OCCURRENCE: | 100688 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | On était à l'entrée de l'hiver, et nous nous promenions un jour, ma mère et moi, le long d'une forêt avec ces deux messieurs; je m'étais un peu écartée, je ne sais pour quelle bagatelle à laquelle je m'amusais dans cette compagne, quand un loup furieux, sorti de la forêt, vint à moi en me poursuivant. Jugez de ma frayeur; je me sauvai vers ma compagnie en jetant de hauts cris. Ma mère, épouvantée, voulut se sauver aussi, et tomba de précipitation; le bourgeois s'enfuit, quoiqu'il eût une épée à son côté. Le gentilhomme seul, tirant la sienne, resta, accourut à moi, fit face au loup et l'attaqua dans le moment qu'il allait se jeter sur moi et me dévorer. Il le tua, non sans courir risque de la vie, car il fut blessé en plusieurs endroits, et même renversé par le loup, avec qui il se roula longtemps sur la terre sans quitter son épée, dont enfin il acheva ce furieux animal. |
NOTES: | [(Page) 214] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Paysan parvenu (Le) ou les Mémoires de M***. Garnier/Deloffre: Paris, 1969. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305376 accreditee |
CONTEXTE: | Virginie a beaucoup marché, pieds-nus, après avoir ramené une esclave marronne à son maître dans les hauts de l’île ; elle souffre beaucoup et ne peut plus avancer. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle s’entoura les pieds, que les pierres des chemins avaient mis en sang. [] Se sentant soulagée par la fraîcheur de ces feuilles. |
NOTES: | P. 133. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Paul et Virginie. Paris: Imprimerie Nationale, 1984.Édition E. Guitton |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305377 accreditee |
CONTEXTE: | Paul et Virginie ont ramené une esclave marronne à son maître dans les hauts de l’île ; perdus loin de leur habitation, ils ont beaucoup marché ; Virginie est pieds-nus. |
COTEXTE ET CITATION: | Paul et Virginie ne pouvaient plus marcher ; leurs pieds étaient enflés et tout rouges. |
NOTES: | P. 137. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Paul et Virginie. Paris: Imprimerie Nationale, 1984.Édition E. Guitton |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305383 accreditee |
CONTEXTE: | Virginie a beaucoup marché, pieds-nus, après avoir ramené une esclave marronne à son maître dans les hauts de l’île ; elle souffre beaucoup et ne peut plus avancer. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle s’entoura les pieds, que les pierres des chemins avaient mis en sang. [...] Se sentant soulagée par la fraîcheur de ces feuilles. |
NOTES: | P. 133. Co-occurrence avec MARCHER_NU_PIED. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Paul et Virginie. Paris: Imprimerie Nationale, 1984.Édition E. Guitton |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305384 accreditee |
CONTEXTE: | Paul et Virginie ont ramené une esclave marronne à son maître dans les hauts de l’île ; perdus loin de leur habitation, ils ont beaucoup marché ; Virginie est pieds-nus. |
COTEXTE ET CITATION: | Paul et Virginie ne pouvaient plus marcher ; leurs pieds étaient enflés et tout rouges. |
NOTES: | P. 137. Co-occurrecne avec MARCHER_NU_PIED. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Paul et Virginie. Paris: Imprimerie Nationale, 1984.Édition E. Guitton |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |