OCCURRENCE: | 104298 accreditee |
CONTEXTE: | L'Amant de Julie lui fait des reproches car il est, lui aussi, en proie aux peines de l'absence. |
COTEXTE ET CITATION: | Cent fois en lisant les Romans, j'ai ri des froides plaintes des amants sur l'absence. Ah, je ne savais pas alors à quel point la vôtre un jour me serait insupportable ! |
NOTES: | tome I, page 116. Voir aussi les plaintes de Julie, p. 135. |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
CHERCHEUR/E: | Dhifaoui. |
OCCURRENCE: | 102790 accreditee |
CONTEXTE: | Cet épisode prélude au topos de la guérison puisque l'étrange biche explique le processus à suivre en ces termes. |
COTEXTE ET CITATION: | "Ne par herbe, ne par racine, Ne par mire, ne par poisun N'avras tu james garisun De la plaie k'as en la quisse, De si ke cele te guarisse Ki suffera pur tue amur Issi grant peine e tel dolur K'unkes femme taunt ne suffri, E tu referas taunt pur li" Ni herbe, ni racine, ni médecin, ni breuvage ne guériront jamais la plaie que tu as à la cuisse, jusqu'à ce que tu guérisse celle qui, par amour pour toi, endureras plus de peines et de douleurs que jamais femme ne souffrit. Et toi, tu souffriras autant pour elle. |
NOTES: | Guiguemar, GF 1994, p. 41, vv 110-118. |
SOURCE: | Voir les manuscrits dans les notes.: 1160.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305999 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur multiplie les adresses au lecteur. |
COTEXTE ET CITATION: | "Des apparences dont j'abandonnerai le jugement à mes lecteurs". "On jugera si la suite de cette aventure me rend plus excusable". "C'est au lecteur que j'en veux laisser le jugement". "C'est ici que j'abandonne absolument le jugement de mes peines au lecteur". "J'ai formé le dessein de recueillir par écrit tout ce que j'ai eu avec cette aimable étrangère, et de mettre le public en état de juger si j'avais mal placé mon estime et ma tendresse" |
NOTES: | Pages 55, 73, 236, 283, 292. |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire d'une grecque moderne. Garnier Flammarion/Alan J. Singerman: Paris, 1990. |
CHERCHEUR/E: | Vergnes S. |
OCCURRENCE: | 104428 accreditee |
CONTEXTE: | Hosbid fait enfermer sa fille Misrie dont l'amour pour Frédelingue a provoqué la mort de celui à qui il l'avait destinée. |
COTEXTE ET CITATION: | Ma juste colère, répondit Hosbid, saura vous partager les peines que vous méritez ; j'oublie qu'elle est ma fille, et je ne vois plus en elle qu'un monstre d'ingratitude qui me fait horreur. Qu'on l'enferme, continua-t-il en parlant de sa fille. |
NOTES: | [(Page& Partie) 201, III] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 104916 accreditee |
CONTEXTE: | Lentulus raconte sa campagne contre les Gètes. |
COTEXTE ET CITATION: | Cependant l'opiniâtreté presque invincible de cette nation m'a donné des peines que je n'avois pas prévûes et prolonge depuis deux années une guerre que j'avois esperé terminer en moins d'une campagne. |
NOTES: | [(Page & Tome) 415, II] Cie des Libraires p. 47 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Exilez de la cour d'Auguste. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305314 accreditee |
CONTEXTE: | La Manekine refuse de révéler quoi que ce soit sur elle aux pêcheurs qui viennent de la recueillir au moment où son embarcation accoste à l'embouchure d'un bras du Tibre, à Rome. Elle observera la même attitude à l'égard du sénateur qui lui donnera l'hospitalité pendant plusieurs années (p. 163). |
COTEXTE ET CITATION: | Il m'est si pénible de revenir sur tout ce que j'ai subi, que je ne pourrais le raconter. Et même si vous connaissiez mon malheur, vous ne pourriez y remédier ; aussi vaut-il mieux que je me taise plutôt que de raviver mes peines ! |
NOTES: | [(Page & Vers) p. 155. |
SOURCE: | Remi (Philippe de), Manekine (La). trad. Christiane Marchello-Nizia, Stock: 1980. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 105304 accreditee |
CONTEXTE: | Cet épisode prélude aux moyens par lesquels le chevalier va guérir. C'est l'étrange biche qui s'exprime ici. |
COTEXTE ET CITATION: | Ne par herbe, ne par racine ne par mire, ne par poisun N'avras tu ja mes guarisun de la plaie qu'as en la quisse, <CITATION> de si que cele te guarisse ki sufera pur tue amur si grant peine e si grant dolur CITATION> qu'unkes femme tant ne sufri ; e tu referas tant pur li. Nulle herbe, nulle racine, nul médecin, nulle potion ne guériront jamais la plaie de ta cuisse, tant qu'une femme ne viendra pas la guérir, une femme qui souffrira pour l'amour de toi plus de peines et de douleurs que nulle autre amoureuse. Et toi, tu souffriras tout autant pour elle. |
NOTES: | [(Vers & Page) Guigemar, pp. 32-33. vv. 110-117. |
SOURCE: | Le Livre de Poche/Harf-Lancner: Paris, 1990.Lais de Marie de France, Paris, le Livre de Poche, 1990. Traduits et présentés par Laurence Harf-Lancner, qui reprend l'édition de Karl |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305338 accreditee |
CONTEXTE: | Le baron d’Étange a chassé St. Preux et annoncé à Julie qu’il est exclu qu’il accepte leur mariage et qu’il l’a promise à M. de Wolmar. |
COTEXTE ET CITATION: | L’entretien de ce matin m’a prodigieusement agitée …. La tête et le cœur me font mal …. Je me sens défaillir …. le Ciel aurait-il pitié de mes peines ? …. Je ne puis me soutenir …. Je suis forcée à me mettre au lit, et me console dans l’espoir de n’en point relever. |
NOTES: | T. I, p. 393 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305709 accreditee |
CONTEXTE: | Cet épisode prélude au topos de la guérison puisque l'étrange biche explique le processus à suivre en ces termes. |
COTEXTE ET CITATION: | "Ne par herbe, ne par racine, Ne par mire, ne par poisun N'avras tu james garisun De la plaie k'as en la quisse, De si ke cele te guarisse Ki suffera pur tue amur Issi grant peine e tel dolur K'unkes femme taunt ne suffri, E tu referas taunt pur li". Ni herbe, ni racine, ni médecin, ni breuvage ne guériront jamais la plaie que tu as à la cuisse, jusqu'à ce que tu guérisse celle qui, par amour pour toi, endureras plus de peines et de douleurs que jamais femme ne souffrit. Et toi, tu souffriras autant pour elle. |
NOTES: | Guiguemar, GF 1994,p. 41, vv 110-118. |
SOURCE: | Marie de France, Guigemar. Paris: Lettres gothiques, 1990.Texte édité par Karl Warnke. Traduction par Laurence Harf-Lancner, Lettres gothiques, 1990 |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |