OCCURRENCE: | 101044 accreditee |
CONTEXTE: | Le roi Marc perché sur son pin surprend le rendez-vous secret et la conversation de Tristan et Yseut. |
COTEXTE ET CITATION: | Li rois qui sus (en l'arbr)e estoit Out l'asenblee bien veüe. Le roi qui se trouvait là-haut dans l'arbre avait bien vu la rencontre et entendu toute la conversation. |
NOTES: | [(Vers & Page) Pp. 34-35, vv. 258-259. |
SOURCE: | . |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104958 accreditee |
CONTEXTE: | Constance invente une histoire fausse pour perdre Frédéric. |
COTEXTE ET CITATION: | [Constance]disoit qu'on l'avoit tirée par force de sa Cellule; et transportée jusques dans le jardin, où on alloit la contraindre à passer par une brèche sans les cris de quelques-unes de ses Compagnes, qui avoient entendu les siens, et apperçû la violence qu'on luy faisoit. |
NOTES: | [(Page & Tome) 184-5, 2] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Annales galantes de Grèce (Les). Godenne/Oeuvres complètes de Slatkine: 1670. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 103444 accreditee |
CONTEXTE: | Clorante est délivré de son emprisonnement par un inconnu qui l'a entendu. |
COTEXTE ET CITATION: | Je ne sais plus ce qu'ils sont devenus avec la fille et je me suis trouvé dans ces lieux où vous m'avez appris, dit Emmander en s'adressant à Fétime, de quelle manière j'avais été porté. |
NOTES: | [(Page& Partie) 296, V] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 105250 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Lisandre étoit donc auprés du char de Lisidore, et il lui sembloit qu'elle l'écoutoit avec plus de tendresse qu'à son ordinaire ; lorsqu'en traversant un petit bois qui étoit sur leur passage, ils trouverent deux Cavaliers qui se battoient avec une fureur inconcevable, tout le monde courut à eux pour les separer ; mais à peine Lisidore eût-elle tourné les yeux sur l'un de ces inconnus, qu'elle se jetta brusquement de son char en bas, et courant elle-même vers l'endroit de leur combat, elle lui cria de s'arrêter ; il demeura comme immobile à cette voix, et aïant tourné sa tête du costé qu'il l'avoit entendu, il descendit brusquement de cheval, et il vint se jetter aux pieds de Lisidore. |
NOTES: | [(Page & Tome) 120, 2] Cie des Libraires p.455-56 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Lisandre, nouvelle. Slatkine Reprints: Genève, .Vol. 2 |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104926 accreditee |
CONTEXTE: | Madame se baigna au commencement de cet Eté ...et choisit pour le lieu de son bain cette magnifique grotte que le Roi vôtre Pere a fait faire à l'appartement de la Duchesse D'Etampes. Je sçai le secret de cette fausse niche d'où par le moïen d'un miroir de réflexion qui est enchassé dans la Roquaille, on peur voir les Dames dans le bain. Le Roi vôtre pere m'avoit confié cet essai de sa curieuse galanterie. Je fis gagner l'Officier qui a le soin de cette grotte. Il me plaça dans la niche un moment avant que Madame se mit dans l'eau. Pardonnez moi cette témérité, mon cher Prince, la pureté de mes intentions l'excuse, et elle fut assez rigoureusement punie pour mériter plus de compassion, que de colere. |
COTEXTE ET CITATION: | C'est le roi d'Ecosse qui parle et déscrit ce que le roi a vu et entendu. |
NOTES: | [(Page & Tome) P. 249, t. III. Cie des Libraires p. 398 [ancien VIOLENCE_MORALE, D. Kuizenga] |
SOURCE: | Choisy (Abbé François de), Histoire de la marquise-marquis de Banneville. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 102712 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Elle lui fit donc parvenir, sans aucun autre avis, la lettre qui suit, comme un remède dont l'usage pourrait être utile à son mal. "On s'ennuie de tout, mon Ange, c'est une loi de la Nature; ce n'est pas ma faute." [etc.] [Lettre 141, Garnier, 1961, p.333] [Valmont:] "Ma foi, ma belle amie, je ne sais si j'ai mal lu ou mal entendu, et votre lettre, et l'histoire que vous m'y faites, et le petit modèle épistolaire qui y était compris. Ce que je puis vous dire, c'est que ce dernier m'a paru original et propre à faire de l'effet; aussi je l'ai copié tout simplement, et tout simplement encore je l'ai envoyé à la céleste Présidente.[Lettre 142, Garnier, 1961, p.334-5] |
NOTES: | [(Page) 326-28] Tome I, Lettre CXLI. (Pages dans: Pléiade, Paris, 1979.) |
SOURCE: | Laclos (Choderlos de), Liaisons dangereuses (Les). Paris: Gallimard (Pléiade), 1979.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Calas F. |
OCCURRENCE: | TT102454 PROVISOIRE |
CONTEXTE: | "Chrétien termine ainsi son roman du Chevalier au Lion. Je n'en ai jamais entendu raconter davantage [...]" |
NOTES: | Coll. Lettres gothiques, Le Livre de poche, trad. D. H. Hult, no.4539, 1994, Paris v. 6804-6 p. 595 Il s'agit d'un effet de dédoublement de la figure du narrateur. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Chevalier au lion. Copie de Guiot: .Bibliothèque Nationale 794 |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 305978 accreditee |
CONTEXTE: | Enéas sort désarmé de sa tente avec ses compagnons. Les habitants de la ville montent aux créneaux des murs et les admirent. Lavine est parmi eux et admire Enéas dont elle tombe aussitôt amoureuse. |
COTEXTE ET CITATION: | Lavine fu en la tour sus, d’une fenestre esgarde jus, vit Eneas qui fu dessouz, fforment l’esgarde seur touz. Moult li sambla et bel et gent, bien a oÿ comfaitement le loent tuit par la cité et de prouesce et de biauté ; bien le nota en son coraige. La ou elle fu en estaige, Amors l’a de son dart ferue. Lavine se trouvait au sommet de la tour, d’une fenêtre elle regarda vers le bas et vit Énéas en-dessous, elle le regarda intensément. Il lui sembla d’une très noble beauté, et elle a entendu combien tous le louent par la cité pour sa vaillance et sa beauté ; elle grava son image dans son cœur. Tandis qu’elle se trouvait à son poste d’observation, Amour l’a frappée de sa flèche. |
NOTES: | P. 496, v. 8109-19. |
SOURCE: | Anonyme, Roman d Énéas. Paris: Lettres Gothiques, 1997. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 100930 accreditee |
CONTEXTE: | Le secret concerne les oreilles de cheval du roi Marc. Il est révélé par le nain Frocin. |
COTEXTE ET CITATION: | Oiez du nain comme au roi sert. Un consel sot li nains du roi, Ne sot que il. [...]" "`Marc a orelles de cheval" Bien ont oï le nain parler." Il [le nain] détenait du roi un secret, qu'il était le seul à connaître... "Marc a des oreilles de cheval!" Ils ont parfaitement entendu le nain. |
NOTES: | Vers 1334-1335 et 1308-1308. Traduction de Philippe Walter, Tristant et Yseut, Paris, Lettres Gothiques, p. 83-85. |
SOURCE: | Livre de Poche, Lettres gothiques: Paris, 1989.Édition D. Lacroix et Ph. Walter |
CHERCHEUR/E: | , Dubost F. |
OCCURRENCE: | 101186 chantier |
CONTEXTE: | Sensible au charme du marquis de Mainville et craignant d'y succomber, la marquise de Florange prie son mari de lui permettre de se retirer à la campagne. |
NOTES: | [(Page) 83-84] Soupçonneux à tort, le mari refuse, ce qui bien entendu permet au marquis de Mainville de déclarer sa flamme à la marquise de Florange. Manque le co-texte. |
SOURCE: | Anonyme, Nouveaux désordres de l'amour (Les). Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104366 accreditee |
CONTEXTE: | Ce meurtre est une vengeance d'un meurtre, lui-même une vengeance d'un meurtre qui lui n'a pas existé. Chaîne de la violence. |
COTEXTE ET CITATION: | "Les gens du marchand, qui l'avaient vu tomber de loin et qui avaient entendu sa voix, accoururent, les uns avec des épées, les autres avec des armes à feu, et le Turc et l'esclave furent assassinés." "[...] il tira son poignard et le plongea dans le coeur du marchand; l'esclave s'approcha qui le frappa du sien." (p. 233) |
NOTES: | [(Page& Partie) 233-4, IV] [ancien MEURTRE_ASSASSINAT_HOMOCIDE] Il est doublement gratuit: le résultat d'un meurtre qui n'a jamais eu lieu, et ne servant aucunement l'action. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 104466 accreditee |
CONTEXTE: | Le dauphin trouve un homme blessé, soigné par des ermites. |
COTEXTE ET CITATION: | Je leur ai demandé par quel accident cet homme étoit en cet état. Il y a de l'apparence que ce sont des voleurs qui 'y ont mis, a reparti l'un de ces Peres, car nous avons entendu tirer plusieurs coups: Nous sommes sortis pour voir ce qui causoit ce bruit, et nous avons apperceu deux ou trois hommes qui se sauvant entre les arbres, nous ont laissé celuy cy blessé comme vous le voyez. |
NOTES: | [(Page & Tome) 267, 3] Cie des Libraires p. 469-70 |
SOURCE: | Retif de la Bretonne, Le paysan parvenu. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 102876 accreditee |
CONTEXTE: | Itys embrasse sa mère. Celle-ci, après un moment d'attendrissement, décide d'accomplir sur lui sa vengeance contre la trahison de Tereus. |
COTEXTE ET CITATION: | Li enfes la court acoler, Qui de tout ce n'ot rien oÿ. Tant la baisa et conjoÿ Que Progné se dut estre ostee Dou penser ou elle iert entree. L'enfant qui n'a rien entendu de ce quelle vient de dire, se jette à son cou. Il l'embrasse tant et lui témoigne tant d'affection que Procné aurait dû alors renoncer à son dessein. |
NOTES: | [(Page & Vers) Pp. 244-245, vv. 1310-1314. Chez Ovide, l'expression de l'amour maternel est exprimée de façon émouvante, contraste avec le détachement de Chrétien. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Philoména. Paris: Gallimard, 2000.Édition et traduction par Emmanuèle Baumgartner |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104376 accreditee |
CONTEXTE: | L'agression est un enlèvement. Le sauveur est le père (depuis longtemps perdu) de la victime. |
COTEXTE ET CITATION: | Il m'allait enlever quand dix ou douze hommes, qui avaient entendu mes cris, et qui étaient au bout du bois à se reposer, parurent à cheval et fondirent sur mes ravisseurs. |
NOTES: | [(Page& Partie) 137, II] [ancien AIDE_DU_FAIBLE_AGRESSE] EG [Voir aussi: PERE_MOURIR et RETROUVAILLES_PARENT_FILLE] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 305933 accreditee |
CONTEXTE: | Après avoir vengé la demoiselle aux Manches Petites, Gauvain prend congé de son père Thibaut de Tintagel qui lui demande son nom. |
COTEXTE ET CITATION: | "Sire,Gauvains sui apelez, Onques mes nons ne fu celez An leu ou il me fust anquis, N’onques encore ne lo dis, S’avant demandez ne me fu.” Et quant li sire a entandu Que c’estoit mes sire Gauvains, Molt fu ses cuers de joie plains. “Monseigneur, on m’appelle Gauvain. Jamais je n’ai tenu mon nom caché, si quelque part on s’en est enquis. Jamais non plus je ne l’ai dit, avant qu’on ne me l’ait demandé.” Quand le seigneur a entendu que c’était monseigneur Gauvain, il en a eu le coeur rempli de joie. |
NOTES: | Pages 398, v. 5549-5556 ; trad. p. 399. |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. Paris: Honoré Champion, 2002.Édition de Jean-Pierre Martin |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200053 accreditee |
CONTEXTE: | Alors que Marc caché dans un arbre, espionne Tristan et Yseut, celle-ci rappelle dans quelles circonstances ils se sont connus et sont devenus amis. |
COTEXTE ET CITATION: | Molt vos estut mal endurer De la plaie que vos preïstes En la bataille que feïstes O mon oncle. <citation> Je vos gari.citation> Se vos m'en erïez ami, N'ert pas mervelle, par ma foi ! Elle vous a fait terriblement souffrir, la blessure que vous avez reçue dans le combat contre mon oncle. Je vous ai guéri. Si vous êtes devenu mon ami, par ma foi, ce n'est guère étonnant. |
NOTES: | v. 50-55, p. 26. Plus tard, Marc avoue qu'il a entendu leur conversation et rappelle cet événement précis de la guérison de Tristan grâce aux soins d'Yseut (p. 46, v. 486) |
SOURCE: | Livre de Poche, Lettres gothiques: Paris, 1989.Édition D. Lacroix et Ph. Walter |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305601 accreditee |
CONTEXTE: | Fleurdepine, la fille du Sarrasin Marcabré, vient rendre visite aux chevaliers français dans la prison de son père, après la bataille. Elle leur promet des vivres et la liberté s’ils la mettent en contact avec le vaillant guerrier, Bérart de Mondidier, qu’elle aime et ne connaît que de réputation. |
COTEXTE ET CITATION: | Oi avoit parler de Berart le vaillant, Si avoit mis son ceur en li si durement Qu’ele avoit refusé le fort roi Agoulant, Et le roi Baratron, et Aufour le gaiant, Pour l’amour d Berart, le hardi combatant. Elle avait entendu parler du vaillant Berart et avait tellement placé son coeur en lui, qu’elle avait refusé le puissant roi Agoulant, le roi Baratron et le géant Aufour pour l’amour de Berart, l’audacieux guerrier...](ma traduction). |
NOTES: | P. 55, vers 1801-1805. |
SOURCE: | Anonyme, Gaufrey. Vieweg: Paris, 1859.Edition M.F.Guessard |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305686 accreditee |
CONTEXTE: | Oriante, qui vient de tomber amoureuse de Milon en entendant vanter ses mérites, lui offre une riche étoffe de soie. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle cort .I. escrin deffermer maintenant, Milon ait anvoié .I. pale esclariant. |
NOTES: | Page 109, v. 1341-1342. Le fait que Milon porterait cette étoffe de soie en l'honneur d'Oriante reste sous-entendu. |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. Paris: Honoré Champion, 2002.Édition de Jean-Pierre Martin |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |