color='#CCFFCC' valign='top'>OCCURRENCE: | color='#CCFFCC'>305967 accreditee |
color='#F6F5F4' valign='top'>CONTEXTE: | color='#F6F5F4'>Ataïn, messager du roi auprès de Berthe, la comtesse de Roussillon, tente de la violer. |
color='#FFFFFF' valign='top'>COTEXTE ET CITATION: | color='#FFFFFF'>Et quant la vit colchade el lit sovine, E fu en sa chemise doljat de line, - E a gente façon et color fine ; Et tan blanche la car cun flor d’espine,- Li gars poset se man sor sa poitrine, E vol baillar son cors e sa tetine E baisar en la boche, quant l’agratine : « Mar ou vos ou pensastes, gars de cuisine ! -Eu me gabave, donne qu’es pelegrine ; Aqui romeu de loin jaz sor l’eschine. » Ele apela Garsent e Aibeline : « Ostaz mei is gloton qui m’ataïne.» Et quand il la vit allongée dans le lit, vêtue de sa seule chemise de fine toile de lin, -avec son beau visage, son teint délicat, sa peau blanche comme fleur d’aubépine- il porta la main sur elle, tout prêt à lui caresser les seins, le corps, à embrasser sa bouche, mais elle se défendit à coups d’ongles. –À quoi pensez-vous, maudit rustre ! -C’était pour plaisanter, madame le pèlerine : le pèlerin lui aussi est couché, mais pas ici. - Garsent, Aibeline, débarrassez-moi de ce malotru ! » dit-elle avec colère. |
color='#F6F5F4' valign='top'>NOTES: | color='#F6F5F4'>Page 706-07, v. 9617-28. |
color='#FFFFFF' valign='top'>SOURCE: | color='#FFFFFF'>Anonyme, Girart de Roussillon. Paris: Livre de poche, Lettres gothiques, 1993.Édition de W.M. Hackett (1953-55) Traduction de Micheline de Combarieu du Grès et Gérard Guiran. |
color='#F6F5F4' valign='top'>CHERCHEUR/E: | color='#F6F5F4'>Jeay M. |
color='#CCFFCC' valign='top'>OCCURRENCE: | color='#CCFFCC'>305535 accreditee |
color='#F6F5F4' valign='top'>CONTEXTE: | color='#F6F5F4'>Melior, la fille de l'empereur de Rome, est tombée amoureuse de Guillaume, l'enfant trouvé que son père a ramené à la cour et qui y a grandi. |
color='#FFFFFF' valign='top'>COTEXTE ET CITATION: | color='#FFFFFF'>Diex, quex maus est dont tant me duel, Qui si me fait estendillier Et souspirer et baaillier Et refroidier et reschaufer, Muer color et tressuer Et trambler tot en itel guise, Comme se fievre m’estoit prise ? |
color='#F6F5F4' valign='top'>NOTES: | color='#F6F5F4'>P. 63, v. 838-842. Sire, bien sai a esciënt Qu’a la fin trai sans nul resort, En moi n’a mais el que la mort. C'est au tour de Guillaume d'être malade d'amour. |
color='#FFFFFF' valign='top'>SOURCE: | color='#FFFFFF'>Anonyme, Guillaume de Palerne. Genève: Droz, 1990.Édition Alexandre Micha |
color='#F6F5F4' valign='top'>CHERCHEUR/E: | color='#F6F5F4'>Jeay M. |