| OCCURRENCE: |
102216 accreditee
|
| CONTEXTE: |
Le curé de Domfront se trompe sur le motif de son propre enlèvement. |
| COTEXTE ET CITATION: |
"A une lieue et demie de la ville, comme le brancard allait son petit train dans un chemin creux , revêtu de haies plus fortes que des murailles, trois cavaliers, soutenus de deux fantassins, arrêtèrent le vénérable brancard. [...] <CITATION>Le curé, qui voyait de son brancard tout ce qui se passait et qui avait un procès avec un gentilhomme de ses voisins, nommé de Laune, crût que c'était lui qui voulait l'assassiner. Il se mit donc à crier: Monsieur de Laune, si vous me tuez, je vous cite devant Dieu; je suis sacré prêtre indigne et vous serez excommunié comme un loup-garou. CITATION> Cependant sa pauvre nièce se démasquait et faisait voir au cavalier un visage effrayé qui lui était inconnu. Cela fit un effet à quoi l'on ne s'attendait point. Cet homme colère [...] donna droit dans la tête d'un de ses hommes de pied, en disant: Voilà comme il faut traiter ceux qui donnent de faux avis." (CG, 1973, L.1, Ch.14, pp. 75-6) |
| NOTES: |
[(Partie & Page) L.1, Ch. 14, 75-6] |
| SOURCE: |
Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
| CHERCHEUR/E: |
Wood A. |
|
