OCCURRENCE: | 104374 accreditee |
CONTEXTE: | Parménie est sauvée de l'incendie de la maison de sa nourrice. |
COTEXTE ET CITATION: | "[...] mais j'avais été sauvée. Dans les dangers les plus grands il est toujours des gens qu'une générosité naturelle, ou la pitié fait voler au secours des malheureux." |
NOTES: | [(Page& Partie) 133, II] Le faible est un enfant; l'agresseur est le feu d'un incendie. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 100554 accreditee |
CONTEXTE: | L'histoire de Zuleme, racontée par Rica. |
COTEXTE ET CITATION: | Un homme nommé Ibrahim était d'une jalousie insupportable... il traitait [ses femmes] d'une manière très dure...[il les a] enfermées...[il était d'une] brutalité naturelle. |
NOTES: | [(Page & Lettre) 141-298Garnier] Le mari de Zuleme finit par la tuer. Garnier 1960. Lettre 141 p. 298 |
SOURCE: | Montesquieu, Lettres persanes (Les). Pierre Marteau: Cologne, 1721.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | , Weil M. |
OCCURRENCE: | 105046 accreditee |
CONTEXTE: | La reine, mère de Zélide, s'oppose au projet de mariage entre Zélide et Gomelle. |
COTEXTE ET CITATION: | Ces dernieres paroles de la Princesse irriterent si fort la Reine, qu'elle s'emporta contre elle d'une maniere fort contraire et à sa moderation naturelle et à la façon dont elle avoit vécu jusques alors avec Zelide. Elle lui fit des reproches, lui dit des injures. |
NOTES: | [(Page & Tome) 134] Slatkine tome 1, p. 441 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Alcidamie. Compagnie des Libraires: Paris, 1720-1. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 101972 accreditee |
CONTEXTE: | Le roi, qui commence à se lasser de Hattigé, surprend Roukia, femme du premier jardinier, dans une position "délicate". Il n'en tombe pas moins amoureux d'elle. Il la surprend en train de faire ses besoins. |
COTEXTE ET CITATION: | Je n'oserais presque vous dire le trait dont l'Amour se servit pour blesser le roi [...] Cette belle le charma par l'endroit de son corps dont elle prenait le moins de soin, et sur lequel elle n'avait assurément pas compté de faire une telle conquête : aussi n'avait-elle mis cette partie au jour que par une nécessité naturelle qui la pressait de près. |
NOTES: | [(Page) 52] |
SOURCE: | Anonyme, Hattigé, ou la belle Turque. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104370 accreditee |
CONTEXTE: | Clarice se déguise en paysanne. |
COTEXTE ET CITATION: | La mère entrait avec elle en tenant du linge un peu gros, mais blanc et d'une odeur agréable et naturelle. |
NOTES: | [(Page& Partie) 93, II] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C., Grodek E. |
OCCURRENCE: | 200100 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur raconte une anecdote autobiographique. À l'âge de dix-sept ans, il découvre la fausseté d'une jeune demoiselle qu'il croyait "naturelle". |
COTEXTE ET CITATION: | Un jour qu'à la campagne je venais de la quitter, un gant que j'avais oublié fit que je retournai sur mes pas pour l'aller chercher ; <citation> j'aperçus la belle de loin, qui se regardait dans un miroir, citation> et je remarquai, à mon grand étonnement, qu'elle s'y représentait à elle-même dans tous les sens où durant notre entretien j'avais vu son visage ; et il se trouvait que ses airs de physionomie que j'avais cru si naïfs n'étaient, à les bien nommer, que des tours de gibecière. |
NOTES: | P. 117. |
SOURCE: | Marivaux, Pierre Carlet de, Journaux, et Oeuvres diverses. Bordas: Paris, 1988.Glossaire et index par F. Deloffre et M. Gilot. |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |
OCCURRENCE: | 305388 accreditee |
CONTEXTE: | Lors de son voyage autour de l’île, l’auteur s’intéresse beaucoup à l’agilité des esclaves, en marchant notamment; il essaie comme d’ailleurs de marcher pieds-nus ; ceci le conduit à des observations sur la création du corps humain. |
COTEXTE ET CITATION: | Cette façon d’aller est non seulement la plus naturelle, mais la plus sûre ; le pied saisit comme une main les angles de rochers. Les noirs ont cette partie si exercée qu’ils s’en servent pour ramasser une épingle à terre. Ce n’est donc pas en vain que la nature divisa ces membres en doigts, et les doigts en articulations. [...] En mettant mon pied dans l’eau, j’éprouvai à mes blessures une douleur fort vive. Je renonçai à mon projet, fâché d’avoir perdu un des avantages de la constitution humaine, faute d’exercice. |
NOTES: | P. 227-228. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Voyage à l’Ile de France. Paris: 1818.Éd. Méquignon-Marvis |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305705 accreditee |
CONTEXTE: | Il s'agit du Conte premier, par Madame Mélibée |
COTEXTE ET CITATION: | En la ville de Tholose naguiere demeuroit ung riche et tresopulant homme nommé Pyralius, lequel avoit pour espouse une moult belle Damoiselle qu’on appelloit par nom madame Rosemonde Chiprine. A cestuy Pyralius certes villain de meurs et non assez apte pour servir une si jeune Dame telle qu’estoit la dame Rosemonde au faict et lucte du delicieux amour, la naturelle chaleur par longues maladies estoit faillye et jà estaincte par le merite de ses longs et vieulx ans, et oultre ce, se trouvoit si difforme et malheureux en beaulté qu’il ressembloit plustost quelque monstre que non pas homme humain […]. |
NOTES: | Pages 47-48. |
SOURCE: | Flore Jeanne, Contes amoureux. Saint-Étienne: Université de Saint-Étienne, 2005.Éd. R. Reynolds-Cornell |
CHERCHEUR/E: | Duché, Véronique |