OCCURRENCE: | 102960 accreditee |
CONTEXTE: | Le marquis, amoureux d'une comtesse mariée, entend par hasard, d'une pièce à côté, que son amour est partagé. |
COTEXTE ET CITATION: | "Après s'être lassé à se promener longtemps seul dans un bois voisin, [le marquis] s'était venu enfermer dans un cabinet où il y avait un lit de repos, le comte entra dans la chambre de sa femme qu'une seule cloison séparait [...]. <CITATION>Elle lui [le mari] avoue qu'avant qu'il l'eût jamais vue, ni qu'elle pût croire qu'il dût être un jour son mari, elle avait senti pour le marquis un penchant qui lui avait fait souhaiter que son père se voulût déclarer pour lui. [...]Qu'elle fut la joie du marquis d'entender une déclaration si favorable CITATION>. |
NOTES: | [(Page) 467-68] |
SOURCE: | Achille Tatius, Leucippé et Clitophon. Belles Lettres,J.P. Garnaud: Paris, 2001. |
CHERCHEUR/E: | Haun N. |
OCCURRENCE: | 305402 accreditee |
CONTEXTE: | Madamme de Clèves a honte d'entendre raconter par la Dauphine, en présence de monsieur de Nemours, l'histoire de l'aveu de son amour pour lui. |
COTEXTE ET CITATION: | Mme de Clèves ne fit pas semblant d'entendre M. de Nemours; elle le quitta sans le regarder (...). Madame de Clèves était à la dernière épreuve de sa force et de son courage et, ne pouvant plus soutenir la conversation, elle allait dire qu'elle se trouvait mal, lorsque, par bonheur pour elle, la duchesse de Valentinois entra [...] Elle s'embarrassa dans sa robe et fit un faux pas: elle se servit de ce prétexte pour sortir d'un lieu où elle n'avait pas la force de demeurer et, feignant de ne se pouvoir soutenir, elle s'en alla chez elle. |
NOTES: | Pages 347-348. |
SOURCE: | La Fayette (Mme de), Princesse de Clèves (La). Paris: Garnier, 1961.dans Romans et Nouvelles, édition d\'Émile Magne |
CHERCHEUR/E: | Balogh A. |
OCCURRENCE: | 103678 accreditee |
CONTEXTE: | La scène de l'execution d'un rebelle. |
COTEXTE ET CITATION: | "Picrochole soudain entra en fureur, et voyant l'épée et fourreau tout diapré, dit: Te avait-on donné ce bâton, pour en ma présence tuer malignement mon tant bon ami Hastiveau? Adoncques commanda à ses archers qu'ils le missent en pièces. Ce que fut fait sus l'heure, tant cruellement que la chambre était toute pavée de sang". |
NOTES: | [(Page & Chapitre & Li) 233, XLV, 53-57] |
SOURCE: | Rabelais, Gargantua. La vie inestimable du grand Gargantua.... Paris: Classique Modernes- Le Livre de poche, 1994. |
CHERCHEUR/E: | Garand D. |
OCCURRENCE: | 102658 accreditee |
CONTEXTE: | Dom Carlos est accusé par les parents de Sophie, dont une lettre dit qu'elle apris la fuite avec lui, de la disparition de leur fille. |
COTEXTE ET CITATION: | La Justice entra dans ma chambre et me trouva endormy. [...]après qu'on m'eut demandé ou estoit Sophie, je demanday aussi où elle estoit, mes parties s'en irriterent et me firent conduire au prison avec une extreme violence. |
NOTES: | [(Partie & Page) 2, 747] Récit au 3e degré dans "le juge de sa propre cause". |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Riou D. |
OCCURRENCE: | 103762 accreditee |
CONTEXTE: | Les habitants de Lerne convoques par Picrochole pour assaillir les bergers de Gargantua. |
COTEXTE ET CITATION: | "Lequel [Picrochole] incontinent entra en courroux furieux, et sans plus outre se interroger quoi ne comment, fit crier par son pays ban et arrierre ban, et que un chacun sur peine de la hart, convint en armes en la grand place, devant le château, à heure de midi [...]". |
NOTES: | [(Page & Chapitre & Li) 135, XXIIII, 8-15] Il faut noter que non seulement le projet de Gerroyer constitue une violence, mais également la maniere d'assembler les troupes (contrainte) ainsi que la passion qui détermine l'action (colère). |
SOURCE: | Rabelais, Gargantua. La vie inestimable du grand Gargantua.... Paris: Classique Modernes- Le Livre de poche, 1994. |
CHERCHEUR/E: | Garand D. |
OCCURRENCE: | 104682 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | 'En passant un petit bois, il entra un Scorpion dans la littiere qui la [Mme de Sauve] piqua...mais comme Madame de Sauve ignoroit la maniere de se parer de leur venin, elle crut d'abord cette piqueure mortelle...le Seigneur d'un Château voisin...guerit Madame de Sauve avec de l'huile de l'animal dont elle avoit été picquée» |
NOTES: | [(Page & Tome) 187, 3] Cie des Libraires p.149-50 |
SOURCE: | Choisy (Abbé François de), Histoire de la marquise-marquis de Banneville. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 100848 accreditee |
CONTEXTE: | La servante dénonce à sa maîtresse les assiduités du mari; l'épouse le confond au cours d'un rendez-vous truqué. (mais ce n'est pas une substitution nocturne). |
COTEXTE ET CITATION: | "Et arriva à si bonne heure, qu'elle entra par une aultre porte en la chambre où son mary ne faisoit que arriver, et, se cachant derriere l'huys, escoutant les beaulx et honnestes propos que son mary tenoit à sa chamberiere. Mais quand elle veid qu'il approchoit du criminel, le print par derriere, en luy disant : "Je suis trop près de vous, pour en prendre une aultre." Si le gentil homme fut courroucé jusques à l'extrémité, il ne le fault demander, tant pour la joye qu'il esperoit recepvoir et s'en veoir frustré, que de veoir sa femme le congnoistre plus qu'il ne le vouloit." |
NOTES: | [(Page) 363 59e journée] |
SOURCE: | Navarre (Marguerite de), Heptaméron. Paris: Classiques Garnier, 1950.Édition de Michel François |
CHERCHEUR/E: | Bideaux M. |
OCCURRENCE: | 104264 accreditee |
CONTEXTE: | Le père de Julie s'emporte contre sa fille et sa femme. Il déclare qu'il n'acceptera pas pour gendre un homme tel que son Maître d'Etudes et lui défend de le voir et de lui parler. |
COTEXTE ET CITATION: | Hier une heure après notre retour, mon père entra dans la chambre de ma mère, les yeux étincelants, le visage enflammé ; dans unn état en un mot où je ne l'avais jamais vu. Je compris d'abors qu'il venait d'avoir querelle ou qu'il allait la chercher, et ma conscience agitée me fit trembler d'avance. |
NOTES: | Tome I, p. 226 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
CHERCHEUR/E: | Dhifaoui. |
OCCURRENCE: | 100238 accreditee |
CONTEXTE: | M. de G...M... s'est aperçu qu'il a été dupé par Manon et des Grieux. Il se venge en les faisant enlever de force. |
COTEXTE ET CITATION: | "Nous étions encore au lit, lorsqu'un exempt de police entra dans notre chambre avec une demi-douzaine de gardes [..] Il nous conduisirent à la porte, où nous trouvâmes deux carosses, dans l'un desquels la pauvre Manon fut enlevée sans explication, et moi traîné dans l'autre à Saint-Lazarre [...] Ma malheureuse maîtresse fut donc enlevée à mes yeux." |
NOTES: | Dans les Classiques Garnier 78-79 [1965] |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut. Garnier/Deloffre-Picard: Paris, 1990. |
CHERCHEUR/E: | Marsal H., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100456 accreditee |
CONTEXTE: | Le fracas de l'entrée annonce la fin brutale des illusions qu'a le narrateur au sujet de Mme de Lursay. |
COTEXTE ET CITATION: | <CITATION>Il entra avec fracas, fit à Madame de Meilcour une révérence distraite, à moi, une moins ménagée encoreCITATION>. |
NOTES: | [(Page) 134 Folio] |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Egarements du coeur et de l. Prault,Gosse et Néaulme: Paris, La Haye, 1736-38.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 105322 accreditee |
CONTEXTE: | Un chevalier blessé qui veut demander secours à la reine, réputée pour sa charité envers les démunis, la surprend dans les bras de son chevalier féerique. |
COTEXTE ET CITATION: | "L'uis de la chambre ou ele gist trova overt, dedenz se mist. <CITATION>Lez la roïne vit celui dont il ot puis ire e ennui; entre ses braz la dame tint,CITATION> dont s'en ala, puis ne revint. Il trouva ouverte la porte de la chambre où elle couchait et entra. Il vit alors près de la reine celui qui fut plus trad la source de ses ennuis et de ses trouments ; il tenait la dame dans ses bras, puis il s'en alla pour ne plus jamais revenir. |
NOTES: | [(Vers & Page) Pp. 162-165, vv. 209-214. |
SOURCE: | Paris: Garnier-Flammarion, 1992.Édition et traduction par Alexandre Micha |
CHERCHEUR/E: |
OCCURRENCE: | 100962 accreditee |
CONTEXTE: | C'est par Mme de Sénanges qu'on voit Meilcour pour la première fois apparaître dans un bal, donc dans la vie mondaine. |
COTEXTE ET CITATION: | Tout entier à ma tristesse, à peine la remarquai-je quand elle [Mme de Senanges] entra: il n'en fut pas d'elle ainsi, elle me saisit d'abord, et ses yeux s'étaient promenés sur toute ma personne, avant que j'eusse seulement entrevu la sienne. [...] En me parlant, elle ne me perdait pas de vue; et l'expression qu'elle mettait dans ses regards était si marquée, que, tout ignorant que j'étais encore, il ne me fut pas possible de m'y tromper. "Madame de Senanges à qui, comme on le verra dans la suite, j'ai eu le malheur de devoir mon éducation était une de ces femmes philosophes, pour qui le public n'a jamais rien été; toujours au-dessus du préjugé, et au-dessous de tout; plus connues encore dans le monde par leurs vices que par leur rang. |
NOTES: | [(Partie & Page) 1, 144-145] |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Egarements du coeur et de l. Prault,Gosse et Néaulme: Paris, La Haye, 1736-38.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 101144 accreditee |
CONTEXTE: | Dupuis a piégé son frère et sa mère qui le lui donne toujours en exemple de conduite à suivre. |
COTEXTE ET CITATION: | Un moment après ma mère entra toute bouffie, et mon frère qui la suivait, était dans une telle confusion que je n'en eus aucun doute. En effet elle l'avait trouvé sur les genoux d'une dona, dont il tenait le sein d'une main et un verre de l'autre. |
NOTES: | P. 449. |
SOURCE: | Challe Robert, Illustres Françaises (Les). Genève: Droz, 1991.Edition Frédéric Deloffre et Jacques Cormier |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 100164 accreditee |
CONTEXTE: | Des amants (Manon et Des Grieux) sont surpris prêts à se mettre au lit. Cependant, ce n'est pas le hasard qui a fait venir le vieux G...M... : il veut savoir ce qu'est devenu son fils. |
COTEXTE ET CITATION: | J'allais me mettre au lit, lorsqu'il arriva. La porte de la chambre étant ferméee, je n'entendis point frapper à celle de la rue; mais il entra suivi de deux archers, et s'étant informé de ce qu'était devenu son fils, il lui prit envie de voir sa maîtresse, pour tirer d'elle quelque lumière. Il monte à l'appartement, toujours accompagné de ses archers. Nous étions prêts à nous mettre au lit. Il ouvre la porte et il nous glace le sang par sa vue. " Oh! Dieu c'est le vieux G...M..., dis-je à Manon." |
NOTES: | [( Page & Partie) II, 152] Cette arrestation a été précédée d'une autre, dans la première partie (p. 78). G...M... avait alors pris la résolution de faire arrêter Manon et Des Grieux et de les traiter "moins comme des criminels que comme des fieffés libertins." (p. 78 GF) |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut. Garnier/Deloffre-Picard: Paris, 1990. |
CHERCHEUR/E: | Baider F., Marsal H., Weil M. |
OCCURRENCE: | 102488 accreditee |
CONTEXTE: | Informé par la médisance de Frosie, le mari d'Halila voit celle-ci en compagnie de Frédelingue. Fou de jalousie, il blesse Frédelingue d'un coup de sabre. |
COTEXTE ET CITATION: | L'époux de Halila poussa la porte avec fureur et entra le sabre à la main. Halila fit un cri effrayant et se déroba à la fureur de son mari en passant avec précipîtation dans l'autre chambre. Je n'eus pas la même précaution ; la surprise où je me trouvai glaça mes sens et je songeai à me retirer aussi, quand il me déchargea un coup de sabre sur la tête. |
NOTES: | [(Page& Partie) 225, IV] La jalousie est mal fondée. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 200141 accreditee |
CONTEXTE: | Le valet d'un muletier tente de violer la femme de son maître mais elle se défend jusqu'à la mort, ce qui n'empêche pas le méchant d'outrager le cadavre. |
COTEXTE ET CITATION: | Ainsi que la pauvre femme était à son premier sommeil, entra le valet par l'ais qu'il avait rompu dedans son lit, tout en chemise, l'épée nue en sa main. Mais, aussitôt qu'elle le sentit près d'elle, saillit dehors du lit, en lui faisant toutes les remontrances qu'il fut possible à femme de bien. Et lui, [...] en voyant qu'elle courait si tôt à l'entour d'une table et qu'il ne la pouvait prendre, et qu'elle était si forte que, par deux fois, elle s'était défaite de lui, désespéré de jamais ne la pouvoir ravoir vive, lui donna si grand coup d'épée par les reins, pensant que, si la peur et la force ne l'avait pu faire rendre, la douleur le ferait. |
NOTES: | Nouvelle 2, pp. 57-58. |
SOURCE: | Navarre (Marguerite de), Heptaméron. Flammarion: Paris, 1982. |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |
OCCURRENCE: | SB202685 ACCREDITEE |
CONTEXTE: | Enfin l'intrigue dura jusqu'à ce que <citation>le Mari de la Dame ayant surpris, je ne sçai comment de ses Lettres avec les réponses que je lui faisois de ma propre maincitation>, il entra en une extréme jalousie, et donna ordre de nous épier. |
COTEXTE ET CITATION: | Le mari de la Marquise, trompée par Englesac et Sylvie, intercepte des lettres compromettantes. |
NOTES: | 107 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mmoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305093 accreditee |
CONTEXTE: | Le roi de Hongrie, furieux que sa fille se soit mutilée pour échapper au mariage incestueux auquel il veut la forcer, la condamne à être brûlée. |
COTEXTE ET CITATION: | Il entra dans une si grande fureur quand il vit lui échapper l'objet de son désir, qu'il ordonna à ses gardes de se saisir de sa fille et de la jeter dans un cahot inconfortable où la lumière pénétrait à peine ; puis prenant Dieu à témoin, il jura qu'elle serait brûlée le lendemain. |
NOTES: | [(Page ) 48-49] |
SOURCE: | Remi (Philippe de), Manekine (La). trad. Christiane Marchello-Nizia, Stock: 1980. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305523 accreditee |
CONTEXTE: | Alexis qui a donné tous ses biens aux pauvres, en est réduit à mendier parmi eux. |
COTEXTE ET CITATION: | Quant sun aver lur ad tot departit, entra les povres se sist danz Alexis, Reçut l’almosne quant Deus la li tramist : Tant an retint dunt ses cors puet guarir, Se lui’n remaint, sil rent as poverins. |
NOTES: | P. 170, v. 96-100. |
SOURCE: | Anonyme, Vie de saint Alexis. Genève: Droz, 2000.Édition de Maurizio Perugi. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305542 accreditee |
CONTEXTE: | La princesse fuit la présence de Nemours qu'elle croit avoir vu par la fenêtre du pavillon à Coulommiers. |
COTEXTE ET CITATION: | ...elle entra dans le lieu où étaient ses femmes. Elle y entra avec tant de trouble, qu'elle fut contrainte pour le cacher, de dire qu'elle se trouvait mal. |
NOTES: | P. 368 |
SOURCE: | La Fayette (Mme de), Princesse de Clèves (La). Paris: Garnier, 1961.dans Romans et Nouvelles, édition d\'Émile Magne |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305900 accreditee |
CONTEXTE: | Socion à qui le père de Metrodore avait voulu marier sa fille entre au couvent à la suite du suicide de celle-ci qui a rejoint dans la mort Volcace, l’homme qu’elle aime. |
COTEXTE ET CITATION: | Quant à Socion il r’entra dans sa premiere humeur, & s’imaginant que sa recherche qui avoit traversé les chastes affections de ces amants estoit cause de tant de morts & de pitoyables succés il choisit la mort civile, se jettant dedans le cloistre, qui est le vray tombeau des personnes vivantes. |
NOTES: | Page 411. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305706 accreditee |
CONTEXTE: | Fiammette tombe amoureuse de Pamphile |
COTEXTE ET CITATION: | Estant donc, comme je devois contente d’un tel mary, je demouray tresheureuse, jusques à ce que l’Amour furieux, au moyen d’un feu que je n’avois onques senty, entra en ma jeune fantasie. |
NOTES: | La Fiammette amoureuse de M. Jean Boccace gentilhomme florentin : contenant, d'une invention gentile, toutes les plainctes et passions d'amour. Faicte françoise et italienne pour l'utilité de ceux qui désirent apprendre les deux langues par G. C. D. T. [Gabriel Chappuis, de Tours], Paris, Abel L'Angelier, 1585, pp. 4-5 |
SOURCE: | Chappuis Gabriel, La Fiammette amoureuse de M. Jean Boccace gentilhomme florentin. Paris: Abel L'Angelier, 1585. |
CHERCHEUR/E: | Duché, Véronique |