OCCURRENCE: | 102182 chantier |
CONTEXTE: | Après une bagarre, les comédiens doivent s'enfuir rapidement, un pied chaussé et l'autre nu. |
NOTES: | [(Partie & Page) 67] S'agit-il d'une expression lexicalisée pour signifier la hâte? |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104272 accreditee |
CONTEXTE: | Milord Edouard réfute avec force les raisons alléguées par l'Amant de Julie pour autoriser le suicide. |
COTEXTE ET CITATION: | Il t'est donc permis, selon toi, de cesser de vivre ? La preuve en est singulière ; c'est que tu as envie de mourir. Voilà certes un argument fort commode pour les scélérats : ils doivent t'être bien obligés des armes que tu leur fournis. |
NOTES: | Tome I, page 458. La lettre XXII est une réfutation des arguments pour le suicide déployés par Saint-Preux dans la lettre précédente. |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
CHERCHEUR/E: | Dhifaoui. |
OCCURRENCE: | 103734 accreditee |
CONTEXTE: | Les femmes doivent déclarer qu'elles sont enceintes. Si elles le ne font pas, elles sont mises à mort si elles perdent l'enfant. |
COTEXTE ET CITATION: | Toute fille qui n'a point été déclarer sa grossesse au Magistrat est punie de mort si son fruit périt. |
NOTES: | [(Page & Lettre) 253, 120] |
SOURCE: | Montesquieu, Lettres persanes (Les). Pierre Marteau: Cologne, 1721.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
OCCURRENCE: | TT101916 CHANTIER |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | A force de reflexion, Florange conclut que Mainville et sa femme doivent être amants. Un jour il les surprend en conversation et les confond par sa perspicacité. Devant leurs dénégations embarrassées, il leur interdit de se revoir, sous le prétexte que, si Mainville n'a pas su reconnaître le mérite de la marquise et l'aimer, il n'est plus digne de la voir. |
NOTES: | [(Page) 157-9] |
SOURCE: | Anonyme, Nouveaux désordres de l'amour (Les). Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100546 chantier |
CONTEXTE: | Les garçons chirurgiens (comme les clercs d'avocat) doivent souvent subir brimades et harcèlements de la part de leurs maîtres (ou, le plus souvent, de leurs propres femmes). |
NOTES: | [(Page) 5] C'est aussi une occurrence de "maltraiter époux" |
SOURCE: | Anonyme, Peine et misère des garçons chirurgiens (La). Jean-Antoine Garnier: Troyes, 1715. |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103358 accreditee |
CONTEXTE: | Le roi Marc ayant surpris Tristan et Iseut dans la forêt, ils doivent se cacher encore plus loin. |
COTEXTE ET CITATION: | Voiant le pueple, nos veut prendre, Faire ardoir et venter la cendre. Fuion, n'avon que demorer. Devant tout le monde, il veut nous capturer, nous brûler et disperser nos cendres au vent. Fuyons, nous n'avons que trop tardé. |
NOTES: | Page 120, vv. 2119-2121 ; trad. p. 121. |
SOURCE: | Béroul, Le Roman de Tristan. Paris: Livre de Poche, Lettres gothiques, 1989.Édition D. Lacroix et Ph. Walter. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305486 accreditee |
CONTEXTE: | Test de virginité que fait passer l’amiral de Babylone aux jeunes filles de son harem. celle qui échoue est jetée à l’eau. |
COTEXTE ET CITATION: | Quant li amirals veut coisir, ses puceles i fait venir au ruissel de la fontenele dont de fin or est la gravele ; quant passer doivent le canal qui fais est d’or et de cristal, outre en vont ordeneement et il au passer molt entent et a sa gent i fait entendre. Grant merveille i puet on aprendre, car quant il i passe pucele, lors est li eve clere et bele ; au trespasser de feme eüe l’eve en est lués tote meüe. |
NOTES: | P. 72, v. 2059-2072. |
SOURCE: | Anonyme, Floire et Blanchefleur. Jean-Luc Leclanche, Champion: Paris, 1980. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305884 accreditee |
CONTEXTE: | La douleur que cette situation provoque chez Rotilde la conduit à la mort. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle prit cela si à cœur, qu’accablée d’ailleurs des battures & des incommoditez qu’elle avoit souffertes dans la prison, & entre les mains du barbare Didime, elle se rendit sous les efforts d’une violente maladie qui n’estoit pas moindre en son esprit qu’en son corps, & sans ceste double batterie elle rendit la place & paya à la nature & au tombeau le tribut que luy doivent tous ceux qui vivent. |
NOTES: | Page 183. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |