OCCURRENCE: | 102262 accreditee |
CONTEXTE: | Le Petit Poucet et ses frères sont égarés dans la forêt par leurs parents. |
COTEXTE ET CITATION: | Le Petit Poucet les laissait crier sachant bien par où il reviendrait à la maison, car en marchant il avait laisser tomber le long du chemin les petits cailloux blancs qu'il avait dans sa poche. |
NOTES: | [(Page) P. 281. Garnier Flammarion 1991. |
SOURCE: | Perrault (Charles), Petit Poucet (Le). Histoires ou Contes du Temps p: Paris, 1697?.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 104754 provisoire |
CONTEXTE: | Ces deux rencontres se produisent à deux années d'intervalle. |
COTEXTE ET CITATION: | "Je fus surpris en entrant dans ce bourg d'y voir tous les habitants en alarme" (p.33) "En marchant l'après-midi dans les rues, je crus apercevoir ce même jeune homme dont j'avais fait la rencontre à Passy" (p. 37). |
NOTES: | [( Page & Partie) 33, 37 GF] |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut. Garnier/Deloffre-Picard: Paris, 1990. |
CHERCHEUR/E: | Marsal H., Vergnes S., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305385 accreditee |
CONTEXTE: | Bernardin relate le tour de l’île qu’il fait à pied avec un esclave, et se montre très préoccupé de la blessure que ce dernier s’est fait à un pied. |
COTEXTE ET CITATION: | Duval, mon nouveau noir, se coupa le pied profondément, en marchant sur leurs écailles (d’huîtres collées aux rochers). |
NOTES: | P. 214-215. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Voyage à l’Ile de France. Paris: 1818.Éd. Méquignon-Marvis |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305388 accreditee |
CONTEXTE: | Lors de son voyage autour de l’île, l’auteur s’intéresse beaucoup à l’agilité des esclaves, en marchant notamment; il essaie comme d’ailleurs de marcher pieds-nus ; ceci le conduit à des observations sur la création du corps humain. |
COTEXTE ET CITATION: | Cette façon d’aller est non seulement la plus naturelle, mais la plus sûre ; le pied saisit comme une main les angles de rochers. Les noirs ont cette partie si exercée qu’ils s’en servent pour ramasser une épingle à terre. Ce n’est donc pas en vain que la nature divisa ces membres en doigts, et les doigts en articulations. [...] En mettant mon pied dans l’eau, j’éprouvai à mes blessures une douleur fort vive. Je renonçai à mon projet, fâché d’avoir perdu un des avantages de la constitution humaine, faute d’exercice. |
NOTES: | P. 227-228. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Voyage à l’Ile de France. Paris: 1818.Éd. Méquignon-Marvis |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |