OCCURRENCE: | 306013 accreditee |
CONTEXTE: | Une tempête empêche les Grecs de partir : il faudra sacrifier Polyxène, la fille de Priam dont Achille était tombé amoureux. |
COTEXTE ET CITATION: | Aprés parlerent de l’aller, Mes si orrible fu la mer, Si ydose, si reversant, Qu’en nule fin ne fet senblant Que il ja mes dedenz entrassent Que maintenant tuit ne neiassent. Chascun jor iert si forz li venz E par la mer tiels li tormenz, Nus n’i entrast qui ne fust mort Ne qui ja mes venist a port. Les Grecs parlèrent ensuite de partir, mais la mer était si mauvaise, si déchaînée, si agitée qu’ils ne voyaient pas comment ils pourraient s’embarquer sans être aussitôt noyés. Chaque jour, le vent soufflait si fort, la tempête était si violente que personne n’aurait pu naviguer sans trouver la mort : impossible d’arriver à bon port. |
NOTES: | P. 622, v. 26375-84. |
SOURCE: | BENOÎT DE SAINTE-MAURE, Le Roman de Troie. Paris: Lettres Gothiques, 1998. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305865 accreditee |
CONTEXTE: | La vieille Valdrée a jeté son dévolu sur Mastic, un jeune domestique et souhaite l’épouser. |
COTEXTE ET CITATION: | Tourmentée néanmoins de ce charbon qu’elle cachait sous la cendre d’une feinte modestie, et croyant que ses écus lui pourraient acquérir ce que les ans et la beauté lui déniaient, elle jeta ses yeux de convoitise sur un jeune domestique appelé Mastic, secrétaire de la maison, et qui était de fort bonne mine. |
NOTES: | Page 175. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305734 accreditee |
CONTEXTE: | Les villageois s'entendent pour punir les soldats qui, avec leur capitaine, ont violé la fille de leur hôte. |
COTEXTE ET CITATION: | Aussitôt qu'il fut jour, les paysans s'assemblèrent et tinrent conseil de quelle façon ils expédieraient leurs prisonniers : il fut conclu que de vingt-cinq ou trente qu'ils tenaient, il n'y en aurait aucun qui pût avoir la vie, mais que tous périraient avec des trourments les plus cruels qu'ils pourraient inventer. |
NOTES: | Page 129. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |