OCCURRENCE: | 102030 accreditee |
CONTEXTE: | La cellule de Soeur Suzanne est vidée de tout. Elle est dépouillée de ses biens. |
COTEXTE ET CITATION: | On me condamne à être privée de récréation, à entendre pendant un mois l'office à la porte du choeur, à manger à terre au milieu du refectoire, a faire amende honorable trois jours de suite, à retarder ma prise d'habit et mes voeux, à prendre le silice, à jeûner de deux jours l'un...après l'office du soir tous les vendredis". "Comme ma cellule ne fermait plus, on entrait pendant la nuit en tumulte, on criait, on tirait mon lit, on cassait mes fenêtres, on me faisait toutes sortes de terreur...". |
NOTES: | [(Page) Pp. 210, 317-318, 294-295. Ces persécutions reprennent après que Soeur Suzanne a perdu son procès. |
SOURCE: | Diderot (Denis), Religieuse (La). Oeuvres romanesq/Class.Garnier/Bénac: Paris, 1959. |
CHERCHEUR/E: | Dubost J., Weil M. |
OCCURRENCE: | 101024 chantier |
CONTEXTE: | Le vrai médecin se plaignant à Florange qu'on lui préfère un charlatan ; le >marquis, encore bien malade, se précipite dans la chambre de sa femme et y trouve Mainville en habit de médecin. Il se répand en imprécations, mais Mainville se jette sur lui et le maîtrise, criant bien fort que ses transports au cerveau le reprennent et qu'il faut le recoucher. Le vrai médecin, auquel Mainville a signifié d'entrer dans son jeu, fait chorus, et Florange doit bon gré mal gré rejoindre son lit. |
NOTES: | [(Page) 114 Ed GF] |
SOURCE: | Anonyme, Nouveaux désordres de l'amour (Les). Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |