OCCURRENCE: | 101024 chantier |
CONTEXTE: | Le vrai médecin se plaignant à Florange qu'on lui préfère un charlatan ; le >marquis, encore bien malade, se précipite dans la chambre de sa femme et y trouve Mainville en habit de médecin. Il se répand en imprécations, mais Mainville se jette sur lui et le maîtrise, criant bien fort que ses transports au cerveau le reprennent et qu'il faut le recoucher. Le vrai médecin, auquel Mainville a signifié d'entrer dans son jeu, fait chorus, et Florange doit bon gré mal gré rejoindre son lit. |
NOTES: | [(Page) 114 Ed GF] |
SOURCE: | Anonyme, Nouveaux désordres de l'amour (Les). Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305713 accreditee |
CONTEXTE: | Perceval voit arriver une dame éplorée sur une mule, se plaignant d’avoir été trahie par celui qui prétendait l’aimer. Elle explique qu’elle n’a pas pu trouver celui qu’elle cherche, un chevalier qui l’a requise d’amour si bien qu’elle lui a cédé. Il lui avait promit de l’épouser le lendemain et elle se livra à lui dans la nuit. Ce fut une erreur. En effet, il ne s’acquitta pas de sa promesse. |
COTEXTE ET CITATION: | Li fols, plains de desloiauté, Me fïancha lués de sa main Qu’il m’espouseroit l’endemain. Sor sa fïance l’en creï Et il a moi tant acreï Qu’il prist cele nuit tant del mien Qu’il ne me puet rendre por rien. Son bon fis, si fis que fole, C’onques fïance ne parole N’en regarda, se Dieus me salt. |
NOTES: | P. 56, v. 1782-1791. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, La continuation de Perceval. Paris: Champion, 1922.Édition de Mary Williams |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |