OCCURRENCE: | 103604 chantier |
CONTEXTE: | Dorante, neveu de M. Remy, se fait introduire chez la riche veuve Mme. Araminte, comme intendant. M. Remy pense que Dorante aime Marton (suivante d'Araminte). Ensuite, Dorante et son complice Dubois (son ex-valet) ont monté un plan de "fausses confidences" pour amener Araminte à aimer Dorante qui l'adore. |
NOTES: | [(Page & Acte & Scène) I, II] p. 26-28 Larousse |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), fausses Confidences (Les). [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Dezaly F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 102650 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Ce que le dépit du Duc avoit de plus fâcheux, c'est que Monsieur aïant apris par l'Envoïé du Roi de Navarre comme cette Coquette tâchoit à se les conserver tous deux, et jugeant par la difference des excuses qu'elle leur faisoit, que les unes et les autres étoient fausses, retira les paroles qu'il avoit données à la Reine Mere touchant une trêve, et que la guerre devint plus allumée et plus opiniâtre qu'elle ne l'étoit auparavant. |
NOTES: | [(Page & Tome) 21, 1] Cie des Libraires p. 56 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Désordres de l'Amour (Les). . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104572 accreditee |
CONTEXTE: | Nimphidius s'explique à Agarithe. |
COTEXTE ET CITATION: | Je ne suis Romain que de nom et par adoption; je suis originaire du Païs des Longres. Leur denier Roi qui étoit un Prince tres-pieux, et qui a cedé comme ses voisins, au torrent de la fortune de Rome, m'envoya secrettement ici il y a quelques années, pour y racheter les Princesses et Dames de Germanie, que les Romains feroient captives. Je cachai le secret de ma commission sous les fausses apparences qui vous ont causé tant de frayeurs ; et le Roi des Longres étant mort, et m'ayant laissé de grandes sommes d'Argent pour continuer mon commerce, je l'ay toûjours fait si heureusement qu'aucun Romain n'en a découvert le mistere, et que j'ay sauvé de la violence des vainqueurs, toutes les personnes qui ont bien voulu s'y dérober. |
NOTES: | [(Page & Tome) 493, 2] Cie des Libraires p.359 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Exilez de la cour d'Auguste. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 101236 chantier |
CONTEXTE: | Tombée amoureuse de Tancrede, Ismenie est fortement dépitée par ce qu'elle prend chez lui pour l'amour d'une autre. Elle décide de rompre la première, en lui fournissant des raisons logiques (mais fausses), en particulier le fait qu'elle ait donné sa parole à Gesimond. Mais elle reste amoureuse de lui. Il faudrait sous-entendre que la jalousie, même si elle s'exprime avec une apparence de raison, ne saurait reposer que sur de fausses raisons. |
NOTES: | [(Page) 91] |
SOURCE: | Anonyme, Désespoir amoureux (Le). Josué Steenhouwer, et al.: Amsterdam, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100440 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Et les voilà embarqués dans une querelle interminable sur les femmes; l'un prétendant qu'elles étaient bonnes, l'autre méchantes: et ils avaient tous deux raison; l'un sottes, l'autre pleines d'esprit: et ils avaient tous deux raison; l'un fausses, l'autres vraies: et ils avaient tous deux raison; l'un avares, l'autres libérales: et ils avaient tous deux raison; l'un belles, l'autres laides: et ils avaient tous deux raison; l'un bavardes, l'autre discrètes; l'un franches, l'autre dissimulées; l'un ignorantes, l'autre éclairées; l'un sages, l'autre libertines; l'un folles, l'autre sensées, l'un grandes, l'autre petites: et ils avaient tous deux raison. |
NOTES: | [(Page) 541] |
SOURCE: | Diderot (Denis), Jacques le Fataliste et son Maître. Paris: Garnier-Flammarion, 1970. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 200166 accreditee |
CONTEXTE: | Ethelvold fait écrire de fausses lettres disant que Devon est infecté de la peste pour détourner le roi de son désir de voir Alfrède. |
COTEXTE ET CITATION: | [...]il est certain toutefois, qu'il mit tout en usage pour rompre cette partie. Il avertit Vilfrede de ne rien oublier pour détourner le Roi de son dessein: <citation>Il se fit écrire des Lettres supposées, qui lui apprenoient que Devon étoit infecté de la peste.citation> Il ouvrit ces Lettres en presence du Roi; il gagna ses Medecins pour s'opposer à ce voïage: mais tous ses efforts furent inutiles. |
NOTES: | Vol. 3, p. 19. |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Annales galantes (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21.OEuvres complètes. 12 tomes. Paris: Compagnie des |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |
OCCURRENCE: | 305723 accreditee |
CONTEXTE: | Le vieil Alcuin qui a épousé une jeune et belle femme fait surveiller celle-ci car il est inquiet de sa familiarité avec Marcion. |
COTEXTE ET CITATION: | Mais il a beau se mettre en peine pour rencontrer ce qui n'est pas : tous ses rapporteurs ne lui marquent que des indices de bienveillance entre sa femme et Marcion ; mais sa maladie, qui change les ombres en corps et les fausses apparences en vérités manifestes, lui fait croire qu'il est trahi. |
NOTES: | Page 80. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305880 accreditee |
CONTEXTE: | Un gentilhomme a séduit par ses lettres d'amour une jeune religieuse contrainte par ses parents d'entrer au couvent. |
COTEXTE ET CITATION: | Ils choisirent le lieu sainct pour le prophaner de leurs impuretez avec une impieté execrable. Le chevalier trouva le moyen de faire faire des fausses clefs pour se couler la nuict dans l’Eglise, & de là passer en certain lieu qu’ils avoient jugé propre à leur entrevuë. |
NOTES: | Page 128. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305770 accreditee |
CONTEXTE: | Lucrèce se suicide après avoir tué Paulin parce qu'elle a cru les fausses rumeurs du mariage de ce dernier. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle tourna comme une ourse blessée, & qui la fléche dans le flanc, sa rage contre soy-mesme, & avecque le mesme fer qu'elle enfonça dans son estomac, elle fit sentir la mesme cruauté qu'elle venoit de faire experimenter au miserable Paulin. |
NOTES: | Page 293. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305830 accreditee |
CONTEXTE: | Par jalousie, Gordian tuera sa femme qui est innocente et la servante de celle-ci qu'il croit complice. |
COTEXTE ET CITATION: | Crescentin qui étoit d'humeur vaine, & qui au lieu de celer les véritables faveurs en publioit de fausses, se vanta un jour à quelqu'un de sa connoissance qui estoit des amis de Gordian, qu'il avoit bonne part aux graces de la maistresse dont il cajoloit la servante. Cet ami en donna avis à Gordian, qui sans examiner davantage l'affaire, se crut trahi & ne pensa plus qu'à se venger. |
NOTES: | Page 196. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |