OCCURRENCE: | 100178 accreditee |
CONTEXTE: | confession de Doguin, le valet de la Rappinière, qui demande à parler à Destin avant de mourir. |
COTEXTE ET CITATION: | Il [Destin] se leva pourtant plus matin qu'il ne pensait, parce que la servante de Rappinière le vint quérir à la hâte pour venir voir Doguin qui se mourait et qui demandait à le voir devant que de mourir. |
NOTES: | [(Partie & Page) I, IV, 81]; P 19 Classiques Garnier |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 100882 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | "Qu'on est à plaindre, nous dit-il, d'être le jouet de ses esclaves (...). A force de supplices je viens d'arracher de lui une horrible confession. Je ne lui ai conservé la vie que pour lui faire recommencer l'aveu de son crime à vos yeux" (p. 97). "Cette artificieuse esclave espéra pendant quelques moments de me tromper par des impostures" (p.180). |
NOTES: | [(Page) 97, 180 GF] Voir aussi p. 122, 222 |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire d'une grecque moderne. Desbordes/Didot: Amsterdam / Paris, 1740.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Vergnes S., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305759 accreditee |
CONTEXTE: | Auschaire est accusé à tort d'avoir tué Eusébio, alors que la disparition de ce dernier est due au fait que le duc de Piedmont le détient secrètement en prison. |
COTEXTE ET CITATION: | Sur cette confession Auschaire fut condamné à avoir la tête tranchée, encore qu'il protestast en mourant qu'il estoit innocent du sang d'Eusebio. |
NOTES: | Page 108. Correspond également au topos INNOCENT CONDAMNÉ À MORT. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305779 accreditee |
CONTEXTE: | Un voleur a dérobé un gobelet d'argent lors d'une réception. De peur d'être pris, il met l'objet dans le sac d'un convive qui dormait et qui est accusé à tort. |
COTEXTE ET CITATION: | Il est mis entre les mains de la justice, qui ne pouvant turer aucune confession volontaire d'un homme qui en effect n'estoit pas coupable, & qui ne sçavoit comme ce gobelet estoit venu en sa puissance, il fut appliqué à la gehenne, où la violence de la douleur tira de sa bouche tout ce que l'on voulut, & sur ceste confession il fut condamné à estre pendu. |
NOTES: | Page 341. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |