OCCURRENCE: | 306013 accreditee |
CONTEXTE: | Une tempête empêche les Grecs de partir : il faudra sacrifier Polyxène, la fille de Priam dont Achille était tombé amoureux. |
COTEXTE ET CITATION: | Aprés parlerent de l’aller, Mes si orrible fu la mer, Si ydose, si reversant, Qu’en nule fin ne fet senblant Que il ja mes dedenz entrassent Que maintenant tuit ne neiassent. Chascun jor iert si forz li venz E par la mer tiels li tormenz, Nus n’i entrast qui ne fust mort Ne qui ja mes venist a port. Les Grecs parlèrent ensuite de partir, mais la mer était si mauvaise, si déchaînée, si agitée qu’ils ne voyaient pas comment ils pourraient s’embarquer sans être aussitôt noyés. Chaque jour, le vent soufflait si fort, la tempête était si violente que personne n’aurait pu naviguer sans trouver la mort : impossible d’arriver à bon port. |
NOTES: | P. 622, v. 26375-84. |
SOURCE: | BENOÎT DE SAINTE-MAURE, Le Roman de Troie. Paris: Lettres Gothiques, 1998. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104646 accreditee |
CONTEXTE: | L'amant de Misrie est réduit en esclavage par le Turc par qui elle est elle-même détenue. |
COTEXTE ET CITATION: | "T'a-t-on placé dans cet endroit pour ne travailler qu'à rompre les outils qu'on te donne? [...] A ces mots, il m'arracha ma chemise, et me reversant à terre, il me donna mille coups de fouets. Son père [...] me déchargea un nombre infini de coups de bâtons." |
NOTES: | [(Page& Partie) 228, IV] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |