OCCURRENCE: | 105038 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | [Gomele] dit à son Pere, qu'il ne pouvoit se resoudre à m'épouser, si je n'y donnois un plein consentement. ce fut là le comble des violences qu'on me preparoit; il fallut que je parusse empressée, pour ce que je craignois plus que la mort. Comme Gomele ne vouloit pas être persuadé, aucune de mes actions ne le persuadoient, disoit-il, assez bien. On me faisoit des loix d'emportement, comme on en fait de modestie au reste de mon sexe. Et je pense qu'on les auroit étendus jusqu'à des extravagances, si Gomele aussi fatigué de mes feintes que j'en étois lasse, n'eût entrepris de les faire cesser. |
NOTES: | [(Page) 559-600] Slatkine tome 1, p. 557 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Galanteries grenadines (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-1. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305824 accreditee |
CONTEXTE: | Gildarde, qui est entrée au couvent car elle se repent de ses relations avec Clodulphe qui est marié, se laisse convaincre par sa promesse de mariage, de revenir avec lui. |
COTEXTE ET CITATION: | Il n'y a rien qui tente si violemment les pauvres filles que ces promesses de mariage, vrayes ou feintes. Aussi fust-ce ce qui esbranla davantage la resolution de Gildarde. |
NOTES: | Page 185. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |