OCCURRENCE: | 104284 accreditee |
CONTEXTE: | L'Amant de Julie est conduit, sans le savoir, chez des femmes de petite vertu. Après l'aveu de son crime, il exprime des regrets. |
COTEXTE ET CITATION: | J'ai fini ce récit affreux ; qu'il ne souille plus tes regards ni ma mémoire. Ô toi dont j'attends mon jugemnt, j'implore ta rigueur, je la mérite. Quel que soit mon châtiment, il me sera moins cruel que le souvenir de mon crime. |
NOTES: | Tome I, page 360. |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
CHERCHEUR/E: | Dhifaoui. |
OCCURRENCE: | 100246 accreditee |
CONTEXTE: | La Rancune importune son compagnon de lit en lui demandant le pot, puis il le compisse et l'accuse d'avoir souillé le lit dont il profite seul ensuite. |
COTEXTE ET CITATION: | La Rancune faisant semblant de vouloir remettre le pot de chambre à terre, lui laissa tomber et le pot de chambre et tout ce qui était dedans sur le visage, sur la barbe et sur l'estomac. |
NOTES: | [(Partie & Page) I,VI,77-79] |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305344 accreditee |
CONTEXTE: | Au cours de son séjour à Paris, St. Preux se laisse entraîner par quelques officiers et d’autres jeunes gens, dans une maison de prostitution où il se laisse enivrer et s’abandonne dans les bras d’une de ces « créatures ». |
COTEXTE ET CITATION: | J’ai fini ce récit affreux ; qu’il ne souille plus tes regards ni ma mémoire. Ô toi dont j’attends mon jugement, j’implore ta rigueur, je la mérite. Quel que soit mon châtiment, il me sera moins cruel que le souvenir de mon crime. |
NOTES: | T. I, p. 359 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305353 chantier |
CONTEXTE: | Julie se résigne à épouser M. de Wolmar en dépit de son amour pour St. Preux. |
COTEXTE ET CITATION: | Le jour qui devait m’ôter pour jamais à vous et à moi me parut le dernier de ma vie. J’aurais vu les apprêts de ma sépulture avec moins d’effroi que ceux de mon mariage. Plus j’approchais du moment fatal, moins je pouvais déraciner de mon cœur mes premières affections ; elles s’irritaient par mes efforts pour les éteindre. Enfin, je me lassai de combattre inutilement. Dans l’instant même où j’étais prête à jurer à un autre une éternelle fidélité, mon cœur vous jurait encore un amour éternel, et je fus menée au Temple comme une victime impure, qui souille le sacrifice où on va l’immoler. |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |