OCCURRENCE: | 101302 accreditee |
CONTEXTE: | Madame de Ferval laisse voir ses charmes lors de la visite du narrateur chez elle. |
COTEXTE ET CITATION: | Une de ses femmes, qui se présenta d'abord, me dit qu'elle allait avertir sa maîtresse; elle revint un moment après, et me fit entrer dans la chambre de cette dame. Je la trouvai qui lisait couchée sur un sopha, la tête appuyée sur une main, et dans un deshabillé très propre, mais assez négligemment arrangé. Figurez-vous une jupe qui n'est pas tout à fait rabattue jusqu'aux pieds et qui laisse voir un peu de la plus belle jambe du monde; [...] De ces deux pieds mignons, il y en avait un dont la mule était tombée, et qui, dans cette espèce de nudité, avait fort bonne grâce. Je ne perdis rien de cette touchante posture. |
NOTES: | [(Page) 161, liv 4] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Paysan parvenu (Le) ou les Mémoires de M***. Prault: Paris, 1734.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | TT101634 PROVISOIRE |
CONTEXTE: | "Je la perdis; je reçus d'elle des marques d'amour au même moment où elle expirait." |
NOTES: | [( Page & Partie) 185 GF] Manque le résumé. Voir aussi : Bédier, Tristan, Paris, UGE, 1981, p. 17. Weil M.-Chalier S. "On se console de mourir puisque c'est avec sa maîtresse." "...coutez comment à grand'joie, à grand deuil ils s'aimerent et moururent un même jour." |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut. Garnier/Deloffre-Picard: Paris, 1990. |
CHERCHEUR/E: | Weil M., Marsal H., Vergnes S. |
OCCURRENCE: | 102142 accreditee |
CONTEXTE: | Muly raconte l'histoire de Haly Joseph. |
COTEXTE ET CITATION: | Nous fûmes surpris d'une tempête si furieuse, que nôtre vaisseau aprés avoit flotté trois jours entiers au gré du vent, sans mâts et sans gouvernal, et avoit été mille fois precipité du Ciel dans les abîmes, échoüa contre la pointe d'une petite Isle de la Mer atlantique. Sitôt que j'avois veu la tempête, j'avois pris le soin d'attacher Fatime à des planches qui étoient dans nôtre vaisseau... Comme tous mes soins étoient pour mon Prince, et que nôtre naufrage se fit le jour, je ne le perdis point de vûe, et l'aïant remarqué sur l'eau où ces planches le soutenoient avec sa nourrice ; je poussai en nageant vers le rivage, et je fus si heureux, qu'il aborda sans aucun accident. |
NOTES: | [(Page & Tome) 416, 1] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Alcidamie. 16.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 100816 accreditee |
CONTEXTE: | Le père de Théophé refuse de reconnaître sa fille. |
COTEXTE ET CITATION: | Il me fit dire par le domestique qui m'avait reçu, qu'après l'explication qu'il avait eue avec moi, il s'étonnait que je prétendisse le forcer de recevoir une fille qu'il ne reconnaissait point. […]Il avait défendu à ses trois fils de former la moindre liaison avec elle. […]Je perdis la seconde de mes espérances lorsque cet obstiné vieillard m'eut déclaré nettement que sa religion et son honneur lui défendaient de reconnaître une fille qui avait été élevée au sérail. |
NOTES: | P. 110, 116. |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire d'une grecque moderne. Garnier Flammarion/Alan J. Singerman: Paris, 1990. |
CHERCHEUR/E: | Vergnes S., Weil M. |
OCCURRENCE: | 105088 accreditee |
CONTEXTE: | Affects éprouvés par Sophie après qu'elle ait tenté en vain d'attaquer Amet avec un cimeterre. |
COTEXTE ET CITATION: | Amet [...] me laissa dans un désespoir [...] Je passay la nuit à m' affliger et le jour qui le suivit ne donna pas moindre relasche à mon affliction. Le temps [...] ne fît aucun effet [...] et au second jour [...] j'estois encore plus affligée que je ne le fus la sinistre nuit que je perdis avec ma liberté l'espérence de revoir Dom Carlos.... |
NOTES: | [(Partie & Page) 2, 735] Chapitre 14 - |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Riou D. |