OCCURRENCE: | 105344 accreditee |
CONTEXTE: | Pour protéger son enfant d'un père prêt à tuer une fille, une mère élève sa fille en garçon. Iphis reste ignorante de son sexe. La veille de son mariage, les dieux changent la fille en garçon. |
COTEXTE ET CITATION: | Ie voudrois que vous fussiez heureusement délivrée de ce poids que vous portez depuis prés de neuf mois. Mais ie tremble de peur que ce ne soit vne fille, et que ie sois obligé de faire le bourreau, plutost que le pere, et de donner la mort à ce que i'ay donné la vie. [... Il faisait] assez paroistre par son ton de voix, et par son départ subit, qu'il ne vouloit point de replique, et qu'il avoit donné vn ordre qu'il sauroit bien faire executer.Telethuse ne laisse pas de desobeïr, et déguise à son mary le sexe de son enfant, et le fait passer pour masle, et l'éleue sous le nom d'Iphis qui estoit aussi bien vn nom d'homme que de fille, car il auoit esté celuy de son grand pere. |
NOTES: | [(Tome&Livre&Page) II, partie III, I, 45-7] "L'histoire d'Iphis" est une nouvelle encadrée. |
SOURCE: | Choisy (Abbé François de), Histoire de la marquise-marquis de Banneville. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Maher D. |
OCCURRENCE: | 104270 accreditee |
CONTEXTE: | Ennuyé de la vie, l'Amant de Julie cherche à justifier le suicide. |
COTEXTE ET CITATION: | Oui, Milord, il est vrai ; mon âme est oppressée du poids de la vie. Depuis longtemps elle m'est à charge : j'ai perdu tout ce qui pouvait me la rendre chère, il ne m'en reste que les ennuis. Mais on dit qu'il ne m'est pas permis d'en disposer dans l'ordre de celui qui me l'a donnée. |
NOTES: | Tome I, p. 447. Milord Edouard réfutera dans la lettre suivante, les arguments pour le suicide présentés dans cette lettre XXI. |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
CHERCHEUR/E: | Dhifaoui. |
OCCURRENCE: | 104596 accreditee |
CONTEXTE: | Dans "L'obeyssance filiale", un jeune homme doit partir du couvent à cause de sa santé fragile. Son frère adoptif prendra volontiers sa place. |
COTEXTE ET CITATION: | Anatole fut reçu entre les Augustins Reformés pour faire son an d'épreuve sous l'habit de novice. Son courage plus grand que ses forces, lui faisait trouver de la vigueur dans ses faiblesses. Mais en fin la nature trop débile succomba sous le poids de l'autorité, et après avoir été quelques mois dans l'infirmerie, il fut au regret des religieux [...] et contre son gré renvoyé chez lui et congédié du cloître . |
NOTES: | [(Page & Chapitre & To) 326-327, 8, II] |
SOURCE: | Camus (Jean-Pierre), Evénements singuliers (Les). J. Caffin et Fr. Pleignard: Lyon, 1628. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 104294 chantier |
CONTEXTE: | L'espérance de Julie se flétrit tous les jours; elle est accablée du poids de l'absence. |
NOTES: | [(Page) I-25, 775] |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
CHERCHEUR/E: | Dhifaoui. |
OCCURRENCE: | TT103386 CHANTIER |
CONTEXTE: | "Il la gonfle de boisson, puis il lui coud le con et le cul, il la laisse ainsi jusqu'à ce qu'il la voie évanouie de besoin d'uriner ou de chier sans en pouvoir venir à bout, ou que la chute et le poids des besoins viennent à rompre les fils". |
NOTES: | [(Page & Tome & Partie) 238, 2, 3] 16 janvier, Passion 76. L'inversion des objets (par rapport à l'occurrence de la première partie) et de leurs attributs-- l'ardeur et la décharge pour le libertin cousu, l'humidité et la rétention pour sa victime. |
SOURCE: | Sade (Marquis de), Cent vingt journées de Sodome (Les)ou l. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Martin C. |
OCCURRENCE: | 305364 accreditee |
CONTEXTE: | Julie décide de prouver son amour à St. Preux en lui accordant un baiser au cours d’une promenade dans le bosquet de Clarens, en présence de Claire toutefois. |
COTEXTE ET CITATION: | Parmi les bosquets naturels que forme ce lieu charmant, il en est un plus charmant que les autres, dans lequel je me plais davantage, et où, pour cette raison, je destine une petite surprise à mon ami. […] Toutes les parties de moi-même se rassemblèrent sous ce toucher délicieux. Le feu s’exhalait avec nos soupirs de nos lèvres brûlantes, et mon cœur se mourait sous le poids de la volupté. |
NOTES: | T. I, p. 107-109 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |