OCCURRENCE: | 102552 accreditee |
CONTEXTE: | [Guirlane] est enlevée au bord du rivage anglais par les hommes de main d'un marchand Turc. |
COTEXTE ET CITATION: | Je résistai en criant mais ils méprisèrent des cris qui ne pouvaient être entendus de personne ; et ils me forcèrent de marcher jusqu'au rivage où je fus livrée entre les mains de leur maître qui était justement le Turc que j'ai épousé depuis. |
NOTES: | [(Page& Partie) 252, IV] Enlèvement par personne interposée (par le Turc) mais sans ses ordres. Elle épousera le Turc. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 101114 chantier |
CONTEXTE: | Silvie est vue par Des Frans. |
COTEXTE ET CITATION: | Un air de princesse à marcher. |
NOTES: | [(Partie & Page) Hist 6] |
SOURCE: | Challe Robert, Illustres Françaises (Les). Librairie de Hondt: La Haye, 1713.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103014 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | [...] son histoire, quand elles ouirent marcher dans leur chambre, ce qui leur sembla d'autant plus étrange qu'elles [...] |
NOTES: | [(Partie & Page) 211] pages dans la collection Folio |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Monteil, Pauvert, Weil M. |
OCCURRENCE: | 105030 accreditee |
CONTEXTE: | Le duc d'Aumale s'est déguisé en moine pour un rendez-vous [raté] avec Madame. Mme de Sauve, qui se croit en train de mourir parce que piquée par un scorpion, veut un confesseur. Mme de Sauve reconnaîtra le duc. |
COTEXTE ET CITATION: | Il s'excusa donc à ses gens le mieux qu'il lui fut possible, mais ils ne receurent point ses excuses, ils le taxerent de peu de charité, l'appellerent de tous les noms qu'on donneroit à un vrai Moine dans une pareille occasion, et le voulant contraindre de marcher, ils le mirent dans la plus grande peine où il se fût trouvé de sa vie. S'il eût pû oublier un moment qu'il étoit Moine, il n'auroit eu besoin que d'un bâton pour écarter ces importuns, mais il n'osoit faire connoître ce qu'il sçavoit faire : tantôt il se défendit sur la brièveté de son obédience, et autrefois sur le peu d'étendue de son pouvoir. Nos opiniâtres ne se païoient d'aucune raison, ils vouloient trouver un Confesseur dans le Duc, n'y eu [sic] eût-il jamais eu. |
NOTES: | [(Page & Tome) 187, III] Cie des Libraires p. 150 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Oeuvres complètes de Mme de Villedieu. Oeuvres,Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21..(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 100230 accreditee |
CONTEXTE: | La Rappinière croit surprendre et saisir sa femme qu'il soupçonne à tort d'infidélité. Il se bat en fait avec une chèvre. |
COTEXTE ET CITATION: | Il appela sa femme et on ne lui répondit point. Avoir quelque soupçon, se mettre en colère, se lever de furie, ne fût qu'une même chose. A la sortie de sa chambre, il entendit marcher devant lui [...] Il se trouva si près de celui qu'il suivait qu'il crut lui marcher sur les talons. Il pensa se jeter sur sa femme et la saisir en s'écriant "Ah ! putain!" Ses mains ne trouvèrent rien [...] Il cria effroyablement au meurtre [...] toute la maison vint à son aide en même temps, [...] et mademoiselle de la Rappinière vint la dernière et fut bien étonnée, aussi bien que les autres, de trouver son mari tout furieux, luttant contre une chèvre. |
NOTES: | [(Partie & Page) I, 4, 73] Référence dans les Editions Classiques Garnier[1973] 11-12. Voir aussi topos quiproquo_nocturne |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305375 accreditee |
CONTEXTE: | Lors de son tour de l’île à pied, Bernardin a voulu marcher pieds-nus comme les esclaves, mais il a attrapé des coups de soleil, aux jambes notamment, et en souffre beaucoup. |
COTEXTE ET CITATION: | « En mettant mon pied dans l’eau, j’éprouvai à mes blessures une douleur fort vive. » |
NOTES: | P. 227-228. Co-occurrence avec BLESSURE_PIED. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Voyage à l’Ile de France. Paris: 1818.Éd. Méquignon-Marvis |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305377 accreditee |
CONTEXTE: | Paul et Virginie ont ramené une esclave marronne à son maître dans les hauts de l’île ; perdus loin de leur habitation, ils ont beaucoup marché ; Virginie est pieds-nus. |
COTEXTE ET CITATION: | Paul et Virginie ne pouvaient plus marcher ; leurs pieds étaient enflés et tout rouges. |
NOTES: | P. 137. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Paul et Virginie. Paris: Imprimerie Nationale, 1984.Édition E. Guitton |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305378 accreditee |
CONTEXTE: | L’auteur relate le voyage qu’il effectue à pied autour de l’île, guidé notamment par un esclave. |
COTEXTE ET CITATION: | Pour marcher plus à mon aise, et n’être pas obligé de me déchausser au passage de chaque rivière, je résolus de marcher nu-pieds comme les chasseurs du matin. |
NOTES: | P. 227-228. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Voyage à l’Ile de France. Paris: 1818.Éd. Méquignon-Marvis |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305380 accreditee |
CONTEXTE: | Dans sa description des mœurs humbles des deux mères (Mme de La Tour et Marguerite), Bernardin s’attache, comme souvent dans le récit pour tous les personnages, à leur façon de marcher. |
COTEXTE ET CITATION: | Elles marchaient nu-pieds dans leur habitation, et ne portaient de souliers que pour aller le dimanche de grand matin, à la messe. |
NOTES: | P. 111. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Paul et Virginie. Paris: Imprimerie Nationale, 1984.Édition E. Guitton |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305382 accreditee |
CONTEXTE: | Lors de son tour de l’île à pied, Bernardin a voulu marcher pieds-nus comme les esclaves, mais il a attrapé des coups de soleil, aux jambes notamment, et en souffre beaucoup. |
COTEXTE ET CITATION: | En mettant mon pied dans l’eau, j’éprouvai à mes blessures une douleur fort vive. |
NOTES: | P. 227-228. Co-occurrence avec le topos marcher_NU_PIED. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Voyage à l’Ile de France. Paris: 1818.Éd. Méquignon-Marvis |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305384 accreditee |
CONTEXTE: | Paul et Virginie ont ramené une esclave marronne à son maître dans les hauts de l’île ; perdus loin de leur habitation, ils ont beaucoup marché ; Virginie est pieds-nus. |
COTEXTE ET CITATION: | Paul et Virginie ne pouvaient plus marcher ; leurs pieds étaient enflés et tout rouges. |
NOTES: | P. 137. Co-occurrecne avec marcher_NU_PIED. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Paul et Virginie. Paris: Imprimerie Nationale, 1984.Édition E. Guitton |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305388 accreditee |
CONTEXTE: | Lors de son voyage autour de l’île, l’auteur s’intéresse beaucoup à l’agilité des esclaves, en marchant notamment; il essaie comme d’ailleurs de marcher pieds-nus ; ceci le conduit à des observations sur la création du corps humain. |
COTEXTE ET CITATION: | Cette façon d’aller est non seulement la plus naturelle, mais la plus sûre ; le pied saisit comme une main les angles de rochers. Les noirs ont cette partie si exercée qu’ils s’en servent pour ramasser une épingle à terre. Ce n’est donc pas en vain que la nature divisa ces membres en doigts, et les doigts en articulations. [...] En mettant mon pied dans l’eau, j’éprouvai à mes blessures une douleur fort vive. Je renonçai à mon projet, fâché d’avoir perdu un des avantages de la constitution humaine, faute d’exercice. |
NOTES: | P. 227-228. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Voyage à l’Ile de France. Paris: 1818.Éd. Méquignon-Marvis |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305735 accreditee |
CONTEXTE: | Début de la nouvelle "L'Impudent adutère" qui présente Macrobe et les indignités qu'il fait subir à sa femme Gondène. |
COTEXTE ET CITATION: | Résolue donc de souffrir toute sorte d'extrémités plutôt que de perdre la qualité qu le faisait marcher sans rougir et la tête levée devant le monde, elle en vint jusque-là de fermer des yeux à toutes les échappées de son mari. |
NOTES: | Page 131. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |