OCCURRENCE: | 104296 accreditee |
CONTEXTE: | Julie se plaint de l'absence de Claire. |
COTEXTE ET CITATION: | Que ton absence me rend amère la vie que tu m'as rendue! Quelle convalescence! Une passion plus terrible que la fièvre et le transport m'entraîne à ma perte. Cruelle! tu me quittes quand j'ai plus besoin de toi. |
NOTES: | Tome I, page 142 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
CHERCHEUR/E: | Dhifaoui. |
OCCURRENCE: | TT101600 CHANTIER |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | La duchesse de Brabant se plaint à sa nouvelle suivante Cliberge de l'injustice de son mari et de sa mère. |
NOTES: | [(Page) 30-1] C'est la première fois qu'elle se plaint. Manque le co-texte. |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103382 chantier |
CONTEXTE: | Une jeune femme, mariée contre son consentement à un seigneur nommé du Fayel, manifeste une froideur constante envers son mari. Celui-ci, qui s'en plaint à elle, se heurte à un mur. |
NOTES: | [(Page) III, 3] |
SOURCE: | Anonyme, Esprits (Les), ou le mari fourbe, nouvelle galante. Pierre Witte: Paris, 1715.Le texte est accessible par Google Plus sous le titre Histoires tragiques et galantes. |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104280 accreditee |
CONTEXTE: | Julie se plaint de la différence entre les relations frivoles que son Amant lui envoie et celles bien meilleures qu'il adresse à M. d'Orbe. |
COTEXTE ET CITATION: | Il est clair que vous nous dédaignez beaucoup, ma cousine et moi, ou que vous faites bien peu de cas de notre estime, en ne nous envoyant que des relations si propres à l'altérer, tandis que vous en faites pour votre ami de bien meilleures. |
NOTES: | Tome I, page 369 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
CHERCHEUR/E: | Dhifaoui. |
OCCURRENCE: | 104278 accreditee |
CONTEXTE: | Julie se plaint de ce que son Amant le lui dit rien des Parisiennes. |
COTEXTE ET CITATION: | Toi qui me parlais des Valaisanes avec tant de plaisir, pourquoi ne me dis-tu rien des Parisiennes ? Ces femmes galantes et célèbres valent-elles moins la peine d'être dépeintes que quelques montagnardes simples et grossières ? |
NOTES: | Tome I, page 320 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
CHERCHEUR/E: | Dhifaoui. |
OCCURRENCE: | 305578 accreditee |
CONTEXTE: | Reproche de la manipulation par la simulation de la maladie. |
COTEXTE ET CITATION: | Je suis sur ce même sofa où vous faisiez si bien le malade pour être plaint, caressé, pour obtenir le pardon de toutes vos petites folies. Ah! quel jour; vous en souvient-il, mon cher Alfred? |
NOTES: | Tome IV, p.112. |
SOURCE: | Riccoboni, Madame de, Lettres de Fanni Butlerd. Paris: Foucault, 1818.dans Oeuvers complètes de Mme Riccoboni |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |