OCCURRENCE: | 100590 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur réconforte un homme qui se croit damné. L'aide est ici morale plus que matérielle. L'homme est faible en ce sens qu'il apparaît fortement ébranlé par ce que lui a dit son confesseur. |
COTEXTE ET CITATION: | "Je m'approche de cet infortuné, que je reconnu à son langage pour un Auvergnat...- Malheureux! qu'avez-vous? D'où vient cette chaine...cet air effrayant!- Je suis danna! Mon confeseur me l'a dit. Il vous a dit aussi, que Dieu était misericordieux! Quel que soit le crime que vous avez commis, avec repentir, le changeemnt, des efforts pour réparer le mal, il est rémissible.". |
NOTES: | [(Page & Nuit)p.121, 80e] |
SOURCE: | Rétif de la Bretonne, Nuits de Paris (Les) ou le spectateur nocturne. Paris: Gallimard, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Meljac S. |
OCCURRENCE: | 103424 chantier |
CONTEXTE: | Croyant reconnaître dans une taupe douée de langage la mauvaise fée responsable de ses malheurs, Tanzaï tente d'étrangler l'animal. Il y renonce, car la taupe révèle son identité : elle est fée. |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 188, III] |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Ecumoire (L') ou Tanzaï et Néadarné, Histoire japonaise. Lou-chou-chu-la: Pékin (Paris), 1734.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Defrance A. |
OCCURRENCE: | 305333 accreditee |
CONTEXTE: | Julie dont la mère vient de mourir, partage sa douleur avec St. Preux et son inquiétude que leur amour ait contribué à cette mort. |
COTEXTE ET CITATION: | Je vis, je vis en frémissant la douleur empoisonner, hâter les derniers jours de ma triste mère. En vain sa pitié pour moi l’empêcha d’en convenir ; en vain elle affectait d’attribuer le progrès de son mal à la cause qui L’avait produit ; en vain ma Cousine gagnée a tenu le même langage. Rien n’a pu tromper mon cœur déchiré de regret, et pour mon tourment éternel je garderai jusqu’au tombeau l’affreuse idée d’avoir abrégé la vie de celle à qui je la dois. |
ANNOTATION: | T. I, p. 380. Voir p. 384 où St. Preux interroge Claire pour savoir si elle le croit coupable et si la douleur a hâté la mort de Madame d’Étange. |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 200192 accreditee |
CONTEXTE: | En chemin vers Oxford où il va chercher Blonde, Jehan chemine avec le comte de Gloucester, le prétendant de la jeune fille. Il tient des propos absurdes que l’on tourne en dérision. |
COTEXTE ET CITATION: | Jehans entendi bien leur dis, Mais n’en fist onques sanlant. Tuit li Englés le vont moquant ; Dient : “Mout a en lui bon sot.” Jehans se taist, ne respont mot. Jehan entendit bien leurs propos, mais ne fit semblant de rien. Tous les Anglais se moquent de lui en le traitant de nigaud. Jehan se tait, ne répond mot. (65) |
NOTES: | P. 96, vv. 2706-2710 Voir p. 98-99. L’épisode évoque les Folies Tristan où Tristan se fait passer pour fou à la cour devant Marc et Iseut. Il parle un langage crypté dont le public comprend le double sens, ainsi à la p. 99, Jehan parle d’un épervier auquel il a tendu un piège et qu’il va chercher. |
SOURCE: | Philippe de Rémi, Jehan et Blonde. Champion: Paris, 1984.Edition Sylvie Lécuyer |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305340 accreditee |
CONTEXTE: | Dans le programme de lectures élaboré par St. Preux pour Julie, il élimine les poètes et livres d’amour qui ne peuvent rien apprendre à un cœur passionné. |
COTEXTE ET CITATION: | Qu’apprendrions-nous de l’amour dans ces livres ? Ah, Julie notre cœur nous en dit plus qu’eux, et le langage imité des livres est bien froid pour quiconque est passionné lui-même ! |
NOTES: | T. I, p. 105. Voir aussi t. I, p. 218 et 339. |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |