OCCURRENCE: | 103248 accreditee |
CONTEXTE: | Les amants, un jeune marquis et une belle fille, se cachent réciproquement leur inclination mutuelle. |
COTEXTE ET CITATION: | <CITATION>Il cacha sa passion[...] Mais la belle était si réservée avec lui sur ses sentiments que, comme il n'osait s'expliquer de son amour que par ses regards, il ne put rien découvrir de ce penchant favorable qui lui donnait ses voeux en secret CITATION>. |
NOTES: | [(Page) 464-465] |
SOURCE: | Achille Tatius, Leucippé et Clitophon. Belles Lettres,J.P. Garnaud: Paris, 2001. |
CHERCHEUR/E: | Haun N., Ramsthaler S. |
OCCURRENCE: | 105114 accreditee |
CONTEXTE: | Un comédien vaniteux et méchant est montré sous un jour ridicule. |
COTEXTE ET CITATION: | Je cessai donc de regarder les comédiens comme d'excellents juges, et je devins un juste appréciateur de leur mérite. Ils justifiaient parfaitement tous les ridicules qu'on leur donnait dans le monde. Je voyais des actrices et des acteurs que les applaudissements avaient gâtés, et qui, se considérant comme des objets d'admiration, s'imaginaient faire grâce au public lorsqu'ils jouaient. |
NOTES: | [(Partie & Page) chap. XII t. I, 189] Ce topos se retrouve dans tous les chapitres sur les comédiennes |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 104368 accreditee |
CONTEXTE: | Clarice est "obligée de fuire". Elle est accueillie dans la maison de Fetimé. |
COTEXTE ET CITATION: | "Clarice la remercia, et lui dit que dans l'état où elle était, le secours qu'elle lui donnait était le plus grand service qu'on pût lui endre." |
NOTES: | [(Page& Partie) 93, II] Ici le secours est un asile, où Clarice peut se cacher en se déguisant en paysanne. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 105342 accreditee |
CONTEXTE: | Deux amants de la marquise de Banneville se battent. On apprendra à la fin du récit que le marquis de Bercour est une femme travestie. La marquise de Banneville, pour sa part, est un homme travesti. |
COTEXTE ET CITATION: | Le comte D... [...] résolut de lui [au marquis de Bercour] faire un querelle et par là le déshonorer, le croyant trop beau et trop effeminé pour oser mesurer son épée contre la sienne ; il fut bien surpris quand, au premier mot qu'il lui dit à la porte des Tuileries, il vit le marquis l'épée à la main qui le poussait avec vigueur. Ils se battirent fort bien et furent séparés par leurs amis communs. Cette aventure fit plaisir à la petite marquise. Elle donnait un air de guerre à son amant, pour qui cependant elle crut devoir trembler. |
NOTES: | [(Page) Pp. 982-983. Voir aussi femme_travestir_sexe. |
SOURCE: | Choisy (Abbé François de), Histoire de la marquise-marquis de Banneville. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Maher D. |
OCCURRENCE: | 100242 accreditee |
CONTEXTE: | Angélique raconte son enlèvement après qu'Etoile fut, elle aussi, enlevée. |
COTEXTE ET CITATION: | "Vous vous pouvez bien figurer quelle fut la surprise de ma mère et de moi, lorsque, nous promenant dans le parc de la maison où nous étions, nous en vîmes ouvrir une petite porte qui donnait dans la campagne et entrer par là cinq ou six hommes qui se saisirent de moi sans presque regarder ma mère et m'emportèrent demi-morte de frayeur jusqu'auprès de leurs chevaux." |
NOTES: | Voir citation dans le même topos à propos de l'enlèvement d'Angélique raconté par sa mère. Référence de la page 261 pour GF [1990] |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Barjon B., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103938 accreditee |
CONTEXTE: | Dans "L'obeyssance filiale", Thaumaste, enfant adopté, est réduit à l'état de serviteur misérable après la naissance d'un enfant naturel. |
COTEXTE ET CITATION: | <CITATION>La venue de cet héritier naturel effaça le lustre du pauvre Thaumaste, et le rendit si peu estimé, que d'enfant d'adoption qu'il était auparavant, il devint un chétif serviteur, à qui l'on ne donnait autre salaire que sa vie et son vêtement CITATION>. |
NOTES: | [(Page & Chapitre & To) 318, 8, II] |
SOURCE: | Camus (Jean-Pierre), Evénements singuliers (Les). J. Caffin et Fr. Pleignard: Lyon, 1628. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |