OCCURRENCE: | 102240 accreditee |
CONTEXTE: | Sophie sort la nuit pour retrouver son amant, dom Carlos. Le père de Sophie veut la forcer à épouser un napolitain, plus riche que dom Carlos. Pour éviter ce mariage sans amour, Sophie va se laisser enlever par dom Carlos et ils vont s'enfuir ensemble. Mais Amet, un esclave de dom Carlos, leur tend un piège. Il fait venir Sophie dans la chaloupe, la rassurant de l'arrivée prochaine de dom Carlos. Mais aussitôt entrée dans la chaloupe, Sophie comprend qu'on les a dupés. |
COTEXTE ET CITATION: | "Figurez-vous quel dût être mon désespoir, me voyant sans dom Carlos et avec des ennemis de ma loi, car je reconnus que j'étais au pouvoir des Maures, que l'esclave Amet avait toute sorte d'autorité sur eux et que son frère Zaïde était le maître du vaisseau. Cet insolent ne me vit pas plutôt en état d'entendre ce qu'il me dirait qu'il me déclara en peu de paroles qu'il y avait longtemps qu'il était amoureux de moi et que je ne fusse aussi heureuse que j'aurais été en Espagne, comme il ne tiendrait pas à lui que je n'eusse point à y regretter dom Carlos." |
NOTES: | CG, P.II, Ch. 14, pp. 227-31 (p. 230) |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Wood A. |
OCCURRENCE: | 103254 accreditee |
CONTEXTE: | Turcamène découvre que Clarice s'est échappée et se livre à des transports violents. |
COTEXTE ET CITATION: | Ce ne fut plus l'amour qui lui fit regretter Clarice : le désespoir de l'avoir perdue, le peu d'usage qu'il avait fait de son pouvooir, l'obstination de cette aimable dame ; toutes ces choses s'offraient à la fois à son souvenir, le déchiraient mortellement et changeaient en fureur le grand amour qu'il avait eu pour elle. |
NOTES: | [(Page& Partie) 100, II] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 105094 accreditee |
CONTEXTE: | Que mes sentiments soient assez violents! [...] Adieu, promettez-moi de me regretter tendrement, si je meurs de douleur, et qu'au moins la violence de ma passion nous donne du dégoût et de l'éloignement pour toutes choses. |
COTEXTE ET CITATION: | Chaque lettre de cette oeuvre contient des passages ou les sentiments de l'héroïne s'expriment avec violence. |
NOTES: | [(Page & Tome & Ch) 158, 1, III] |
SOURCE: | Guilleragues, Lettres portugaises traduites en français. Barbin: 1669.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Calas F. |