OCCURRENCE: | 102960 accreditee |
CONTEXTE: | Le marquis, amoureux d'une comtesse mariée, entend par hasard, d'une pièce à côté, que son amour est partagé. |
COTEXTE ET CITATION: | "Après s'être lassé à se promener longtemps seul dans un bois voisin, [le marquis] s'était venu enfermer dans un cabinet où il y avait un lit de repos, le comte entra dans la chambre de sa femme qu'une seule cloison séparait [...]. <CITATION>Elle lui [le mari] avoue qu'avant qu'il l'eût jamais vue, ni qu'elle pût croire qu'il dût être un jour son mari, elle avait senti pour le marquis un penchant qui lui avait fait souhaiter que son père se voulût déclarer pour lui. [...]Qu'elle fut la joie du marquis d'entender une déclaration si favorable CITATION>. |
NOTES: | [(Page) 467-68] |
SOURCE: | Achille Tatius, Leucippé et Clitophon. Belles Lettres,J.P. Garnaud: Paris, 2001. |
CHERCHEUR/E: | Haun N. |
OCCURRENCE: | TT102298 PROVISOIRE |
CONTEXTE: | "L'aînée annonça qu'elle aurait à son entière disposition toute la terre sans réserve, tous les jours qu'elle aurait à vivre, sans que sa soeur y eût jamais part" (4704-4707). "Il y trouvait aussi la demoiselle qui voulait déshériter sa soeur La demoiselle, qui commet un tort envers sa soeur (c'est l'évidence même), l'a proposé à la cour aux regards de tous, comme celui grâce à qui elle entend soutenir sa casue dans cette dispute où elle n'est pas dans son droit". (5880-5884) |
COTEXTE ET CITATION: | La soeur aînée tente de déshériter sa cadette. |
NOTES: | [(Vers & Page) 4704-7,5880-4] Manuscrit B.N. 1433 Coll. Lettres gothiques ed. Le Livre de poche (trad. D. H. Hult) no. 4539 1994, Paris |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Chevalier au lion. Copie de Guiot: .Bibliothèque Nationale 794 |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 103682 accreditee |
CONTEXTE: | La dame de Fayel s'entend avec sa chambrière pour refuser d'ouvrir au châtelain afin de tester sa constance. |
COTEXTE ET CITATION: | Je ne le puis faire trop doloir ne souffrir trop grant mesaise ; s'il a ores grant paine et enduré malvaise nuit, bien luy sera guerredonné, car s'il avoit joye sanz paine, il averoit trop bon marchié de dame. |
NOTES: | [(Page) P. 81 ; p. 112 : malgré la pluie et le vent, la dame de Fayel maintient sa décision de ne pas ouvrir sa porte. |
SOURCE: | . |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 100038 accreditee |
CONTEXTE: | Le chevalier de Saint Ouin prétend se racheter de sa traîtrise en laissant coucher le maître de Jacques avec Agathe à sa place. En fait c`est un piège. |
COTEXTE ET CITATION: | "L'autre chose, c'est que je persiste dans l'idée que votre chevalier de Saint -Ouin est un grand fripon; et qu'après avoir partagé votre argent avec les usuriers Le Brun, Merval, Mathieu de Fourgeot ou Fourgeot de Mathieu, la bridoie, il cherche à vous embâter de sa maîtresse, en tout bien et tout honneur s'entend, par-devant notaire et curé afin de partager encore avec vous votre femme ..." |
NOTES: | [(Page) 271 GF] p 727 autre édition |
SOURCE: | Diderot (Denis), Jacques le Fataliste et son Maître. Paris: Garnier-Flammarion, 1970. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 102544 accreditee |
CONTEXTE: | Dom Pèdre entend Nugnez expliquer à Blanche tout ce qu'il a fait pour lui sauver la vie, et entamer sa déclaration d'amour. |
COTEXTE ET CITATION: | Mais Dom Pedre le luy donna pas le loisir de l'achever, il fit crier aux armes par tout le Chasteau, et entrant luy-même dans la chambre de Blanche, suivy des Officiers de la garnison, il fit poignarder Nugnez en sa presence. |
NOTES: | [(Page & Tome) 173, 4] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Annales galantes (Les). 1670. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 102914 accreditee |
CONTEXTE: | Fredélingue entend les imprécations de Parménie et vole à son secours. |
COTEXTE ET CITATION: | "Sans doute qu'on lui manqua de respect." |
NOTES: | [(Page& Partie) 125, III] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 100318 chantier |
CONTEXTE: | Nemours exploite des circonstances créées par sa curiosité : un pavillon proche du cabinet; il entend les aveux. |
SOURCE: | La Fayette (Mme de), Princesse de Clèves (La). Paris: Bordas, 1990.dans Roman et Nouvelles, édition Alain Niderst |
CHERCHEUR/E: | Boursier N., Lasalle T. |
OCCURRENCE: | TT102422 PROVISOIRE |
CONTEXTE: | "Soyez-en sûr, il ne fut jamais aussi heureux de quoi que ce soit". |
NOTES: | [(Vers & Page) 6790-1, 595] Manuscrit B.N. 1433 coll. Lettres gothiques. éd. Le Livre de poche (trad. D.H.Hult) no. 4539, 1994, Paris. Le narrateur entend convaincre le lecteur du bonheur d'Yvain. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Chevalier au lion. Copie de Guiot: .Bibliothèque Nationale 794 |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 102326 accreditee |
CONTEXTE: | C'est le chagrin qui le rend malade. |
COTEXTE ET CITATION: | "Et son tourment ne cesse de s'accroître: tout ce qu'il voit lui est pénible et tout ce qu'il entend le déséspère [...] Alors il lui monte un tourbillon dans la tête, si puissant qu'il perd la raison". |
NOTES: | Manuscrit B.N. 1433Coll. Lettres gothiques Livre de poche , Trad. D. H. Hult 1994, Paris p.271-4, vers 2781-83, 2804-5 Ici la maladie est morale. La folie de personnage intervient en punition de sa faute envers Laudine. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Chevalier au lion. Livre de poche, Lettres gothiques: Paris, 1994.Edition et traduction de David Hult |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 103484 chantier |
CONTEXTE: | Don Juan d'Autriche, fils naturel de Charles Quint, tombe amoureux de la reine Elisabeth de France. Cela déplaît fort à la reine et à don Carlos (pour des raisons différentes, s'entend). |
NOTES: | [(Page) 288] |
SOURCE: | Anonyme, Dom Carlos, nouvelle historique. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305960 accreditee |
CONTEXTE: | Girart qui s'est révolté contre le roi Charles, envoie un moine en ambassade auprès de lui pour négocier. Face à la colère de Charles, il a peur qu’il ne le mutile et lui coupe les génitoires. Le roi se calme car il comprend qu’il n’aurait aucun intérêt à le mutiler. |
COTEXTE ET CITATION: | Li monges ot de Carle qui o lui tence, E entent la razon con la comence. E tem noil face torre la genitence, Cal ore qu’en fust fait la penitence. […] « Se ne m’ere per Deu e per perir, Talent ai de ca coille c’on la vos tir ». Le moine, qui comprend que Charles passe sa colère sur lui, entend bien ce dont il s’agit. Il a peur que le roi ne lui fasse couper les génitoires quitte à en faire pénitence ensuite. […] « N’était la crainte de Dieu et de l’enfer, je te ferais arracher les couilles ». |
NOTES: | Page 506-07, v. 6701-04 ; 6731-32. |
SOURCE: | Anonyme, Girart de Roussillon. Paris: Livre de poche, Lettres gothiques, 1993.Édition de W.M. Hackett (1953-55) Traduction de Micheline de Combarieu du Grès et Gérard Guiran. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | SB200143 ACCREDITEE |
CONTEXTE: | Filz, dit ele, si con je croi, Tu as veü au mien espoir Les angles don les gens se plaignent, Qui ocient quant qu’il ataignent. -- Non ai, mere, voir, non ai, non ! Chevalier dient qu’il ont non.” La mere se pasme a ce mot, Quant chevalier nomer li ot. Tu as vu, je le crois, les anges dont se plaignent les gens, ceux qui tuent tout ce qu’ils attaignent. -- Mais non, ma mère ! Mais non ! De vrai, non ! Des chevaliers ! Ils disent que c’est leur nom.” La mère à ce mot tombe pâmée, quand elle l’entend dire ce nom de chevalier. (51) |
COTEXTE ET CITATION: | La mère de Perceval a élevé son fils dans l’ignorance de la chevalerie pour éviter qu’il ne meure comme son père et ses frères. Or il vient lui communiquer son émerveillement à la vue de chevaliers qu’il a rencontrés. |
NOTES: | P. 50, vv. 369-374 |
SOURCE: | Retif de la Bretonne, Le paysan parvenu. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200068 accreditee |
CONTEXTE: | En chemin pour aller secourir la fille du roi Gringras, le Bel Inconnu entend des plaintes et se dirigeant dans leur direction, il voit auprès d'un feu deux géants en train de tenter de violer une jeune fille. |
COTEXTE ET CITATION: | Molt se conplaint et plore et brait Come la riens qui painne trait : <citation>Car un gaians molt la pressoit, A force foutre le voloit,citation> Mais cele nel pooit soufrir ; Mius se voloit laissier morir. [Elle] se plaignait, pleurait et hurlait comme quelqu'un en grand danger. Le géant, en effet, la maintenait de toutes ses forces et voulait la violer ; mais elle aurait préféré mourir plutôt que d'en venir là. (32) |
NOTES: | P. 22, vv. 711-716 |
SOURCE: | Perrault (Charles), Contes. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104612 accreditee |
CONTEXTE: | Le chevalier de Saint Ouin prétend se racheter de sa traîtrise en laissant coucher le maître de Jacques avec Agathe à sa place. En réalité c'est un piège. |
COTEXTE ET CITATION: | L'autre chose, c'est que je persiste dans l'idée que votre chevalier de Saint-Ouin est un grand fripon; et qu'après avoir partagé votre argent avec les usuries Le Brun, Mathieu de Fourgeot ou Fourgeot de Mathieu, la Bridoie, il cheche à vous embater de sa maitresse, en tout bien et tout honneur s'entend, par-devant notaire et curé, afin de partager encore avec vous votre femme...Ahi! la gorge!..." |
NOTES: | p:271 |
SOURCE: | Diderot (Denis), Jacques le Fataliste et son Maître. Paris: Garnier-Flammarion, 1970. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P. |
OCCURRENCE: | 305424 accreditee |
CONTEXTE: | Fredélingue entend les imprécations de Parménie et vole à son secours. |
COTEXTE ET CITATION: | Sans doute qu'on lui manqua de respect. |
NOTES: | Partie III, p. 125. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 305440 accreditee |
CONTEXTE: | Amadas vient d’apprendre qu’Ydoine doit être mariée malgré elle avec le comte de Nevers. Sous le choc, il est pris d’un accès de folie. |
COTEXTE ET CITATION: | Amadas l’ot, si a troublé Le cuer et escaufé d’ardeur, D’une fine fole caleur, Dont vint la droite derverie, Et la fine foursenerie Li saut et li cerviaus li tourble. En poi d’eure a corage double, En toute raison li escape Qu’il n’a si fol jusqu’a Halape. Tout maintenant esrage et derve, En haut s’escrie et rit et resve ; Sens ne raison en lui n’a mie. Amadas l’entend ; le sang afflue à son coeur qui se met à battre furieusement sous l’effet d’une fièvre violente qui l’entraîne dans une démence totale ; une folie brutale l’envahit et son cerveau se trouble. En peu de temps son délire intérieur s’enfle et toute sa raison lui échappe de sorte qu’il n’y a pas aussi fou que lui jusqu’à Alep. Sur l’heure, il est pris d’une folie furieuse ; il parle tout haut, éclate de rire et divague. Il n’a plus en lui la moindre lueur de conscience et de raison. |
NOTES: | P. 93, v. 1792-1803 ; trad. p. 39. . Voir pages 118-119 (47-48), 125 (51), 136 (55). |
SOURCE: | Anonyme, Amadas et Ydoine. Champion, éd. John R. Reinhard: Paris, 1974.Les traductions sont celles de Jean-Claude Aubailly, Paris, Champion, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305456 accreditee |
CONTEXTE: | En chemin pour aller secourir la fille du roi Gringras, le Bel Inconnu entend des plaintes et se dirigeant dans leur direction, il voit auprès d’un feu deux géants en train de tenter de violer une jeune fille. |
COTEXTE ET CITATION: | Molt se conplaint et plore et brait Come la riens qui painne trait : Car un gaians molt la pressoit, A force foutre le voloit, Mais cele nel pooit soufrir ; Mius se voloit laissier morir. [Elle] se plaignait, pleurait et hurlait comme quelqu’un en grand danger. Le géant, en effet, la maintenait de toutes ses forces et voulait la violer ; mais elle aurait préféré mourir plutôt que d’en venir là. |
NOTES: | P. 22, v. 711-716 ; trad. p. 32. |
SOURCE: | Renaud de Beaujeu, Le Bel Inconnu. Champion: Paris, 1983.Edition G. Perrie Williams ; traduction par Michelle Perret et Isabelle Weill, Paris, Champion, 1991. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305631 accreditee |
CONTEXTE: | Floriant, une fois marié, ne pense plus qu’à rester près de Florete. Mais un jour, il entend une femme l’accuser d’avoir perdu son prix et sa chevalerie. Il partira avec Florete pour prouver le contraire. |
COTEXTE ET CITATION: | […]car du tout avoit mis en oubly l’estat de chevalerie et aymoit mieulx soy
esbatre de cousté la bele Flourette, si demena bien l’espace de trois ans celle vie. […] «Je voy la mon seigneur le roy qui est ung des meilleurs chevaliers du monde et le plus a priser mais il est si surprins de la royne qu’elle lui fait oublier tout son los et sa chevalerie car elle est en lui perie et morte et n’a plus en lui bonté ni prouesse fors d’estre tousjours auprés de ma dame». Car il avait oublié son état de chevalier et préférait s’ébattre aux côtés de la belle Florette. Cette douce vie dura bien trois ans. […]«Je vois là mon seigneur le roi, qui est un des meilleurs chevaliers du monde et le plus à louer, mais il est si amouraché de la reine qu’elle lui fait oublier tout son prix et sa chevalerie, qui est en lui morte et périe. Il ne pense plus ni à grandeur ni à prouesse si ce n’est d’être toujours auprès de sa dame». |
NOTES: | v°100 |
SOURCE: | Anonyme, Roman de Floriant et Florete ou Le Chevalier qui la nef maine. Ottawa: Université d, 1983.Claude M. Levy éditeur |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305795 accreditee |
CONTEXTE: | Alors que Cronide est fiancée à Amphiloque, ses parents lui préfèrent Rouvere, un meilleur parti. |
COTEXTE ET CITATION: | En peu de paroles du defi ils en vindrent aux mains ; cela s'entend en un duel assigné, ou le sort des armes se trouva du costé non du plus grand, mais du plus juste ; & Rouvere tombant mort sous l'espée d'Amphiloque, n'eut que le loisir de recommander son ame, & de reconnoistre qu'il avoit tort, & qu'il estoit dignement chastié. |
NOTES: | Page 79. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305820 accreditee |
CONTEXTE: | Cassandre qui ne s'entend pas avec son mari et qui veut vivre avec son amant, recourt au poison. |
COTEXTE ET CITATION: | Cette premiere poison ayant esté preparée & meslée dans le breuvage d'Euphelio avec que tant de subtilité qu'il ne s'en apperceut point en l'avalant, ce fut à Cassandre à attendre l'effet de cette poction acvecque plus de continence et de patience qu'elle n'eust voulu, parce que ce mary espiant ses actions, & ne cherchant qu'une occurrence pour luy payer en un coup toutes ses debtes, la veilloit avec soin, dont la rusée s'appercevant fit tresve pour quelque temps avec son amant, jusques à ce que ses liens fussent rompus par la mort de son mary, qu'il avoit dans l'estomac. |
NOTES: | Page 167. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305852 accreditee |
CONTEXTE: | Après avoir épousé Cantidiane puis une vieille matrone de Messine, il se marie à Savonne avec une vieille fille. |
COTEXTE ET CITATION: | Les parens le trouverent de bonne mine, de belle deffaite, & quoy qu’estranger, eurent de l’inclination à leur donner leur fille, qui peut-estre les en avoit priez, parce qu’elle estoit devenuë amoureuse de ce beau musicien. Nostre homme, quoy que desja marié en deux endrois, comme nous avons fait voir, ne trouve rien de trop chaud, & entend volontiers à ce troisièsme parti. |
NOTES: | Page 508. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |