OCCURRENCE: | 200153 accreditee |
CONTEXTE: | À Gauvain qui est surpris de la haine de Greorreas qu’il vient de sauver de la mort, ce dernier rappelle les circonstances de leur première rencontre. |
COTEXTE ET CITATION: | Ne te sovient il de celui Cui tu feïs si grant henui Que li feïs contre son pois Avec les chiens mangier un mois, Les mains liées tres le dos ? Saiches que tu feïs que fox, Car orendroit grant honte i as. –Iés tu donc ce Greorreas, Qui la damoisele preïs Par force et ton bon en feïs ? As-tu oublié celui contre lequel tu t’acharnas et que tu contraignis, tout un mois, à manger avec les chiens, les mains liées derrière le dos ? Sache-le, tu as agi en sot, car maintenant te voilà dans la honte ! – Est-ce donc toi, Greorreas, toi qui avais pris de force la demoiselle, pour en faire ton plaisir ? (496) |
NOTES: | P. 496, vv. 7025-7034 |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Conte du Graal. Paris: Lettres Gothiques, 1990.Edition et trad. Charles Méla |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305469 accreditee |
CONTEXTE: | L’impératrice a organisé une ruse pour pouvoir passer un moment intime avec Paridès, avec la complicité de la vieille voisine de ce dernier. Elle lui a demandé d’arroser le devant de sa porte pour faire de la boue et s’y laisse tomber : il faudra entrer dans la maison se chauffer et y attendre des vêtements propres. |
COTEXTE ET CITATION: | Une goute ai qui mal me fait, je l’ai motl longement celee ; orendroit m’est renouvelee al caoir que je fis a terre ; l’os de me gambe me desserre. Mais ne vos en desconfortés, en cele maison me portés : un fu i voi, caufer m’i voel, sifaitement garir me suel. Si m’aporc on uns autres dras. |
NOTES: | P. 140-41, vv. 4548-4557. Ruse typique de fabliau. |
SOURCE: | Gautier d"Arras, Eracle. Paris: H. Champion, 1976. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |