OCCURRENCE: | 102440 accreditee |
CONTEXTE: | La peur d'Yvain le rend muet. |
COTEXTE ET CITATION: | "Et ce qui augmenta sa peur, à tel point qu'il en resta interdit, c'est qu'il pensait être trahi". |
NOTES: | [(Vers & Page) 1956-8, 205] Lettres gothiques, Livre de poche trad. D.H Hult, no. 4539 1994, Paris Yvain ayant décidé d'obtenir l'amour de son ennemie, son émotion semble hors de propos. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Chevalier au lion. Livre de poche, Lettres gothiques: Paris, 1994.Edition et traduction de David Hult |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 100178 accreditee |
CONTEXTE: | Confession de Doguin, le valet de la Rappinière, qui demande à parler à Destin avant de mourir. |
COTEXTE ET CITATION: | Il [Destin] se leva pourtant plus matin qu'il ne pensait, parce que la servante de Rappinière le vint quérir à la hâte pour venir voir Doguin qui se mourait et qui demandait à le voir devant que de mourir. |
NOTES: | [(Partie & Page) I, IV, 81]; P 19 Classiques Garnier |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 100924 chantier |
CONTEXTE: | Croyant s'adresser au duc de Guise, Mlle de Vitry révèle par erreur à M. de Villequier que sa femme a deux amants, dont le roi. Comme Mlle de Vitry pensait s'adresser au duc de Guise, naturellement, elle ne révèle pas l'identité du deuxième amant. M. de Villequier sait seulement qu'il a un rival en plus d'Henri III. |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100876 chantier |
CONTEXTE: | Croyant s'adresser au duc de Guise, Mlle de Vitry révèle par erreur à M. de Villequier que sa femme a deux amants, dont le roi. Comme Mlle de Vitry pensait s'adresser au duc de Guise, elle ne révèle naturellement pas l'identité du 2ème amant. M. de Villequier sait seulement qu'il a un rival en plus d'Henri II. Le roi révèle au duc de Guise son amour pour Mme de Villequier de telle façon que celui-ci croit qu'elle y répond. Le duc de Guise est bouleversé. |
NOTES: | [(Page) 3.138-3.139] |
SOURCE: | Anonyme, Comte d. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100892 chantier |
CONTEXTE: | La sultane Dugme avoue au roi d'Astracan, Elfaleh, que Schems-Eddin est leur fils. Il a été éloigné dès sa naissance pour parer à la prédiction néfaste de l'astrologue Adbel-Meleck. La sultane a reconnu son fils grâce à un grain de beauté qu'il avait sur la poitrine. Le roi le reconnaît pour son fils. |
NOTES: | Le roi pardonne à son fils la blessure qu'il lui avait faite lors de son irruption dans le harem, où il pensait que Schems-Eddin s'était introduit pour séduire des femmes (En cela, il n'avait pas tort). |
SOURCE: | Anonyme, Désespoir amoureux (Le). Josué Steenhouwer, et al.: Amsterdam, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F. |
OCCURRENCE: | 102604 accreditee |
CONTEXTE: | Guirlane qui aimait Merville qui aime Misrie délivre cette dernière de l'esclavage dans lequel elle la retenait. |
COTEXTE ET CITATION: | Ah ! Guirlane, dit alors Misrie qui n'avait point encore parlé, quoi ! vous brisez des fers dans lesquels vous m'avez dit aujourd'hui que je devais expirer ! |
NOTES: | [(Page& Partie) 238, IV] Misrie était prisonnière de Guirlane, alors que le lecteur la pensait prisonnière d'un tyran Turc. On apprend que cette torture était feinte. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | TT101866 CHANTIER |
CONTEXTE: | Don Louis traita Inès "en fille desobeissante: il lui donna sa chambre pour prison et elle ne voyait personne à qui elle put confier ses douleurs; mais c'etait fortifier sa passion que de lui oter tout secours; elle y pensait sans cesse et jamais elle n'avait tant aime Lerme que depuis qu'elle n'entendait plus parler de lui". |
NOTES: | [(Page) 377] Voir l'édition Slatkine p. 120. |
SOURCE: | Bernard Catherine, Inès de Cordoue. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | 100366 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur, le fils du comte de Comminge, qui avait dit aux femmes plus qu'il ne pensait, reste muet lorsqu'il éprouve un vrai coup de foudre (pour Adélaïde). |
COTEXTE ET CITATION: | Le fils du comte de Comminge: "j'avois dit jusque-là à toutes les femmes même plus que je ne sentois, <CITATION>je ne sus plus que me taire aussitôt que je fus véritablement touchéCITATION>" (134 Garnier Frères, 1864). |
NOTES: | [(Page) 25] Garnier Frères, Paris, 1864. |
SOURCE: | Tencin (Mme de ), Mémoires du Comte de Comminge. 1735.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 105320 accreditee |
CONTEXTE: | Accompagné par le nain, Marc surprend Yseut et Tristan endormis dans les bras l'un de l'autre. |
COTEXTE ET CITATION: | Entre ses bras Yseut la reïne. Bien cuidoient estre a seor. Sorvient i par estrange eor Li rois, que li nains i amene. Prendre les cuidoit a l'ovraine, Mes, merci Deu, demorerent Quant aus endormis les troverent. Entre ses bras Yseut la reine. Ils se croyaient en parfaite sûreté. Par un étrange malheur, arrive le roi conduit par son nain. Il pensait les prendre en flagrant délit, mais Dieu merci, le roi et le nain avaient trop tardés et trouvèrent les amants endormis. |
NOTES: | [(Page & Vers ) Pp. 338-337, vv. 1-7. |
SOURCE: | Thomas, Roman de Tristan. Lettres Gothiques/Librairie Générale Fr.: 1989.ms Douce, Bibl. Bodléienne d\'Oxford |
CHERCHEUR/E: | , Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305975 accreditee |
CONTEXTE: | Suivant l'ordre que lui ont donné les dieux, Énéas a quitté Didon afin de fonder son lignage en Lombardie. |
COTEXTE ET CITATION: | En la chambre tout seulement n’est qui li destorbe noient la deverie que voult faire ; l’espee au Troÿen veult traire : quant li donna, ne cuida mie par li deüst perdre la vie. Elle tient l’espee toute nue, souz la mamelle s’est ferue. Seule dans la pièce, il n’est personne pour la dissuader de l’acte dément qu’elle veut accomplir ; elle veut se saisir de l’épée du Troyen : en la lui donnant, il ne pensait pas que cette arme lui ferait perdre la vie. Elle brandit l’épée nue et se frappe sous le sein. |
NOTES: | P. 166, v. 2110-2117. |
SOURCE: | Anonyme, Roman d Énéas. Paris: Lettres Gothiques, 1997. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104624 accreditee |
CONTEXTE: | Accompagné par le nain, Marc surprend Yseut et Tristan endormis dans les bras l'un de l'autre. |
COTEXTE ET CITATION: | Entre ses bras Yseut la reine. Bien cuidoient estre a seor. Sorvient i par estrange eor <CITATION>Li rois, que li nains i amene. Prendre les cuidoit a l'ovraineCITATION>, Mes, merci Deu, demorerent Quant aus endormis les troverent. Entre ses bras Yseut la reine. Ils se croyaient en parfaite sûreté. Par un étrange malheur, arrive le roi conduit par son nain. Il pensait les prendre en flagrant délit, mais Dieu merci, le roi et le nain avaient trop tardé et trouvèrent les amants endormis. |
NOTES: | [(Page & Vers ) Pp. 338-339, vv. 1-7. |
SOURCE: | Thomas, Roman de Tristan. Lettres Gothiques/Librairie Générale Fr.: 1989.ms Douce, Bibl. Bodléienne d\'Oxford |
CHERCHEUR/E: | , Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200227 accreditee |
CONTEXTE: | Aucassin oublie ses rênes en pensant à Nicolette, tombe de cheval et se démet l'épaule. |
COTEXTE ET CITATION: | Pensa tant a Nicolete sa douce amie qu'il oublia ses resnes et quanques il dut faire. Et li cevax qui ot senti les esperons l'en porta par mi le presse, se se lance tres entre mi ses anemis. Il pensait tellement à Nicolette, sa douce amie, qu'il en oubliait ses rênes et tout ce qu'il devait faire. Son cheval qui avait senti la piqûre des éperons, l'emporta au coeur de la mêlée au beau milieu de ses ennemis. |
NOTES: | P. 68. |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |
OCCURRENCE: | 200231 accreditee |
CONTEXTE: | Aucassin, en quête de Nicolette, la cherche dans la forêt où elle s'est réfugiée et arrive à la hutte de feuilles qu'elle a construite. |
COTEXTE ET CITATION: | Il mist le pié fors de l'estrier por descendre, et li cevaus fu grans et haus ; il pensa tant a Nicolete se tresdouce amie qu'il caï si durement sor une piere que l'espaulle li vola hors du liu. Il sortit le pied de l'étrier pour descendre, mais son cheval était grand et haut, et Aucassin pensait tant à Nicolette sa très douce amie, qu'il tomba lourdement sur une pierre au point de se démettre l'épaule. |
NOTES: | P. 118-119. |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305736 accreditee |
CONTEXTE: | L'infâme Macrobe manifeste ouvertement son attachement à Silvane qu'il fait vivre en concubinage dans la maision qu'il partage aevc sa femme légitime Gondène. |
COTEXTE ET CITATION: | Je laisse à dire, pour n'infecter l'esprit d'un lecteur d'imaginations moins honnêtes, les caresses impudiques qu'il faisait à Silvane en la présence de Gondène pour faire mourir celle-ci de dépit ; et quand elle pensait détourner ses yeux de ces spectacles qui lui crevaient le coeur, il la contraignait de les ouvrir afin que sa vue fût souillée de ses vilenies. |
NOTES: | Page 133. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305753 accreditee |
CONTEXTE: | À cause de la canicule, Ermelline et ses amies décident d'aller se baigner dans la Loire. |
COTEXTE ET CITATION: | Lambert, jeune citadin de la même ville, depuis un long temps serviteur passionné d'Ermelline, ayant su cette partie, se résolut de se déguiser en fille et de se couler sur le rivage derrière des arbres et des haies, pour repaître ses yeux curieux de ce spectacle qu'il pensait devoir être ridicule. |
NOTES: | Page 250. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |