OCCURRENCE: | 102540 accreditee |
CONTEXTE: | Cyparisse s'adresse à Licoris. |
COTEXTE ET CITATION: | [Nicostrate] m'aborda avec autant d'assurance que s'il ne m'avoit fait aucun outrage et sans être touché de mes pleurs ni de l'état pitoïable ou m'avoit réduite la fatigue du chemin ; Enfin, belle fugitive, me dit-il, nous vous tenons à Stimphale, et il n'y a plus ni poursuite... quelquefois il me parloit avec une brutalité qui me faisoit frémir de crainte, quelques autres fois il me disoit, qu'il me feroit Reine d'Arcadie... |
NOTES: | [(Page & Tome) 402, 1] Cie des Libraires p. 554-555. |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 101290 accreditee |
CONTEXTE: | Les comédiennes Angélique et l'Etoile sont poursuivies par de nombreux admirateurs. |
COTEXTE ET CITATION: | La Chambre des comédiennes était déjà pleine des plus échauffés godelureaux de la ville. Les mains d`Angélique étaient quelquefois serrées ou baisées, car les provinciaux sont fort endemenés ou patineurs. |
NOTES: | [(Partie & Page) 8] |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 102630 accreditee |
CONTEXTE: | Ici le rival, c'est Sylvie déguisée. |
COTEXTE ET CITATION: | La Marquise qui l'entendit [le mari] la premiere comme il traversoit la salle, fit un grand cri, et passant au plus viste dans le jardin... me laissa seule exposée à toute la rage de son mari... Je me crus à la fin de mes jours ; cet homme d'autant plus furieux que sa femme lui étoit échappée, vint à moi l'épée haute, et me dit Ah traître! il faut mourir Tout ce que je pûs faire, fut de parer de mon mieux, autant de temps qu'il lui en falloit, pour changer le dessein de me tuer sur la place, en celui de me faire souffrir une mort plus longue et plus cruelle. Il me desarma, et appelant ensuite ses valets, pour me traiter plus indignement, il leur commanda de me dépoüiller. L'ordre étoit bizarre, chacun en peut penser ce qu'il voudra. Un mari qui ne tue point d'abord, se vange quelquefois d'une étrange sorte. |
NOTES: | [(Page) Pp.108-109. |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. Paris: 1671-72. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 101298 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur ridiculise les provinciaux et leur empressement auprès des comédiennes - en l'occurrence ici Angélique- qui les repoussent. |
COTEXTE ET CITATION: | Les mains d`Angélique étaient quelquefois serrées et baisées, car les provinciaux sont fort endémenés et patineurs; mais un coup de pied dans l`os des jambes, un soufflet ou un coup de vent (...) la délivraient bientot de ces galants à outrance. |
NOTES: | [(Partie & Page) 1, chap 8, 84] p 24 dans Classiques Garnier. Note : patineur = sont des gens qui avaient la facheuse habitude en parlant aux femmes de leur prendre les mains et de les caresser. Gilles Ménage, poète, grammairien et philologue, comptait au nombre de ces importuns. |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Baider F. |
OCCURRENCE: | 100382 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | A mesure qu'elle s'avançait vers moi, je sentais mon trouble augmenter et ma timidité renaître. |
NOTES: | [(Page) 101 Folio] Voir aussi: amour rend femme timide muet, Les Egarements (En parlant de Mme de Lursay) "Les conquêtes les plus méprisables sont quelquefois celles qui coûtent le plus de soin; et l'hypocrisie montre souvent plus de scrupules que la vertu même". Cette sentence du narrateur vient juste après l'aveu d'amour que vient de faire Mme de Lursay: "le premier de cette nature que j'aie fait de ma vie". Folio p. 111 (Weil M.) |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | SB202700 ACCREDITEE |
CONTEXTE: | [Nicostrate] m'aborda avec autant d'assurance que s'il ne m'avoit fait aucun outrage et sans être touché de mes pleurs ni de l'état pitoïable où m'avoit réduite la fatigue du chemin;<citation> Enfin, belle fugitive, me dit-il, nous vous tenons à Stimphale, et il n'y a plus ni fleuve ni fontaine, qui puisse vous dérober à nôtre poursuitecitation>..... quelquefois il me parloit ave une brutalité qui me faisoit frémir de crainte, quelques autres fois il me disoit, qu'il me feroit Reine d'Arcadie... |
COTEXTE ET CITATION: | Cyparisse est captive de Nicostrate |
NOTES: | Slatkine Reprints, 1971. Carmente 1,402/554-555 |
SOURCE: | Retif de la Bretonne, Le paysan parvenu. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 202683 accreditee |
CONTEXTE: | Englesac donne des conseils à Sylvie au sujet de la Marquise qui est amoureuse d'elle, c'est-à-dire du Prince de Salmes. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle passe pour vertueuse, et ces vertueuses, quand elles ont risqué et mal placé leur secret, n'épargnent quelquefois rien pour le mettre hors de danger. |
NOTES: | P. 104 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. Paris: 1671-72. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305082 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | J'ai tâché de renfermer un sens moral dans les choses qui paraissent les plus dereglées....Il est quelquefois dangereux de ne faire qu'une faible ébauche du vice. |
NOTES: | [(Page ) 7-8/np. Avant-, 3] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Annales galantes (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21.OEuvres complètes. 12 tomes. Paris: Compagnie des |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305863 accreditee |
CONTEXTE: | Malgré son âge avancé, Ligorio obtient la main de Nymphodore car il est très riche. |
COTEXTE ET CITATION: | A Lecque, ville de la terre d'Otranto, proche de la Calabre, Ligorio, gentil-homme fort avancé en l'aage, fit ceste folie qui saisit quelquefois les vieillards, qui fut de se remarier. Estant pris par les yeux & épris dans le coeur des graces que la nature avoit liberalement semées sur le front & les jouës de Nymphodore, jeune damoiselle de la mesme ville. |
NOTES: | Page 199. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |