OCCURRENCE: | 105320 accreditee |
CONTEXTE: | Accompagné par le nain, Marc surprend Yseut et Tristan endormis dans les bras l'un de l'autre. |
COTEXTE ET CITATION: | Entre ses bras Yseut la reïne. Bien cuidoient estre a seor. Sorvient i par estrange eor Li rois, que li nains i amene. Prendre les cuidoit a l'ovraine, Mes, merci Deu, demorerent Quant aus endormis les troverent. Entre ses bras Yseut la reine. Ils se croyaient en parfaite sûreté. Par un étrange malheur, arrive le roi conduit par son nain. Il pensait les prendre en flagrant délit, mais Dieu merci, le roi et le nain avaient trop tardés et trouvèrent les amants endormis. |
NOTES: | [(Page & Vers ) Pp. 338-337, vv. 1-7. |
SOURCE: | Thomas, Roman de Tristan. Lettres Gothiques/Librairie Générale Fr.: 1989.ms Douce, Bibl. Bodléienne d\'Oxford |
CHERCHEUR/E: | , Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104624 accreditee |
CONTEXTE: | Accompagné par le nain, Marc surprend Yseut et Tristan endormis dans les bras l'un de l'autre. |
COTEXTE ET CITATION: | Entre ses bras Yseut la reine. Bien cuidoient estre a seor. Sorvient i par estrange eor <CITATION>Li rois, que li nains i amene. Prendre les cuidoit a l'ovraineCITATION>, Mes, merci Deu, demorerent Quant aus endormis les troverent. Entre ses bras Yseut la reine. Ils se croyaient en parfaite sûreté. Par un étrange malheur, arrive le roi conduit par son nain. Il pensait les prendre en flagrant délit, mais Dieu merci, le roi et le nain avaient trop tardé et trouvèrent les amants endormis. |
NOTES: | [(Page & Vers ) Pp. 338-339, vv. 1-7. |
SOURCE: | Thomas, Roman de Tristan. Lettres Gothiques/Librairie Générale Fr.: 1989.ms Douce, Bibl. Bodléienne d\'Oxford |
CHERCHEUR/E: | , Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305650 accreditee |
CONTEXTE: | Parise a été exilée par son mari et se retrouve dans la forêt accompagnée par les fils de son fidèle Clarembaut. Elle accouche d’un fils et on lui fait un abri de feuillage. Trois brigands ont repéré la petite suite et décident de voler ce qu’ils peuvent. |
COTEXTE ET CITATION: | Lez lo lit la duchese ont li larron pasé; Si fu la nuit oscure, n’i ot point de clarté. Le mantel de son lit an cuiderent porter; Ne le pue[n]t avoir, tant sont il plus iré. Lai troverent l’anfant trestot anmaloté. Quant la dame s’esvielle, si a entor li taté; Dit à ses compaignos: «Seignor, avant venez! «Par la foi que vo doi, mes fiz nos est amblez!» Les voleurs sont passés à côté du lit de la duchesse; la nuit était obscure, il n’y avait point de lumière. Ils pensèrent emporter la couverture de son lit mais ils ne purent pas l’avoir, ce qui les rend d’autant plus fâchés. Là ils trouvèrent l’enfant tout enmailloté. Quand la dame s’éveille, elle a tâté l’espace tout autour d’elle. Elle a dit à ses compagnons: «Seigneurs, venez-ici! Par la foi que je vous dois, on a volé mon fils!» (ma trad.) |
NOTES: | p. 26, vers 860-864. |
SOURCE: | Anonyme, Parise la duchesse. Paris: Vieweg, 1860.Edition F. Guessard & L. Larchey |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |