OCCURRENCE: | 305996 chantier |
CONTEXTE: | Amarante et Daphnis échangent des lettres qui expriment d'une part la déception amoureuse de Daphnis, de l'autre l'inquiétude d'Amarante pour la santé de son ami. Daphnis à Amarante: il lui exprime sa tristesse de la savoir auprès d'un rival qu'il déteste. Le courage de vivre lui manque. Amarante à Daphnis: elle le supplie de prendre soin de sa santé, qu'elle estime nécessaire à sa consolation, sinon à son bonheur amoureux. |
NOTES: | Page 53. |
SOURCE: | Anonyme, Amarante, ou le triomphe de l'amitié, par Madame***. Claude Jombert: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F. |
OCCURRENCE: | TT104544 CHANTIER |
CONTEXTE: | [Après avoir noté que Alfrede fait empoisonner sa rivale et tuer les enfants que celle-ci avait eus du roi] 'tout cela dis-je, sont des incidens plus propres à composer des Annales Tragiques, qu'à servir de matiere aux Annales Galantes. Je supplie le Lecteur de permettre que je ne m'éloigne pas de mon sujet» |
NOTES: | [(Page & Tome) 107-8, 1] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Annales galantes (Les). 1670. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104620 accreditee |
CONTEXTE: | Branguain, la servante qui est vierge, se laisse convaincre de prendre la place d'Yseut pour la nuit de noces avec Marc. |
COTEXTE ET CITATION: | Yseut était une femme des plus [avisées ; à l'approche du soir], elle fait son entrée dans la chambre ; messire Tristan la tient [par la main]. Ils appellent Branguain pour parler en tête-à-tête. Pleurant à chaudes larmes, [Yseut la supplie] de lui porter [secours] pendant la nuit en prenant sa place [comme reine] auprès du roi, parce qu'elle sait que Branguain est [jeune fille], mais d'elle-même elle sait qu'elle n'est pas [vierge]. Ils réussissent à [la] convaincre, en usant de paroles séduisantes, de prières et de [serments], si bien qu'elle [accède à]leurs prières. |
NOTES: | P. 336-337, v. 122-130. La citation renvoie à la traduction car le texte original est très lacunaire. |
SOURCE: | Thomas, Roman de Tristan. Paris: Le livre de poche, 1989.no. 4521 |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 102102 accreditee |
CONTEXTE: | Le génie Jonquille a profité de l'assoupissement de Néadarne pour "prendre les plus grands libertés" Elle supplie le génie d'interrompre mais il poursuit. |
COTEXTE ET CITATION: | Il n'a tenu qu'au lecteur de remarquer qu'à mesure que Jonquille parloit, il s'avançoit sur le siege de Neadarné, si bien et avec si peu de ménagement, qu'il en étoit enfin venu au point de le partager avec elle, et qu'il avoit profité de sa distraction pour prendre les plus grandes libertés. Elle sortit enfin de son assoupissement, à la derniere ; mais le génie avoit si bien pris ses mesures, que quels que fussent les efforts de Neadarné, ils ne lui servirent à rien. |
NOTES: | [(Page) chap 4 p. 258 ; ARTFL 281-282. |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Ecumoire (L') ou Tanzaï et Néadarné, Histoire japonaise. Lou-chou-chu-la: Pékin (Paris), 1734.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Defrance A. |
OCCURRENCE: | SB202689 ACCREDITEE |
CONTEXTE: | Cependant <citation>je la supplie tres-humblement de croire, que je ne lui ay rien dit ici que de veritablecitation>; que je serai toûjours prête à lui avoüer mes plus secretes folies, et que de quelque façon que mes Ennemis les ayent voulu interpreter, l'apparence qui trompe souvent, a fait tout le crime de ma conduite. |
COTEXTE ET CITATION: | Sylvie termine la deuxième partie de son histoire, et s'adresse à sa destinataire. |
NOTES: | 117 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mmoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305455 accreditee |
CONTEXTE: | Le gardien du Gué Périlleux, vaincu par le Bel Inconnu, est épargné par ce dernier à condition qu’il aille se constituer prisonnier à la cour d’Arthur. L’épisode se répètera à plusieurs reprises au long du roman (p. 37, 45, 55, 155, 160). Test du respect de la parole donnée, il sert aussi à rendre compte devant les pairs de la prouesse du héros. |
COTEXTE ET CITATION: | Trop fu navrés ; molt li escrie Que por Diu laist que ne l’ocie Et il fera tot son talent, Ja ne passera son comant. “Se tu vels, prison m’averos, Et de par moi pris averois. Ens en la cort Artus le roi, A lui irés de par moi”. Sa blessure est trop profonde, il le supplie, au nom de Dieu, de ne pas le tuer : il fera tout ce qu’il voudra, il n’enfreindra jamais ses ordres. “Si tu le voulais bien, je serai ton prisonnier et tu en serais un homme d’autant plus considéré. -- Bien, répondit le jeune homme, vous allez vous rendre à la cour du roi Arthur de ma part.” |
NOTES: | P. 15, v. 475-482 ; trad. p. 29. |
SOURCE: | Renaud de Beaujeu, Le Bel Inconnu. Champion: Paris, 1983.Edition G. Perrie Williams ; traduction par Michelle Perret et Isabelle Weill, Paris, Champion, 1991. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |