OCCURRENCE: | 103028 accreditee |
CONTEXTE: | Claudia est tellement jalouse de Sophie qu'elle en devient malade. |
COTEXTE ET CITATION: | J'en fus affligée jusqu'à en estre malade et malade jusqu'à en garder le lict. |
NOTES: | [(Partie & Page) 2, 737] Chapitre 14. |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Riou D. |
OCCURRENCE: | 102838 chantier |
CONTEXTE: | Gil Blas se met à l'étude de la logique et en devient tellement obsédé qu'il arrête les passants dans les rues d'Oviedo pour leur proposer des arguments. |
NOTES: | [(Page) I, I, 23-24] Il s'attire par là une réputation imméritée de savant dans Oviedo. En fait, il devient non seulement pédant, mais aussi ridicule. |
SOURCE: | Le Sage (Alain René), Gil Blas de Santillane. Paris: Garnier, 1962.Edition Maurice Bardon |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103844 chantier |
CONTEXTE: | Ici le narrateur est tellement ému qu'il n'arrive pas à narrer son histoire. |
NOTES: | [( Page & Partie) 17] Nouvelles éditions, 1994, Booking international, Paris |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut. Garnier/Deloffre-Picard: Paris, 1990. |
OCCURRENCE: | 305791 accreditee |
CONTEXTE: | Le vieux Colmat qui a marié sa jeune maîtresse au fils d'un de ses fermiers, est jaloux de l'affection qu'elle témoigne à son mari. |
COTEXTE ET CITATION: | Soit qu'il s'aperceust que ceste femme dont il estoit fol tournoit toutes ses affections du côté de celui qu'il lui avoit donné pour mary & qu'elle supportast sa presence aevc peine, il en devint tellement jaloux qu'il l'enferma dans une chambre en sa maison des champs, & ayant faict escarter ce mary, il empeschoit tant qu'il pouvoit qu'elle ne le vist. |
NOTES: | Page 45. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 103018 chantier |
CONTEXTE: | Silvie demande à Des Frans de ne pas l'obliger à révéler son secret. |
COTEXTE ET CITATION: | Vous ne savez ni qui je suis ni qui je puis être. Peut-être que je suis tellement au-dessus de vous, que je vous tromperais si je souffrais vos assiduités plus longtemps: peut-être suis-je aussi tellement au-dessous de vous et de ce que vous devez prétendre, que vous auriez honte d'un attachement aussi bas que le mien [...]. Je fis longtemps tous mes efforts pour la faire expliquer davantage, mais je ne puis en venir à bout. |
NOTES: | [(Page & Partie) Histoire 6] |
SOURCE: | Challe Robert, Illustres Françaises (Les). Genève: Droz, 1991.Edition Frédéric Deloffre et Jacques Cormier |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104728 chantier |
CONTEXTE: | Se méprenant sur le sens de la lettre de "Célie", Rosimond défie Edouard; ils se battent en duel. Après un combat acharné, le second blesse grièvement le premier, qui se remet quand même de ses blessures. Edouard admire tellement le courage de son adversaire qu'il lui offre ses services et devient son ami. |
NOTES: | [(Page) 302-04] |
SOURCE: | Anonyme, Désespoir amoureux (Le). Josué Steenhouwer, et al.: Amsterdam, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 101540 chantier |
CONTEXTE: | Angélique se réjouit que son amant Édouard soit d'un rang égal au sien. |
NOTES: | [(Page) 309] À noter que le point de départ de toute cette histoire est une remarque qu'a faite Angélique à Arminde sur la bassesse de son état avant son mariage à Poliande. On se demande alors pourquoi le peuple l'idolâtre tellement ... |
SOURCE: | Anonyme, Désespoir amoureux (Le). Josué Steenhouwer, et al.: Amsterdam, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103560 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Il s'étendait à plat ventre sur un lit,je m'asseyais entre ses jambes, et là, armée d'une aiguille et d'une demie-aune de gros fil ciré, je lui cousais exactement l'anus tout autour; et la peau de cette partie était chez cet homme tellement dure et tellement fait au coup d'aiguille, que mon opération n'en faisait pas sortir une goutte de sang. Il se branlait lui-même pendant ce temps-là, et déchargeait comme un diable au dernier coup d'aiguille. |
NOTES: | [(Page & Tome & Partie) 116-7, 2, 24e journée] |
SOURCE: | Sade (Marquis de), Cent vingt journées de Sodome (Les)ou l. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Martin C. |
OCCURRENCE: | 102386 chantier |
CONTEXTE: | Don Félix apprend dans une lettre donnée à sa mère sur son lit de mort qu'il a en fait épousé sa soeur. Cette révélation le bouleverse tellement qu'il en meurt de tristesse, laissant Diane, à la fois sa fille, sa soeur et sa veuve. |
NOTES: | [(Page) 237] |
SOURCE: | Anonyme, Désespoir amoureux (Le). Josué Steenhouwer, et al.: Amsterdam, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 103122 accreditee |
CONTEXTE: | À deux reprises un bélier change Ragotin et le blesse d'abord au visage et aux yeux puis aux genoux. Cette scène clôt la deuxième partie du Roman comique inachevé. |
COTEXTE ET CITATION: | L'action du Belier surprit tellement aux qui la virent qu'ils en demeurent comme en extase, sans toutefois oublier d'en rire. À la seconde attaque du bélier, Ragotin enragea beaucoup et encore plus d'ouïr toute l'assistance qu'il querella en général, et sortit de chambre en furie. |
NOTES: | [(Partie & Page) 2, 795-6] Chapitre 20 |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Riou D. |
OCCURRENCE: | 101098 accreditee |
CONTEXTE: | Terny se déguise pour voir Clémence au couvent. |
COTEXTE ET CITATION: | Nous cherchâmes quelque invention pour me satisfaire, et nous nous arrêtâmes à celle de me déguiser si bien qu'on ne pût pas me reconnaître. […] Mon valet de chambre me peignit le visage avec une certaine composition que les peintres nomment pastel ; et me changea tellement les traits et la couleur, que je ne me reconnus plus moi-même. |
NOTES: | P. 154-155. |
SOURCE: | Challe Robert, Illustres Françaises (Les). Genève: Droz, 1991.Edition Frédéric Deloffre et Jacques Cormier |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305433 accreditee |
CONTEXTE: | Au cours d’une fête, Amadas est invité à présenter un plat à la fille du duc de Bourgogne, Ydoine qui lui demande de trancher la viande pour elle. |
COTEXTE ET CITATION: | De cel dont onques mais n’ot cure Fu si souspris, estre son voel, Que mors en dut estre de doel. [...] Il saut au cuer une estincele Qui de fine amor l’a espris. Par celle dont jamais il ne s’était soucié, il fut tellement séduit que si son voeu avait été exaucé, il aurait dû en mourir de chagrin. [...] Alors qu’il contemple la jeune fille, une étincelle lui saute au coeur et l’enflamme d’une grande passion. |
NOTES: | P. 17, v. 234-36 et 18, v. 24-45 ; trad. p. 21. |
SOURCE: | Anonyme, Amadas et Ydoine. Champion, éd. John R. Reinhard: Paris, 1974.Les traductions sont celles de Jean-Claude Aubailly, Paris, Champion, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305716 accreditee |
CONTEXTE: | Rogat, le vieux mari jaloux de Crisele, lui avoue qu’il lui a donné à manger en pâté le cœur de son ancien fiancé Memnon. Elle confie cela à un parent de Memnon qui provoque Rogat en duel. |
COTEXTE ET CITATION: | L’ayant raconté à Hesique, ce parent de Memnon qui l’avoit assisté à la mort, & avoit esté le depositaire de son cœur, elle l’anima tellement à la vengeance qu’il provoqua en duel le vieillard, à qui il fit vomir l’ame cruelle et jalouse avec le sang. |
NOTES: | Page 42. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200148 accreditee |
CONTEXTE: | Douleur de la femme d’Esclados le Roux qui vient d’être tué par Yvain. |
COTEXTE ET CITATION: | Mais de duel faire estoit si fole C’a poi qu’ele ne s’ochioit. Mais elle s’était tellement laissée aller à sa douleur qu’elle avait bien failli se tuer. |
NOTES: | P. 120, v. 1150-1151 ; trad. p. 121. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Chevalier au lion. Livre de poche, Lettres gothiques: Paris, 1994.Edition et traduction de David Hult |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200227 accreditee |
CONTEXTE: | Aucassin oublie ses rênes en pensant à Nicolette, tombe de cheval et se démet l'épaule. |
COTEXTE ET CITATION: | Pensa tant a Nicolete sa douce amie qu'il oublia ses resnes et quanques il dut faire. Et li cevax qui ot senti les esperons l'en porta par mi le presse, se se lance tres entre mi ses anemis. Il pensait tellement à Nicolette, sa douce amie, qu'il en oubliait ses rênes et tout ce qu'il devait faire. Son cheval qui avait senti la piqûre des éperons, l'emporta au coeur de la mêlée au beau milieu de ses ennemis. |
NOTES: | P. 68. |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |
OCCURRENCE: | 102490 accreditee |
CONTEXTE: | Clorante tente de délivrer Caliste de la tutelle de Périandre. Celui-ci découvre leur projet et attaque Clorante pendant leur fuite. Un brutal combat s'ensuit. |
COTEXTE ET CITATION: | Il lève le bras et frappe Clorante qui pousse un cri et chancelle. Comme le poignard avait enfoncé bien avant, Périandre crut qu'il tombait. Caliste avait été tellement saisie de frayeur au coup qui avait frappé Clorante, qu'elle demeura comme immobile. |
NOTES: | [(Page& Partie) 58, I] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 305343 accreditee |
CONTEXTE: | À Paris où il s’est éloigné de Julie, St. Preux vient de recevoir un portrait d’elle qu’elle lui a envoyé. |
COTEXTE ET CITATION: | J’arrive enfin, je vole, je m’enferme dans ma chambre, je m’asseye hors d’haleine, je porte une main tremblante sur le cachet. O première influence du talisman ! J’ai senti palpiter mon cœur à chaque papier mon cœur à chaque papier que j’ôtais, et je me suis bientôt trouvé tellement oppressé, que j’ai été forcé de respirer un moment sur la dernière enveloppe … Julie ! … Ô ma Julie ! le voile est déchiré …. je te vois …. je vois tes divins attraits ! |
NOTES: | t. I, p. 341 ; voir aussi p. 353 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305363 accreditee |
CONTEXTE: | St. Preux invité par Julie et M. de Wolmar à partager leur vie à Clarens, découvre le verger mystérieux qu’ils appellent l’Élysée, avatar évident du locus amoenus. Il s’agit en fait du bosquet où Julie et St. Preux ont eu leur premier baiser (cf. t. I, p. 107 et 109), réaménagé pour en faire un lieu où la nature est maîtrisée. |
COTEXTE ET CITATION: | Ce lieu, quoique tout proche de la maison est tellement caché par l’allée couverte qui l’en sépare qu’on ne l’aperçoit de nulle part. […] Je me mis à parcourir avec extase ce verger ainsi métamorphosé. |
NOTES: | T. II, p. 87-89. La description se poursuit jusqu’à la page 96. P. 104-105, St. Preux retourne au verger pour y faire une promenade solitaire et p. 108-109 où M. de Wolmar de son projet d’inviter St. Preux à vivre avec eux. |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305601 accreditee |
CONTEXTE: | Fleurdepine, la fille du Sarrasin Marcabré, vient rendre visite aux chevaliers français dans la prison de son père, après la bataille. Elle leur promet des vivres et la liberté s’ils la mettent en contact avec le vaillant guerrier, Bérart de Mondidier, qu’elle aime et ne connaît que de réputation. |
COTEXTE ET CITATION: | Oi avoit parler de Berart le vaillant, Si avoit mis son ceur en li si durement Qu’ele avoit refusé le fort roi Agoulant, Et le roi Baratron, et Aufour le gaiant, Pour l’amour d Berart, le hardi combatant. Elle avait entendu parler du vaillant Berart et avait tellement placé son coeur en lui, qu’elle avait refusé le puissant roi Agoulant, le roi Baratron et le géant Aufour pour l’amour de Berart, l’audacieux guerrier...](ma traduction). |
NOTES: | P. 55, vers 1801-1805. |
SOURCE: | Anonyme, Gaufrey. Vieweg: Paris, 1859.Edition M.F.Guessard |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305603 accreditee |
CONTEXTE: | Landri s’est mis au service de l’empereur de Constantinople et vient d’être victorieux contre les païens. Salmandrine, la fille de l’empereur de Constantinople, est amoureuse de Landri au point d’en devenir malade. |
COTEXTE ET CITATION: | Li roi[s] ot.i. fille qui ot le cors gentil Cui Salmadrine apelent li baron du païs Sor tote rien sor terre ama cele Landri Qu'el ne pooit mangier, reposer ne dormir. Li rois la voit malmetre, empirier et morir; Le roi avait une fille au beau corps noble, que les barons du pays appellent Salmandrine. Celle-ci aimait tellement Landri, au-dessus de toute chose sur la terre, qu'elle ne pouvait ni manger, se reposer ou dormir. Le roi la voit dépérir et, son état s'aggravant, en danger de mourir. |
NOTES: | P. 56, vers1440-1444. |
SOURCE: | Anonyme, Doon de la Roche. Paris: H.Champion, 1921.Edition de Paul Meyer et Gédéon Huet. |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305834 accreditee |
CONTEXTE: | Le père de Metrodore, convaincu à tort que Volcace a déshonoré sa fille, l'a fait condamner à mort, ce qui la pousse à mettre fin à ses jours. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle ne voulut point survivre à la honte & estre tous les jours en proye à la douleur, elle avalla de la poison qui ne fit pas un effect si prompt qu'elle n'eust loisir de s'en repentir : & quand elle voulut prendre des antidotes, il se trouva que le venin avoit tellement gaigné le coeur qu'il en estoit inseparable. |
NOTES: | Page 409. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305862 accreditee |
CONTEXTE: | Le vieux Colmat est amoureux d'une jeune femme dont il a fait sa concubine. |
COTEXTE ET CITATION: | En ceste vieillesse presque extreme, il fut tellement tenté d'incontinence qu'au lieu de recourir au remede institué de Dieu pour ceux qui ne peuvent vivre en chasteté, craignant plus la mocquerie & la honte du monde, que les jugemens de Dieu, il s'adonna à la deshonnesteté, au grand scandale non seulement de sa famille, qui souffroit par respect ses imperfections, mais aussi de son voisinage. Car il entretenoit une concubine. |
NOTES: | Page 45. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305864 accreditee |
CONTEXTE: | Malgré son grand âge, Aemilian obtient la main de Caralippe car il est très riche. |
COTEXTE ET CITATION: | Un vieil chevalier Albanois, nommé Aemilian, ayant veu ceste esmerveillable beauté de Caralippe en devint tellement embrasé que sans songer à son aage, qui l'avoisinoit du tombeau plutost que d'un lict de nopces, & à ceste fleur de jeunesse, qui paroissoit sur ce visage d'ange, il desira finir ses jours dans ce sepulchre de roses. |
NOTES: | Page 414. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305870 accreditee |
CONTEXTE: | Rogat qui est tombé amoureux de Crisele en dépit de son âge avancé, demande sa main, bien qu'elle soit fiancée à Memnon. |
COTEXTE ET CITATION: | Rogat, vieil gentil-homme des plus riches & authorisez de la contree, ayant veu en une compagnie la beauté de Crisele, capable d'esbloüir de meilleurs yeux que les siens, en devint tellement esperdu, que sans songer qu'il avoit assez d'enfans de son premier mariage, & que son aage avancé lui rendoit Venus irreconciablement irritee, il croit ne pouvoir continuer sa vie que par la possession de cette beauté, qui le ravissoit. |
NOTES: | Page 30. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305951 accreditee |
CONTEXTE: | Cette remarque du narrateur se situe dans l'avertissement de l'auteur aux lecteurs. |
COTEXTE ET CITATION: | Au surplus je m’assure tellement de l’honnesteté acoustumee des sages et vertueuses dames, que tant s’en faut que je craigne qu’elles treuvent mauvais le blame duquel je depeins les sotes et vicieuses. |
NOTES: | P. 13. |
SOURCE: | Tahureau Jacques, Les dialogues non moins profitables que facetieux. Genève : Droz, 1981.Éd. Marc Gauna à partir de l\'édition de Gabriel Buon, Paris, 1565. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |