEXTE: | Périandre tente d'enlever Caliste, mais Clorante l'accable "d'un coup mortel" et l'envoie "aux enfers". |
COTEXTE ET CITATION: | Périandre se défend quelque temps avec les siens : mais qui peut résister à l'amour armé pour défendre l'objet qui l'allume, et secondé d'un ami intrépide et plein de valeur ? Périandre et les siens tombent percés de plusieurs coups mortels. |
NOTES: | [(Page) Tome V, 300] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 101628 chantier |
CONTEXTE: | Emerenciane tue de deux coups de poignard Clodio, le valet de son père, qui lui avait fait croire qu'il avait sauvé son amant, don Gaston, et qu'il la menait à sa rencontre, mais qui en fait ne l'avait fait sortir de la maison où elle était séquestrée sur l'ordre de son père que pour tenter d'abuser d'elle. |
NOTES: | [(Page) v.III, p.270-1] |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Pierre Witte, 1715. |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104372 accreditee |
CONTEXTE: | Une nourrice est poursuivie, un enfant dans les bras. La générosité des paysans prêts à se battre sauve l'enfant. |
COTEXTE ET CITATION: | "[...] l'honneur que nos maris conçurent de leur barbarie [...] les fit avancer vers leurs ennemis [...] ils se virent chargés de tant de coups, qu'ils ne songeaient plus qu'à s'enfuir." |
NOTES: | [(Page& Partie) 95, II] L'aide ici est agressive. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 101376 accreditee |
CONTEXTE: | Trois animaux : un corbeau, un chien et un chat, s'opposent à la levée du corps de leur maître mort au cours de la nuit. |
COTEXTE ET CITATION: | Le corbeau se jeta sur eux [les prêtres chargés de la levée du corps] croassant de toute sa force, en leur donnant des coups de bec et de pattes. Le chien et le chat en firent de même [...]". |
NOTES: | [(Page) 146] Un lecteur contemporain aurait sujet de s'amuser d'une apparente maladresse de style (voir le co-texte). |
SOURCE: | Anonyme, Désespoir amoureux (Le). Josué Steenhouwer, et al.: Amsterdam, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 102936 accreditee |
CONTEXTE: | Frédélingue tente de délivrer une femme emprisonnée par Fermane. Un combat s'ensuit. L'échec est alors complet. Frédélingue est découvert, doit se défendre, et est gravement blessé. |
COTEXTE ET CITATION: | Il m'attaqua avec une intrépidité surprenante. Je voulus, pendant quelques moments, ménager sa vie, et ne faisais que parer ses coups. Je me sentis blessé ; mon sang qui coulait m'irrita ; je le pressai : je reçus encore une nouvelle blessure : je m'affaiblissais, et je le perçai d'un coup qui le fit tomber. Un moment après, je tombai moi-même. |
NOTES: | [(Page& Partie) 278, V] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 103108 accreditee |
CONTEXTE: | Salustre et Flaminie continuent de se voir et de s'aimer après le mariage de Flaminie avec Altomont. Le mari s'en aperçoit et tâche de mettre fin à leur relation. Salustre alors, avec un valet, l'attire dans un guet-apens et le tue. |
COTEXTE ET CITATION: | Ces homicides, sans rien dire l'assaillent [le mari] et lui donnent deux ou trois coups d'épée au travers du corps. |
NOTES: | [(Page & Histoire) 412, XIX] Edition: Librairie Gén. Française, Paris, 1994. Dans ce recueil ce topos apparaît trois fois (sur 23 histoires) et toujours avec des caractéristiques semblables (nuit, lieu écarté, présence de mandataires, etc. |
SOURCE: | Rosset (François de), Histoires mémorables et tragiques de ce temps...(Les). 1614 (aucun ex. connu): .(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | De Vauchet A., Poli S. |
OCCURRENCE: | 104556 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Le galant Rapporteur 'crût que je le l'aimerois jamais assez, si je n'étois persuadée qu'il fût brave, et dans cette imagination, un soir que nous devions courir le Bal, il aposta trois hommes pour attaquer nôtre Carosse, et pour fuïr aussi-tôt qu'il se mettroit en défense. La bravoure avoit réüssi, et même au-delà de ce qu'il esperoit; car avant que ces voleurs apostez fussent venu exorcer son courage, trois autres qui n'avoient pas promis de fuïr, nous avoient effectivement volez, et il s'étoit lancé sur eux avec toute l'audace d'un homme qui se méprenoit; c'étoit à la verité pour s'en faire battre, et même d'une maniere pitoyable, comme il arriva; mais n'importe, au moins sa hardiesse que je crus sans artifice m'avoit dupée, et un si bon effet consoloit des coups receus. |
NOTES: | [(Page) 150-1] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. Paris: 1671-72. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305375 accreditee |
CONTEXTE: | Lors de son tour de l’île à pied, Bernardin a voulu marcher pieds-nus comme les esclaves, mais il a attrapé des coups de soleil, aux jambes notamment, et en souffre beaucoup. |
COTEXTE ET CITATION: | « En mettant mon pied dans l’eau, j’éprouvai à mes blessures une douleur fort vive. » |
NOTES: | P. 227-228. Co-occurrence avec BLESSURE_PIED. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Voyage à l’Ile de France. Paris: 1818.Éd. Méquignon-Marvis |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305382 accreditee |
CONTEXTE: | Lors de son tour de l’île à pied, Bernardin a voulu marcher pieds-nus comme les esclaves, mais il a attrapé des coups de soleil, aux jambes notamment, et en souffre beaucoup. |
COTEXTE ET CITATION: | En mettant mon pied dans l’eau, j’éprouvai à mes blessures une douleur fort vive. |
NOTES: | P. 227-228. Co-occurrence avec le topos MARCHER_NU_PIED. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Voyage à l’Ile de France. Paris: 1818.Éd. Méquignon-Marvis |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 104206 accreditee |
CONTEXTE: | Un mari mutile l'amant de sa femme avant de le tuer. |
COTEXTE ET CITATION: | Après avoir donc coupé à ce miserable jeune homme le nez, les oreilles, les extrémités des pieds et des mains et ce qui le rendait homme, il lui donne plus de cinquante coups de dague devant que de le favoriser de celui de la mort. |
NOTES: | Page 67. Voir le topos VENGER (SE) SADIQUEMENT |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305769 accreditee |
CONTEXTE: | Lucrèce qui a prêté foi aux rumeurs de mariage de Paulin, se venge d'une trahison qui n'a pas eu lieu. |
COTEXTE ET CITATION: | Aussitost qu'elle le sentit endormy (ô aveugleument brutal d'une jalousie desesperée !) elle luy enfonce par plusieurs fois un grand couteau qu'elle avoit preparé pour ceste horrible execution dans la gorge, dans l'estomac, dans le ventre, & à coups redoublez elle chasse l'ame du corps du deplorable & trop loyal Paulin. |
NOTES: | Page 292. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305776 accreditee |
CONTEXTE: | Début de la nouvelle intitulée "Les deux brigands". |
COTEXTE ET CITATION: | Un gentilhomme, dont je cognois la maison, faisant voyage seul bien monté & le pistolet à l'arçon de sa selle, fut rencontré en un destroit par deux soldats desbandez qui faisans semblant de luy demander l'aumosne, se jettent sur luy, & l'ayans percé de divers coups d'espée le laissant mort sur la place, tirans son corps dans un boccage voysin, luy prennent sa bource, son cheval & son pistolet. |
NOTES: | Page 326. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305876 accreditee |
CONTEXTE: | Les deux frères d’Irece qui a été enlevée avec son consentement par Arteme, décident de venger cet affront. Mais il y a méprise sur le coupable et ils tuent Procle qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau. |
COTEXTE ET CITATION: | Il les sentit fondre tout à coup sur luy comme un tourbillon, & se sentit percé de bande en bande de deux espees par derriere sans avoir el loisir de mettre la main à la sienne pour se deffendre, & ces coups redoublez luy tirerent sur le champ l’ame du corps qui s’en alla en son lieu |
NOTES: | Page 76. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305907 accreditee |
CONTEXTE: | Alors que Perceval séjourne chez un ermite, arrive un chevalier avec une jeune fille qu’il bat à coups de bâton. Il l’a enlevée à son ami et veut l'épouser, mais il n’obtiendra rien d’elle. |
COTEXTE ET CITATION: | "Danz prestres, fait il, erranment Venez me espouser ceste dame, Ou, se ce non, se Deus ait m'ame, Vous le conperrez ja molt chier." […] Je le ferai sanz destriier, Mais qu'ele le weille otroier. -- Naie, fait ele, par saint Pol, Ains me lairoie par le col Prendre et les membres esracier". |
NOTES: | Tome II, page 10, v. 7184-7195. Voir aussi p. 9, v. 7156-7168. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, La continuation de Perceval. Paris: Champion, 1922.Édition de Mary Williams |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |