OCCURRENCE: | 104182 accreditee |
CONTEXTE: | Les serfs désignés pour exécuter la comtesse de Bourges et son fils selon le prétendu ordre de son mari, se laissent attendrir par le sourire de l'enfant et la sincérité de sa mère qui témoigne de son innocence. Ils décident de l'épargner à condition qu'elle ne remette plus les pieds dans la région. |
COTEXTE ET CITATION: | "Dame, font il, or escoutés : Dex vous aime, ja n'en doutez ; Appertement a moustré ore Ne veult que vous muirez encore. Pour Dieu et pour misericorde Avons fet unne telle acorde Que toute vive eschaperez, Mez que suz sainz nous jurerez Ce que je vous deviserai." |
NOTES: | [(Page&vers) 1332] Voir p. 155 où les serfs expliquent au comte de Bourges comment ils ont épargné la comtesse. |
SOURCE: | Maillart (Jehan), Roman du comte d'Anjou (Le). Mario Roques, Champion: Paris, 1964. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104190 accreditee |
CONTEXTE: | Le comte de Bourges qui s'était déguisé en mendiant pour aller à la recherche de sa femme retrouve celle-ci parmi les pauvres à qui l'évêque d'Orléans fait l'aumône. Il lui révèle qui il est. |
COTEXTE ET CITATION: | "Sire, fet il, je vous dirai Que ja ne vous mentirai ; Je de ce ne vous effraez. Tout si povre con vous veez Que je sui, ce ne doutez mie, Sui quens de Borges la garnie Et gouverne tout le païs." Sire, dit-il, je vous [le] dirai et, n'ayez crainte, jamais je ne vous mentirai. Tout pauvre que vous me voyez, je suis, n'en doutez pas, le comte de Bourges la forte cité et je gouverne toute la contrée. |
NOTES: | Page 187, v. 6141. |
SOURCE: | Maillart (Jehan), Roman du comte d'Anjou (Le). Mario Roques, Champion: Paris, 1964. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305700 accreditee |
CONTEXTE: | Après avoir délivré les Français de prison et après la victoire de ceux-ci sur son frère le roi Gamaux, Ludiane épouse Brice dont elle était amoureuse. |
COTEXTE ET CITATION: | Ludiane le roïne douchement festïa; Adont en fit on noeuches, et Brisses l’espousa, Le gentil damsoisel que loiaument l’ama. Le nuit jut aveux luy quant le feste passa; En ycelle nuitie qu’avoeque luy coucha Fu sains Brisse conchus, de che ne doubtés ja. La reine Ludiane se réjouit [de la victoire des Français]. Alors on fit les noces et Brice l’épousa, le noble jeune homme qui l’aimait loyalement. La nuit tomba et avec elle la fête se termina. En cette nuit où il coucha avec elle, Saint Brice fut conçu, n’en doutez pas. |
NOTES: | Vers 14760-14765. |
SOURCE: | Anonyme, Belle Hélène de Constantinople (La). Claude Roussel, Droz: Genève, 1995. |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |