OCCURRENCE: | 102264 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Les noces ne furent pas plutôt faites, que la Belle-mère fit éclater sa mauvaise humeur; elle ne put souffrir les bonnes qualités de cette jeune enfant qui rendait ses filles encore plus haïssables. Elle la chargea des plus viles occupations de la maison". |
NOTES: | [(Page) 278] GF, 1991 meilleure citation est à chercher pour illustrer la jalousie des soeurs et l'isolement par le travail. |
SOURCE: | Perrault (Charles), Petit Poucet (Le). Histoires ou Contes du Temps p: Paris, 1697?.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 100348 chantier |
CONTEXTE: | La veuve Moraysele, parente de la jeune princesse Moraysele est amoureuse du marquis de Calis, qui, lui, est amoureux de la jeune princesse. Dans un premier temps, le marquis, avec une certaine mauvaise conscience, exploite l'amour de la veuve pour pouvoir aimer la jeune princesse. La jalousie de la veuve finit par traverser les amours des jeunes gens. Dans un deuxième temps, la veuve Moraysele est punie de son caractère mensonger par la perte de ses deux amants. (I, 564-66) |
NOTES: | [(Page) I, 522-27] voir aussi l'édition de la Compagnie des Librairies p.458-79, 625-32. |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Galanteries grenadines (Les). 16.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 306013 accreditee |
CONTEXTE: | Une tempête empêche les Grecs de partir : il faudra sacrifier Polyxène, la fille de Priam dont Achille était tombé amoureux. |
COTEXTE ET CITATION: | Aprés parlerent de l’aller, Mes si orrible fu la mer, Si ydose, si reversant, Qu’en nule fin ne fet senblant Que il ja mes dedenz entrassent Que maintenant tuit ne neiassent. Chascun jor iert si forz li venz E par la mer tiels li tormenz, Nus n’i entrast qui ne fust mort Ne qui ja mes venist a port. Les Grecs parlèrent ensuite de partir, mais la mer était si mauvaise, si déchaînée, si agitée qu’ils ne voyaient pas comment ils pourraient s’embarquer sans être aussitôt noyés. Chaque jour, le vent soufflait si fort, la tempête était si violente que personne n’aurait pu naviguer sans trouver la mort : impossible d’arriver à bon port. |
NOTES: | P. 622, v. 26375-84. |
SOURCE: | BENOÎT DE SAINTE-MAURE, Le Roman de Troie. Paris: Lettres Gothiques, 1998. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 103424 chantier |
CONTEXTE: | Croyant reconnaître dans une taupe douée de langage la mauvaise fée responsable de ses malheurs, Tanzaï tente d'étrangler l'animal. Il y renonce, car la taupe révèle son identité : elle est fée. |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 188, III] |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Ecumoire (L') ou Tanzaï et Néadarné, Histoire japonaise. Lou-chou-chu-la: Pékin (Paris), 1734.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Defrance A. |
OCCURRENCE: | 102956 accreditee |
CONTEXTE: | Le personnage féminin touche le coeur, non par sa richesse et sa beauté, mais par son mérite. |
COTEXTE ET CITATION: | C'est assurément beaucoup qu'être riche et de naissance pour s'attirer force protestants, mais quand elle n'aurait point eu ces avantages, son mérite aurait suffi pour la faire aimer. C'est peu de dire qu'on ne pouvait découvrir en elle aucune mauvaise qualité, elle avait toutes celles qu'on peut souhaiter dans une personne toute accomplie. Elle était belle sans fierté, civile sans abaissement, spirituelle sans affectation, complaisante sans contrainte et il y avait un je ne sais quel charme de douceur répandu dans toutes ses manières qui touchait le coeur dès qu'on la voyait. |
NOTES: | Page 463. |
SOURCE: | Achille Tatius, Leucippé et Clitophon. Belles Lettres,J.P. Garnaud: Paris, 2001. |
CHERCHEUR/E: | Haun N., Ramsthaler S. |
OCCURRENCE: | 102246 accreditee |
CONTEXTE: | Une mauvaise fée (Concombre) enlève sa filleule (Roussa Blafarda). Elles disparaissent toutes deux dans les airs. |
COTEXTE ET CITATION: | On sortit du temple. Le premier soin du prince fut d'envoyer à l'appartement de Roussa pour sçavoir si la vieille n'y seroit pas retournée: il apprit que d'abord qu'elle avoit disparu dans le temple on l'avoit vue arriver chez Roussa dans un char traîné par deux limaçons; que cet équipage, qui avoit fendu les airs avec une rapidité surprenante, s'étant abattu sur le logement de cette princesse, la vieille l'avoit enlevée, et qu'elles avoient disparu toutes deux. |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 132, 8] |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Ecumoire (L') ou Tanzaï et Néadarné, Histoire japonaise. Lou-chou-chu-la: Pékin (Paris), 1734.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Defrance A. |
OCCURRENCE: | 104474 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Je ne receus plus que de mauvais traitemens de mon mari, et je vécus sous cette tyrannie, jusqu'au mois de Janvier de l'année mil six cens soixante-quatre, qu'ayant eu des avis certains de sa mauvaise volonté, et qu'il me devoit enlever en une de ses maisons pour m'y tenir enfermée, je resolus de ne pas attendre cette violence. La gelée rendoit les chemins commodes, je pris toutes mes pierreries...et je sortis de Bruxelles pour me rendre avec Merinville à cinq lieues de-là, toutes deux en habit d'homme». |
NOTES: | [(Page) 78-9] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. Paris: 1671-72. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305253 accreditee |
CONTEXTE: | À son retour en Écosse avec une lettre du roi disant de prendre soin de sa femme, le messager repasse par York où la reine mère subtilise la lettre. Elle en fait écrire une autre où le roi ordonne au sénéchal de brûler sa femme et son enfant. |
COTEXTE ET CITATION: | Comme elle l'avait fait la fois précédente, elle le fit coucher dans la chambre contiguë à la sienne, et là, le messager sombra dans le sommeil -quelle mauvaise idée il eut là! À la nuit noire, sans attendre davantage, la mère du roi s'est emparée de la lettre, et l'a emportée dans sa chambre. ... Elle déchira la lettre aussitôt et en fit écrire une autre qui disait exactement le contraire. Jamais lettre ne fut porteuse d'un message aussi trompeur! |
NOTES: | [(Page & Vers) Pp. 115-116. |
SOURCE: | Remi (Philippe de), Manekine (La). trad. Christiane Marchello-Nizia, Stock: 1980. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 102594 accreditee |
CONTEXTE: | Une femme est poursuivie [par les brigands?]. |
COTEXTE ET CITATION: | Nous vîmes deux hommes de mauvaise mine qui tenaient chacun un poignard à la main, et qui la poursuivaient. |
NOTES: | [(Page& Partie) 95, II] |
SOURCE: | Pure (Abbé Michel de), Pretieuse (La) ou le mystere des ruelles. Paris: Droz, 1938.Édition d\'Émile Magne |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 305610 accreditee |
CONTEXTE: | Aiol, le fils d’Elie, part en France pour reconquérir son héritage, dont le roi Louis, sur les conseils du traître Makaire, a dépossédé son père, qu'il a exilé, malgré les services rendus contre les Sarrasins. C’est le commencement de ses aventures. |
COTEXTE ET CITATION: | Loeys li fieux Karle mal gueredon l’en fist : Il li toli sa tere et chou qu’il dut tenir, Et le cacha de France a paine et a essil Par le conseil Makaire,[…]. «-E dieus che dist Elie[s], molt par es ber! «Bien sai qu’encore arai mes iretés «Par mon enfant Aiol[s] c’ai engendré». «-Ch’arés mon, dist Aiols, vos les rarés, «De chou vos tous raseurés: «Se Dieux me maine en France a saveté «Que al roi Loeys puisse parler, «Ançois que vos voiés [tout] cest an passer, «Les vos voil toutes rendre et aquiter». Le fils de Charles, Louis, lui en donna une bien mauvaise récompense: il lui enleva sa terre et tous les biens qu’il aurait dû tenir, et le chassa de France en exil, sur le conseil de Makaire[…] - «Eh, Dieu», dit Elie, «tu [Aiol] es brave et noble! Je sais bien que je vais rentrer en possession de mon héritage, grâce à mon fils Aiol, que j’ai engendré». - «Vous aurez cela assurément. Vous le posséderai à nouveau», dit Aiol. «De cela, soyez tous rassurés: si Dieu me mène en France sain et sauf, et si je peux parler au roi Louis, je veux tout vous faire rendre et livrer avant la fin de l’année». (ma traduction) |
NOTES: | P. 2, vers 44-47 ; p. 10, vers 312-320. |
SOURCE: | Anonyme, Aiol. Paris: Didot, 1877.Edition Jacques Normand & Gaston Raynaud |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305648 accreditee |
CONTEXTE: | La femme du roi Guillaume, en exil avec lui, vient d'accoucher de jumeaux dans une grotte. Pendant que le roi allait lui chercher à manger, des marchands veulent s'emparer d'elle, l'accusant de mauvaise vie malgré ses protestations qu'elle est légalement mariée. Revenu sur les lieux, le roi, sans armes, est tenu en respect par les marchands et, impuissant, les voit enlever sa femme. |
COTEXTE ET CITATION: | Si ont la litiere amenee Seur coi la dame an iert portee, Si com aus plot et abeli, Maugré lou roi et maugré li. Ils ont amené la litière sur laquelle ils ont emporté la dame suivant ainsi ce qui leur plaisait, malgré le roi et malgré elle. |
NOTES: | P. 76, vers 709-712. |
SOURCE: | Chrétien (de Troyes), Guillaume d Angleterre. Genève: Droz, 1988.Édition de A.J. Holden |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305802 accreditee |
CONTEXTE: | Alors que Platonide dédaigne tous ses soupirants, ses parents lui choisissent un mari riche, mais laid. |
COTEXTE ET CITATION: | On parla enfin à bon escient de marier Platonide, & dans le nombre de ses adorateurs ses parents lui choisirent Sosipatre pour mari. Sosipatre le plus riche, mais le plus laid de tous, & dont la mauvaise mine faisoit deceder la malheureuse fille toutes les fois qu'il se presentoit devant elle. |
NOTES: | Page 100. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305826 accreditee |
CONTEXTE: | Gildarde attend un enfant de Clodulphe qui est marié. Les parents de l'épouse de son amant l'ont faite emprisonner. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle se trouva grosse de quelques mois par mal-heur ; de sorte que de ses efforts, de l'incommodité de la prison, & du deplaisir qui lui saisit le coeur, elle fit une mauvaise couche, dont elle mourut. |
NOTES: | Page 186. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |