OCCURRENCE: | 104732 accreditee |
CONTEXTE: | aveu du narrateur près avoir justifié une comparaison étonnante. |
COTEXTE ET CITATION: | Je m'en sers de ma seule autorité. |
NOTES: | [(Partie & Page) 66] |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 102910 accreditee |
CONTEXTE: | Mériante vient de recevoir un honneur de la princesse et celle-ci lui exige alors une récompense. |
COTEXTE ET CITATION: | "C'est à mon coeur, Mériante, que vos devez ce que vous êtes aujourd'hui. Après cet aveu que mon rang me permet de faire, vous jugez aisément des prix que je vous demande." |
NOTES: | [(Page& Partie) 157, III] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 305402 accreditee |
CONTEXTE: | Madamme de Clèves a honte d'entendre raconter par la Dauphine, en présence de monsieur de Nemours, l'histoire de l'aveu de son amour pour lui. |
COTEXTE ET CITATION: | Mme de Clèves ne fit pas semblant d'entendre M. de Nemours; elle le quitta sans le regarder (...). Madame de Clèves était à la dernière épreuve de sa force et de son courage et, ne pouvant plus soutenir la conversation, elle allait dire qu'elle se trouvait mal, lorsque, par bonheur pour elle, la duchesse de Valentinois entra [...] Elle s'embarrassa dans sa robe et fit un faux pas: elle se servit de ce prétexte pour sortir d'un lieu où elle n'avait pas la force de demeurer et, feignant de ne se pouvoir soutenir, elle s'en alla chez elle. |
NOTES: | Pages 347-348. |
SOURCE: | La Fayette (Mme de), Princesse de Clèves (La). Paris: Garnier, 1961.dans Romans et Nouvelles, édition d\'Émile Magne |
CHERCHEUR/E: | Balogh A. |
OCCURRENCE: | 104284 accreditee |
CONTEXTE: | L'Amant de Julie est conduit, sans le savoir, chez des femmes de petite vertu. Après l'aveu de son crime, il exprime des regrets. |
COTEXTE ET CITATION: | J'ai fini ce récit affreux ; qu'il ne souille plus tes regards ni ma mémoire. Ô toi dont j'attends mon jugemnt, j'implore ta rigueur, je la mérite. Quel que soit mon châtiment, il me sera moins cruel que le souvenir de mon crime. |
NOTES: | Tome I, page 360. |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
CHERCHEUR/E: | Dhifaoui. |
OCCURRENCE: | 102966 accreditee |
CONTEXTE: | La mort d'un comte donne la chance à un marquis d'épouser la comtesse. |
COTEXTE ET CITATION: | "Une maladie violente emporte le comte en quatre jours. Le marquis revient et, après l'aveu favorable qu'on lui a fait, il ne doute point qu'on ne soit disposé à le rendre heureux." |
NOTES: | [(Page) 470] |
SOURCE: | Achille Tatius, Leucippé et Clitophon. Belles Lettres,J.P. Garnaud: Paris, 2001. |
CHERCHEUR/E: | Haun N. |
OCCURRENCE: | 103256 accreditee |
CONTEXTE: | La princesse vient de donner un hommeur à Mériante; elle exige de lui des faveurs en retour. |
COTEXTE ET CITATION: | "<CITATION> C'est à mon coeur, Mériante, que vous devez ce que vous êtes aujourd'hui. Après cet aveu que mon rang me permet de faire, vous jugez aisément du prix que je vous demande CITATION>." |
NOTES: | [(Page& Partie) 157, III] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 102968 accreditee |
CONTEXTE: | Une comtesse renonce par vertu à épouser le marquis qui l'aime. |
COTEXTE ET CITATION: | Le marquis revient et, après l'aveu favorable qu'on lui a fait, il ne doute point qu'on ne soit disposé à le rendre heureux, mais la comtesse se sacrifie à la sévérité de sa vertu. |
NOTES: | [(Page) 470] |
SOURCE: | Achille Tatius, Leucippé et Clitophon. Belles Lettres,J.P. Garnaud: Paris, 2001. |
CHERCHEUR/E: | Haun N. |
OCCURRENCE: | 102962 accreditee |
CONTEXTE: | Après l'aveu que lui a fait sa femme de l'inclination qu'elle ressent pour le marquis, le comte, son mari, commence une autre relation amoureuse. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle lui avoue qu'avant qu'il l'eût jamais vue, ni qu'elle pût croire qu'il dût être un jour son mari, elle avait senti pour le marquis un penchant qui lui avait souhaiter que son père se voulût déclarer pour lui. [...] <CITATION>Le comte, tout charmé qu'il est de l'extraordinaire vertu de sa femme, devient amoureux d'une belle qui se fait honneur de sa conquête CITATION>. |
NOTES: | [(Page) 467-68] |
SOURCE: | Achille Tatius, Leucippé et Clitophon. Belles Lettres,J.P. Garnaud: Paris, 2001. |
CHERCHEUR/E: | Haun N. |
OCCURRENCE: | 100882 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | "Qu'on est à plaindre, nous dit-il, d'être le jouet de ses esclaves (...). A force de supplices je viens d'arracher de lui une horrible confession. Je ne lui ai conservé la vie que pour lui faire recommencer l'aveu de son crime à vos yeux" (p. 97). "Cette artificieuse esclave espéra pendant quelques moments de me tromper par des impostures" (p.180). |
NOTES: | [(Page) 97, 180 GF] Voir aussi p. 122, 222 |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire d'une grecque moderne. Desbordes/Didot: Amsterdam / Paris, 1740.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Vergnes S., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103178 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Il jugera tout d'un coup qu'en déclarant (les faits) avec cette franchise, j'étais sûr d'en effacer bientôt l'impression par un autre aveu. "Je ne fais cette question que pour avoir l'occasion de répondre qu'on me trouvera aussi sincère dans mes doutes et dans mes soupçons que je l'ai été dans mes éloges." |
NOTES: | [(Page) 55, 236 GF] |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire d'une grecque moderne. Desbordes/Didot: Amsterdam / Paris, 1740.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Marsal H., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100382 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | A mesure qu'elle s'avançait vers moi, je sentais mon trouble augmenter et ma timidité renaître. |
NOTES: | [(Page) 101 Folio] Voir aussi: amour rend femme timide muet, Les Egarements (En parlant de Mme de Lursay) "Les conquêtes les plus méprisables sont quelquefois celles qui coûtent le plus de soin; et l'hypocrisie montre souvent plus de scrupules que la vertu même". Cette sentence du narrateur vient juste après l'aveu d'amour que vient de faire Mme de Lursay: "le premier de cette nature que j'aie fait de ma vie". Folio p. 111 (Weil M.) |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | SB200088 ACCREDITEE |
CONTEXTE: | "[...]le plus cruel pour moi serait que madame de Suffolk pût penser que je l'ai vue sans émotion ... et qu'il me fût toujours défendu de lui dire ce que je n'ose à présent lui prononcer. |
COTEXTE ET CITATION: | Dans une lettre à la duchesse de Suffolk, Lord Chester fait un aveu ambigu, évoquant la duchesse à la troisième personne. La duchesse comprend qu'elle est aimée et Chester ne la dissuade pas de cette conviction. Une fois amoureuse, Mme de Suffolk devient faible et plus facile à manipuler. |
NOTES: | Édition avec Introduction de Jean DAGEN, Paris, Desjonquères, 1995, p. 105. Lord Chester promet d'épouser Mme de Suffolk. Il faudrait chercher la citation. |
ANNOTATION: | ACCREDITATION |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Heureux orphelin (Les). [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |
OCCURRENCE: | 305336 accreditee |
CONTEXTE: | Après l’aveu de son amour à St. Preux, Julie en détermine les balises. |
COTEXTE ET CITATION: | Défaites-vous donc de l’espoir, si vous l’eûtes jamais, de vous faire un bonheur exclusif, et de l’acheter aux dépends du mien. N’espérez pas pouvoir être heureux si j’étais déshonorée, ni pouvoir d’un œil satisfait contempler mon ignominie et mes larmes. |
NOTES: | T. I, p. 99. Ce n’est que la première des leçons d’éthique amoureuse prodiguées par Julie et sur lesquelles se construit le texte. |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305339 accreditee |
CONTEXTE: | St. Preux fait l’aveu de son amour à Julie. |
COTEXTE ET CITATION: | Cependant je languis et me consume ; le feu coule dans mes veines ; rien ne saurait l’éteindre ni le calmer, et je l’irrite en voulant le contraindre. Je dois être heureux, je le suis, j’en conviens ; je en me plains point de mon sort ; tel qu’il est je n’en changerais pas avec les Rois de la terre. Cependant un mal réel me tourmente, je cherche vainement à le fuir ; je ne voudrais point mourir, et toutefois je me meurs ; je voudrais vivre pour vous, et c’est vous qui m’ôtez la vie. |
NOTES: | T. I, p. 98 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305361 accreditee |
CONTEXTE: | Julie a souffert d’une attaque de petite vérole, mais n’est pas restée vraiment défigurée. |
COTEXTE ET CITATION: | Ils ne sont plus, ces agréments de mon visage que mon cœur a payés si cher : La maladie m’en a délivrée. Cette heureuse perte ralentira l’ardeur grossière d’un homme assez dépourvu de délicatesse pour m’oser épouser sans mon aveu. |
NOTES: | T. II, p. 40 : par contre St. Preux est resté lui « fort marqué ». |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305362 accreditee |
CONTEXTE: | Julie avoue à M. de Wolmar les sentiments qui la lient à St. Preux. |
COTEXTE ET CITATION: | Tu sais avec quelle indulgence M. de Wolmar reçut l’aveu tardif que ce retour imprévu me força de lui faire. Tu vis avec quelle douceur il sut essuyer mes pleurs et dissiper ma honte. |
NOTES: | T. II, p. 42. Il ne s’agit pas d’infidélité physique, mais d’une ambiguïté certaine au plan des sentiments. |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |