OCCURRENCE: | 101302 accreditee |
CONTEXTE: | Madame de Ferval laisse voir ses charmes lors de la visite du narrateur chez elle. |
COTEXTE ET CITATION: | Une de ses femmes, qui se présenta d'abord, me dit qu'elle allait avertir sa maîtresse; elle revint un moment après, et me fit entrer dans la chambre de cette dame. Je la trouvai qui lisait couchée sur un sopha, la tête appuyée sur une main, et dans un deshabillé très propre, mais assez négligemment arrangé. Figurez-vous une jupe qui n'est pas tout à fait rabattue jusqu'aux pieds et qui laisse voir un peu de la plus belle jambe du monde; [...] De ces deux pieds mignons, il y en avait un dont la mule était tombée, et qui, dans cette espèce de nudité, avait fort bonne grâce. Je ne perdis rien de cette touchante posture. |
NOTES: | [(Page) 161, liv 4] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Paysan parvenu (Le) ou les Mémoires de M***. Prault: Paris, 1734.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305391 accreditee |
CONTEXTE: | Jacob se trouve chez Mme de Ferval qui cherche à lui plaire, et découvre, dans sa naïveté, la grâce et l’érotisme de cet élément du corps féminin : le pied. |
COTEXTE ET CITATION: | De ces deux pieds mignons, il y en avait un dont la mule était tombée, et qui, dans cette espèce de nudité, avait fort bonne grâce. |
NOTES: | P. 171. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Paysan parvenu (Le) ou les Mémoires de M***. Paris: Garnier, 1992.Édition de Fr. Deloffre et Fr. Rubellin |
OCCURRENCE: | 305713 accreditee |
CONTEXTE: | Perceval voit arriver une dame éplorée sur une mule, se plaignant d’avoir été trahie par celui qui prétendait l’aimer. Elle explique qu’elle n’a pas pu trouver celui qu’elle cherche, un chevalier qui l’a requise d’amour si bien qu’elle lui a cédé. Il lui avait promit de l’épouser le lendemain et elle se livra à lui dans la nuit. Ce fut une erreur. En effet, il ne s’acquitta pas de sa promesse. |
COTEXTE ET CITATION: | Li fols, plains de desloiauté, Me fïancha lués de sa main Qu’il m’espouseroit l’endemain. Sor sa fïance l’en creï Et il a moi tant acreï Qu’il prist cele nuit tant del mien Qu’il ne me puet rendre por rien. Son bon fis, si fis que fole, C’onques fïance ne parole N’en regarda, se Dieus me salt. |
NOTES: | P. 56, v. 1782-1791. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, La continuation de Perceval. Paris: Champion, 1922.Édition de Mary Williams |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305902 accreditee |
CONTEXTE: | Perceval voyage avec une demoiselle qu'il veut venger car un chevalier qui lui avait promis le mariage l'a trahie. |
COTEXTE ET CITATION: | Perchevaus tout sans demorer Est descendus de son destrier, Assez fu qui li tint l'estrier. A tant li sire les en maine En la soie sale demaine, Si fait desarmer Percheval. De le mule ne del cheval N'estuet parler, c'est chose vaine, Assez orent fain et avaine A remanant icele nuit. |
NOTES: | Tome I, page 60, vers 1914-1923. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, La continuation de Perceval. Paris: Champion, 1922.Édition de Mary Williams |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |