OCCURRENCE: | 100804 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Je ne sais ce que mes yeux lui dirent, mais les siens me firent une réponse si tendre qu'il fallait que les miens l'eussent méritée. Cela me fit rougir et me remua le coeur à un point qu'à peine m'aperçus-je de ce que je devinais. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Vie de Marianne (La) ou les aventures de Madame la Comtesse. Paris: Garnier-Flammarion, 1978.Voir aussi l\'édition de Paris, Prault, 1731. |
CHERCHEUR/E: | Landry L., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104434 accreditee |
CONTEXTE: | Dom Pèdre vient au secours d'Alphonse et lui sauve la vie. |
COTEXTE ET CITATION: | [Dom Pèdre] "Ce n'étoit pas contre Alphonse qu'on les avoit destinez [les assassins], c'étoit contre moi. Ce lâche Rival [le Marquis] avoit découvert qu'Isabelle recevoit de mes nouvelles, il en étoit transporté de jalousie ; et au lieu de se satisfaire par une voye digne de nous, il m'avoit fait dresser cette embuscade. Le défaut du jour et l'équipage d'Alphonse, comme qui qu'étoit sorti seul de la ville, le firent prendre pour ce qu'il n'étoit pas. |
NOTES: | [(Page) 530-1] Slatkine 2,261 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Nouvelles afriquaines (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21.12 tomes? |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104148 accreditee |
CONTEXTE: | [Dom Pèdre] Ce n'étoit pas contre Alphonse qu'on les avoit destinez [les assassins], c'étoit contre moi. Ce lâche Rival [le Marquis] avoit découvert qu'Isabelle recevoit de mes nouvelles, il en étoit transporté de jalousie ; et au lieu de se satisfaire par une voye digne de nous, il m'avoit fait dresser cette embuscade. Le défaut du jour et l'équipage d'Alphonse, comme qui qu'étoit sorti seul de la ville, le firent prendre pour ce qu'il n'étoit pas. |
COTEXTE ET CITATION: | Dom Pèdre vient au secours d'Alphonse et lui sauve la vie] |
NOTES: | [(Page) 530-1] Slatkine 2,261. |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Nouvelles afriquaines (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21.12 tomes? |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104400 accreditee |
CONTEXTE: | Clarice se noie presque en portant secours à Clorante. Turcamène et ses gens lui portent secours pour l'enlever ensuite. |
COTEXTE ET CITATION: | La curiosité de savoir les raisons qui causaient son déguisement, le plaisir de se rendre maître d'une aussi belle personne lui firent prendre le parti de la faire porter chez lui. |
NOTES: | [(Page& Partie) 35, I] Le topos d'aide se transforme immédiatement en topos de violence (Turcamène emmène Clarice évanouie parce qu'il la veut à son pouvoir). [ancien AIDE_DU_FAIBLE_AGRESSE] manque le co-texte Voir aussi: ENLEVER_FEMME_EVANOUIE FEMME_AIDER_HOMME FAILLIR_SE_NOYER |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | TT101420 PROVISOIRE |
CONTEXTE: | des bébés jumeaux "ayant eu part au butin que ses camarades firent en pillant la maison [...] entre plusieurs meubles qui lui échurent pour sa part, [...] dit qu'il lui était toujours demeuré un de ses cristaux qu'on donne aux enfants pour se jouer, quand les dents commencent à leur percer. [...] comme il y avait des armes gravées dessus, Mathilde les reconnut pour les siennes et Clémence (la nourrice) ajouta que ce cristal avait été destiné pour cet enfant qui leur avait été enlevé [...]" |
NOTES: | [(Tome & Page & Nouv.) 228-9, "Mathilde"] Voir pp. 360-1 dans l'édition Société des textes français modernes. L'identité est encore confirmée par une marque a la main du frère jumeau, et le mariage qu'on voulait obliger Mathilde à faire ne peut avoir lieu avec un frère---elle est sauvée et peut épouser son amant. |
SOURCE: | Segrais (Jean Regnault de), Nouvelles françaises (Les). [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | 103712 accreditee |
CONTEXTE: | Les troupes pillent le pays conquis. |
COTEXTE ET CITATION: | <CITATION>Tant firent et tracassèrent en pillant et larronnant qu'ils arrivèrent à Seuillé, et détroussèrent hommes et femmes, et prirent ce qu'ils purent: rien ne leur fut ni trop chaud, ni trop pesant CITATION>. |
NOTES: | [(Page & Chapitre & Li) 275, XXV, 1-4] |
SOURCE: | Rabelais, Gargantua. La vie inestimable du grand Gargantua.... [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Garand D. |
OCCURRENCE: | 102658 accreditee |
CONTEXTE: | Dom Carlos est accusé par les parents de Sophie, dont une lettre dit qu'elle apris la fuite avec lui, de la disparition de leur fille. |
COTEXTE ET CITATION: | La Justice entra dans ma chambre et me trouva endormy. [...]après qu'on m'eut demandé ou estoit Sophie, je demanday aussi où elle estoit, mes parties s'en irriterent et me firent conduire au prison avec une extreme violence. |
NOTES: | [(Partie & Page) 2, 747] Récit au 3e degré dans "le juge de sa propre cause". |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Riou D. |
OCCURRENCE: | 104242 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | "Je me trouvais enflammé tout d'un coup jusqu'au transport." |
NOTES: | [( Page & Partie) 14, I] topos confirmé dans La vie de Marianne, Marivaux, p93 partie I : "... Je ne sais ce que mes yeux lui dirent, mais les siens me firent une réponse si tendre qu'il fallait que les miens l'eussent méritée. Cela me fit rougir et me remua le coeur [...]" |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut. Garnier/Deloffre-Picard: Paris, 1990. |
OCCURRENCE: | 102354 accreditee |
CONTEXTE: | Le personnage narrateur-auteur arrive à la rescousse d'une femme que l'on agresse. |
COTEXTE ET CITATION: | "A cette horrible nouvelle, je m'écrie comme un furieux : Ah moi! Ici, la garde! <CITATION>Ces mots firent fuir les misérables.CITATION>" |
NOTES: | [(Page & Nuit) 98, 52] |
SOURCE: | Rétif de la Bretonne, Nuits de Paris (Les) ou le spectateur nocturne. Paris: Gallimard, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Meljac S. |
OCCURRENCE: | 104140 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Englesac resolu à se perdre ou à me remettre en liberté, ayant amassé nombre de jeunes Gentilshommes, vint fondre masqué et comme un lion, sur les Cavaliers qui me conduisoient, les obligeant à s'écarter et à me laisser libre; ce qu'ils firent heureusement. Ce pauvre Comte m'ayant ensuite prise en croupe pour m'éloigner plus viste de mes ennemis, me conduisit dans le Château d'un de ces Gentilshommes. |
NOTES: | [(Page) 115] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. Paris: 1671-72. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 306001 accreditee |
CONTEXTE: | Pâris et Hélène tombent amoureux l'un de l'autre à leur première rencontre. |
COTEXTE ET CITATION: | El veeir e el parlement Qui il firent assez briefment, Navra Amors e lui e li Ainz qu’il se fussent departi. En lor forme e en lor senblance E por lor bele contenance Les a griefment espris Amors. Les regards et les quelques paroles qu’ils échangèrent rapidement, cela suffit pour qu’Amour les blessât l’un et l’autre avant qu’ils ne se séparent. Amour qui exalte la beauté de leurs corps, de leurs traits, de leur allure les a embrasés de ses feux. |
NOTES: | P. 156, v. 4355-61. |
SOURCE: | BENOÎT DE SAINTE-MAURE, Le Roman de Troie. Paris: Lettres Gothiques, 1998. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 101192 accreditee |
CONTEXTE: | Injustement accusé d'avoir enlevé Sophie, dom Carlos est emprisonné par l'ordre du vice-roi, parent de la famille de Sophie. Il s'échappe en compagnie d'autres prisonniers pour mener, désespéré, une vie de brigand. |
COTEXTE ET CITATION: | Après qu'on m'eut demandé où était Sophie, je demandai aussi où elle était, mes parties s'en irritèrent et me firent conduire en prison avec une extrême violence. [...] Enfin l'injustice, appuyée de la force, l'emporta sur l'innocence opprimée. Je fus averti que je serais bientôt jugé et que je le serais à mort. Je n'espérai pas que le ciel fît un miracle en ma faveur et je voulus donc hasarder ma délivrance par un coup de désespoir. Je me joignis à des bandouliers, prisonniers comme moi, et tous gens de résolution ; nous forçâmes les portes de notre prison et, favorisés de nos amis, nous eûmes plus tôt gagné les montagnes les plus proches de Valence que le vice-roi n'en put être averti. |
NOTES: | [(Partie & Page) II, ch.XIV, 245] La page dans : Classiques Garnier, 1973, p. 245. |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Grodek E. |
OCCURRENCE: | 104676 accreditee |
CONTEXTE: | Des hommes viennent d'enlever Haly Joseph et Amador. |
COTEXTE ET CITATION: | Dés l'instant qu'ils furent à une portée de trait de l'Isle, ils jetterent quelque chose dans la mer, que la distance et nôtre douleur nous firent croire être les enfans qu'ils venoient de nous ravir. |
NOTES: | [(Page & Tome) 65] ; Slatkine, Page: 1,423 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Alcidamie. Compagnie des Libraires: Paris, 1720-1. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 100560 accreditee |
CONTEXTE: | Un homme va au secours d'une jeune fille qui est attaquéee. |
COTEXTE ET CITATION: | Ayez pitié de moi!" (me dit-il) [...] Il m'apprit ce qui se passait à quelques pas de nous. A cette horrible nouvelle, je m'écrie comme un furieux : A moi ! Ici la garde! Ces mots firent fuir les quatre misérables. |
NOTES: | [(Page & Nuit) 98, 52e nuit] Le narrateur est ici aussi l'auteur. |
SOURCE: | Rétif de la Bretonne, Nuits de Paris (Les) ou le spectateur nocturne. 1691.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Meljac S. |
OCCURRENCE: | 306016 accreditee |
CONTEXTE: | Les serfs à qui le roi de Thèbes a ordonné de tuer son fils OEdipe à la suite de la prédiction de l'oracle d'Apollon, l'abandonnent dans la forêt au lieu d'exécuter l'ordre. |
COTEXTE ET CITATION: | Sez mains tendist, et si lor rist come a sa norice feïst. Enz por le reis qu’il ad geté, commeü sont de pitié et dient tout : « Pecchié ferron, quant il nous rit, se l’ocïon ». Par les deux piez l’ont porfendu, a un haut chesne l’ont pendu ; por cel firent nel devorassent ors ne lëons, ne nel mangeassent. Il leur tendit les mains et leur sourit, comme il l’aurait fait à sa nourrice. Devant ce sourire qu’il leur a adressé, les serfs sont saisis de pitié et disent tous : « Ce serait un péché de le mettre à mort alors qu’il nous sourit ». Ils lui ont fendu les deux pieds et l’ont suspendu à un chêne élevé ; ils ont fait cela pour l’empêcher d’être dévoré par un ours ou un lion, pour l’empêcher d’être dévoré. |
NOTES: | P. 50, v. 115-124. |
SOURCE: | Anonyme, Roman de Thèbes. Paris: Le Livre de Poche, 1995.Éd. Francine Mora-Lebrun, ms. Londres, Brit. Libr. Add. 34114. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | TT101318 PROVISOIRE |
CONTEXTE: | vers 538-542 "Sur la tumbe cheï pasmee, En la pameisun devia; Unc puis a humme ne parla. Quant sis fiz veit que el morte fu, sun parastre ad le chief tolu; vers 551-554 "Cil que ceste aventure oïrent Lunc tens aprés un lai en firent, De la pitié, de la dolur que cil suffrirent pur amur." |
COTEXTE ET CITATION: | Dans le lai deYonec, la dame s'évanouit de douleur en apprenant la mort de son amant. Cette scène constitue le dénouement |
NOTES: | Edition : Blackwell's French texts, Oxford, 1952 |
SOURCE: | . |
CHERCHEUR/E: | Weil M., Bosson I. |
OCCURRENCE: | 101376 accreditee |
CONTEXTE: | Trois animaux : un corbeau, un chien et un chat, s'opposent à la levée du corps de leur maître mort au cours de la nuit. |
COTEXTE ET CITATION: | Le corbeau se jeta sur eux [les prêtres chargés de la levée du corps] croassant de toute sa force, en leur donnant des coups de bec et de pattes. Le chien et le chat en firent de même [...]". |
NOTES: | [(Page) 146] Un lecteur contemporain aurait sujet de s'amuser d'une apparente maladresse de style (voir le co-texte). |
SOURCE: | Anonyme, Désespoir amoureux (Le). Josué Steenhouwer, et al.: Amsterdam, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 105062 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | La Reine...entendit plusieurs voix confuses qui lui firent juger qu'il se passoit quelque desordre dans la forest. Elle envoïa sçavoir la cause de ce tumulte, et on vint lui dire que c'étoit un differend qui venoit de naître entre les Bergers, Licoris et Timante, qui s'étant querellez pour Cyparisse, se fussent enfoncez le fer de leur houlette dans le corps, sans l'empêchement qu'on y avoit apporté. |
NOTES: | [(Page & Tome) 314, I] Cie des Libraires p. 205 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305655 accreditee |
CONTEXTE: | Après bien des aventures, Jehan, devenu roi de France, épouse la fille du roi d’Espagne qui lui avait été promise dès l’enfance. |
COTEXTE ET CITATION: | Grant joye s’entrefirent les deux amans, et firent de beaux passetemps durant la nuyt, comme vos aultres, jeunes gens que bien aiymez quelque belle jeune ville, quant la povez tenir entre voz bras: Dieu scet le plaisir et la joye que vous avez. Si l’engrossa celle nuyt le roy d’un beau filz, que despuis fut roy de France. |
NOTES: | P. 757 |
SOURCE: | ANONYME, Roman de Jehan de Paris. Paris: La Pleiade, .Gallimard, 1952.Edition de Albert Pauphilet dans Poètes et Romanciers du Moyen Age. |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305701 accreditee |
CONTEXTE: | Renaudin, fils du roi Mabrien, vient d’épouser Eglantine, la fille du roi païen Bruyant |
COTEXTE ET CITATION: | Et au regard du roy Regnauldin et sa femme, si bonne chiere firent ensemble qu’en la premiere nuyt ung beau filz engendrerent, qui depuis fut moult vaillant homme en armes. |
NOTES: | Rubrique 54, paragraphe 1, p. 449. |
SOURCE: | ANONYME, Mabrien. Genève: Droz, 1998.Edition Philippe Verelst |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305718 accreditee |
CONTEXTE: | Même une fois mariée Bamba continue à entretenir une relation amoureuse avec Adalbéron, le précepteur de ses frères. L'insolence des amants à l'égard des domestiques qui veulent faire obstacle à cet adultère consuira ceux-ci à le dévoiler. |
COTEXTE ET CITATION: | Et Bamba et lui, irrités contre ces valets, leur firent tant d'outrages, leur firent tant de menaces et les chargèrent de tant d'injures, qu'enfin un d'entre eux, perdant la patience, avertit Rigobert de ces menées qui se passaient au préjudice de son honneur. |
NOTES: | Page 66. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305749 accreditee |
CONTEXTE: | Alors que Diomède a pardonné une tentative de viol sur sa femme, elle se venge cruellement. Les mutilations décrites dans la citation se poursuivent et entraîneront la mort de leur victime. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle fit donc saisir ce misérable par des valets ; et après lui avoir fait lier les pieds et les mains, elle se met avec ses femmes et filles à le fouetter si démesurément qu'il n'y avait partie de son corps dont le sang ne sortît. Après cela, elle lui crevèrent les yeux avec leurs aiguilles et, avec leurs ciseaux et autres ferrements de leurs étuis, lui firent tant d'incisions et de balafres au visage et par tout le corps qu'il n'était plus reconnaissable. |
NOTES: | Page 222. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305813 accreditee |
CONTEXTE: | Zoello, étudiant à l'Université de Pise, a séduit la fille de ses logeurs. |
COTEXTE ET CITATION: | Tant y a qu'elle l'aima, & son amour joincte au desir de sortir de la tyrannie & captivité où la tenoient ses parents avecque la consideration de son avancement en espousant un riche parti, tel qu'estoit le Gennois, la firent consentir à se laisser enlever sur la promesse de mariage que lui fist Zoello. |
NOTES: | Pages 153. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305814 accreditee |
CONTEXTE: | L'étudiant Zoello séduit la fille de ses logeurs par une promesse de mariage. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle l'aima, & son amour joincte au desir de sortir de la tyrannie & captivité où la tenoient ses parents avecque la consideration de son avancement en espousant un riche parti, tel qu'estoit le Gennois, la firent consentir à se laisser enlever sur la promesse de mariage que lui fist Zoello. |
NOTES: | Page 153. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305887 accreditee |
CONTEXTE: | Une jeune fille, Euguevine, éprouve de l'attirance pour le maître de musique. |
COTEXTE ET CITATION: | Il avoit deux qualitez extremement advantageuses en l’Amour, la poësie & la musique tat de la voix que de la main, car il touchoit du luth à merveilles. Toute ces conditions jointes ensemble firent un comble de perfections devant les yeux de ceste imprudente damoiselle, & servirent de charmes à son inconsideration pour la porter à l’amour de ce Medor. |
NOTES: | Page 252. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |