OCCURRENCE: | 101742 chantier |
CONTEXTE: | Agnès, faussement accusée d'infidélité par son amant, se cache et fait savoir qu'elle est morte. On offre la main de sa soeur à l'amant, qui la refuse, donnant ainsi preuve de son amour. Agnès est disculpée et le mariage a lieu. |
NOTES: | p.442-457 Associé à la catégorie d'amour mis à l'épreuve. |
SOURCE: | Segrais (Jean Regnault de), Nouvelles françaises (Les). STFM: Paris, 1990-92.1. Texte de l'édition originale. |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | 103206 chantier |
CONTEXTE: | Le comte de Foix fait faussement accuser son fils Gaston (le prince de Béarn) d'avoir voulu l'empoisonner et le fait emprisonner. En fait, c'est par haine et rivalité, sachant qu'il aime la princesse de Cerde. Le jeune Gaston est totalement innocent. |
NOTES: | [(Page) v.3, pp.223-5] |
SOURCE: | Anonyme, Gaston Phébus, comte de Foix, nouvelle. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305986 proposee |
CONTEXTE: | Théramène est emprisonné, ayant été faussement accusé de viol, mais s'évade grâce à Arthémise avec qui il échange ses vêtements. |
NOTES: | Page 423. |
SOURCE: | Anonyme, Axiane. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Bannister M. |
OCCURRENCE: | 103794 accreditee |
CONTEXTE: | Almanzaïre, faussement accusée par un méchant prince, est condamnée par des juges "vraisemblablement achetés". |
COTEXTE ET CITATION: | "Ce sanglant arrêt [...]". |
NOTES: | [(Tome& Lettre& Page) III, I, 101] Voir également: _Le Roland furieux_, _La Historia de Aurella e Isabella_ de Juan de Flores, _Le Prince déguisé_ de Scudéry. |
SOURCE: | Gomberville (Marin le Roy), Polexandre. Augustin Courbé: Paris, 1637.Le texte est accessible par Google Plus. |
CHERCHEUR/E: | Bertaud M. |
OCCURRENCE: | 101270 accreditee |
CONTEXTE: | Bien qu'Yvain ait commandé à son lion de rester couché en arrière, celui-ci l'aide dans son combat contre le sénéchal qui a faussement accusé Lunette de trahison, et qui est aidé de ses deux frères. |
COTEXTE ET CITATION: | Tant que li seneschaus relieve Qui de tout son pooir li grieve. Et li autre avec li se painent Tant qu'il le grievent et sourmainnent. Et li leons qui chë esgarde De li aidier plus ne se tarde, Que mestiers li est, che li semble. [...] Et ses leons li fet aÿe Tel qu'a la premiere envaÿe A de si grant aïr feru Le seneschal, qui a pié fu, Qu'aussi comme che fussent pailles Fet du hauberc voler les mailles ; Et contreval si fort le sache Que de l'espaulle li errache Le tendron atout le costé. ... le sénéchal se relève et l'assaille de toutes ses forces. Et les autres font avec lui un si grant effort qu'ils le terrassent et le dominent. Le lion, observant ce spectacle, ne tarde plus à lui porter secours, car il en a besoin, lui semble-t-il. ... Quant au lion, il l'assiste de la manière suivante : à la première attaque il a frappé le sénéchal, qui était à pied, d'une ardeur si impétueuse qu'il a fait voler les mailles du haubert comme si c'étaient des brins de paille. Et il le tire si fort vers le sol qu'il lui arrache le cartilage de l'épaule et tout le flanc avec. |
NOTES: | [(Vers & Page) Pp. 328-329, vv. 4498-4505 et 4515-4523. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Chevalier au lion. Livre de poche, Lettres gothiques: Paris, 1994.Edition et traduction de David Hult |
CHERCHEUR/E: |
OCCURRENCE: | 104174 accreditee |
CONTEXTE: | La tante du comte de Bourges a échangé une lettre adressée au comte d'Anjou et sa réponse, concernant sa femme qui vient de mettre au monde un fils, par des lettres qu'elle a écrites elle-même. Dans la première, elle accuse faussement la comtesse, dans la deuxième, elle donne l'ordre qu'elle soir mise à mort, ainsi que l'enfant. |
COTEXTE ET CITATION: | A Loriz quatre hommes avez Qui sont mes sers, bien le savez, Et hault et bas mi justissable ; Fectes leur tel marchié estable Qu'a toujours mes aront franchise, Mez qu'il facent un tel servise Que ma fame, qui si guilé M'a et honni et avilé, Et sa portee geteront En un viez puiz qu'il trouveront En la forest que vous gardez. |
NOTES: | [(Page&vers) P. 112, v. 3689. L'épisode de la condamnation à mort de l'innocente comtesse sera développé aux p. 117-130. |
SOURCE: | Maillart (Jehan), Roman du comte d'Anjou (Le). Mario Roques, Champion: Paris, 1964. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305447 accreditee |
CONTEXTE: | A la suite d’un malaise soudain, Ydoine est aux portes de la mort. Par amour pour Amadas et pour qu’il se console de sa perte sans vouloir se tuer ou sombrer dans la folie, elle s’accuse faussement. Pour agraver son cas, elle ajoute qu’elle a tué les enfants qu’elle a eus de ses cousins et ne s’en est jamais confessée. |
COTEXTE ET CITATION: | Biaus tresdousamis, Amadas, Pour voir vous di que ne sui pas Pucele si com dit vous ai, Que par mon grant peciet amai, Ains de vous, s’en soiiés certains Lonc tans trois miens cosins germains. Si m’en devés mult plus assés Haïr, se raison entendés, Et conforter, amis, de moi, Car il a assés pour choi. Sire, bien les amai set ans Et si oi d’aus trois biaus enfans. Mon très cher et tendre ami, Amadas, je vous avoue qu’en vérité je ne suis pas vierge ainsi que je vous l’ai dit, car par grand péché j’ai aimé, avant de vous connaître -et cela soyez-en certain- trois de mes cousins germains. Aussi, si vous voulez bien prendre ce fait en considération, ami, m’en devez-vous d’autant plus haïr fortement et vous consoler de ma mort, car il y a bien de quoi. Je les ai bien aimés sept ans et j’ai aussi eu d’eux trois beaux enfants. |
NOTES: | P. 195, v. 5027-5038 ; trad. p. 77. |
SOURCE: | Anonyme, Amadas et Ydoine. Champion, éd. John R. Reinhard: Paris, 1974.Les traductions sont celles de Jean-Claude Aubailly, Paris, Champion, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305722 accreditee |
CONTEXTE: | Un savetier est faussement accusé d'un horrible meurtre commis ches ses voisins. |
COTEXTE ET CITATION: | Cette femme outrée de dépit le va publier à tout le monde et, croyant que son mari eut fait le meurtre aussi bien que le vol, l'en accuse comme l'auteur. Il est empoigné par le prévôt et trouvé saisi des meubles égarés. Personne ne doute que ce soit lui qui ait fait un si cruel assassinat. |
NOTES: | Page 74. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305918 accreditee |
CONTEXTE: | Euriaut fuit parce qu'elle a été accusée faussement de n'avoir pas été fidèle à Gérard. Celui-ci part àè sa recherche avec l'intention de révéler la vérité et de faire punir le coupable. |
COTEXTE ET CITATION: | Mais de chou fu molt esbahis Que il ne set en quel païs S'amie querre ne cerkier. Molt bien poroit de l'eskiekier Les poins de sa dolour doubler. D'ire et de duel prist a trambler, Lisïart manache forment Et dist s'encore ne li vent Sa trahison et son renart, Fel soit li rois, se il ne l'art. Se il puet s'amie trouver, Cors a cors li volra prouver K'il a erré comme trahitres. |
NOTES: | Pages 63-64, v. 1499-1511. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, Roman de la Violette. Paris: H.Champion, 1928.Edition Douglas Labaree Buffum |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305919 accreditee |
CONTEXTE: | En quête de son amie Euriaut en fuite parce qu'elle a été accusée faussement de lui avoir été infidèle, Gérard est accueilli et hébergé par un châtelain chez qui il vient d'arriver. |
COTEXTE ET CITATION: | "Et sachiés bien que nul escamp Ne querons e vous hebregier, Que ne samblés mie bregier." "Grans merchis," Gerars lor respont. |
NOTES: | Page 65, vers 1548-1551. Comme les nombreux exemples qui figurent dans la "Continuation de Perceval", en témoignent, ce topos est fortement récurrent chez Gerbert de Montreuil. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, Roman de la Violette. Paris: H.Champion, 1928.Edition Douglas Labaree Buffum |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |