OCCURRENCE: | 102960 accreditee |
CONTEXTE: | Le marquis, amoureux d'une comtesse mariée, entend par hasard, d'une pièce à côté, que son amour est partagé. |
COTEXTE ET CITATION: | "Après s'être lassé à se promener longtemps seul dans un bois voisin, [le marquis] s'était venu enfermer dans un cabinet où il y avait un lit de repos, le comte entra dans la chambre de sa femme qu'une seule cloison séparait [...]. <CITATION>Elle lui [le mari] avoue qu'avant qu'il l'eût jamais vue, ni qu'elle pût croire qu'il dût être un jour son mari, elle avait senti pour le marquis un penchant qui lui avait fait souhaiter que son père se voulût déclarer pour lui. [...]Qu'elle fut la joie du marquis d'entender une déclaration si favorable CITATION>. |
NOTES: | [(Page) 467-68] |
SOURCE: | Achille Tatius, Leucippé et Clitophon. Belles Lettres,J.P. Garnaud: Paris, 2001. |
CHERCHEUR/E: | Haun N. |
OCCURRENCE: | 305400 accreditee |
CONTEXTE: | Yseut meurt de douleur sur le corps de Tristan. |
COTEXTE ET CITATION: | Amis, Tristan, quant mort vus vei, Par reisun vivre puis ne dei. Mort estes pur la meie amur, E jo muer, amis, de tendrur, Quant a tens ne poi venir. Ami, en vous voyant mort, je ne peux ni ne dois souhaiter vivre. Vous êtes mort par amour pour moi et je meurs de tendresse pour vous, mon ami, parce que je n'ai pu arriver à temps. |
NOTES: | P. 478-479, vv. 1813-1817. |
SOURCE: | Thomas, Roman de Tristan. Lettres Gothiques/Librairie Générale Fr.: 1989.ms Douce, Bibl. Bodléienne d\'Oxford |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 102956 accreditee |
CONTEXTE: | Le personnage féminin touche le coeur, non par sa richesse et sa beauté, mais par son mérite. |
COTEXTE ET CITATION: | C'est assurément beaucoup qu'être riche et de naissance pour s'attirer force protestants, mais quand elle n'aurait point eu ces avantages, son mérite aurait suffi pour la faire aimer. C'est peu de dire qu'on ne pouvait découvrir en elle aucune mauvaise qualité, elle avait toutes celles qu'on peut souhaiter dans une personne toute accomplie. Elle était belle sans fierté, civile sans abaissement, spirituelle sans affectation, complaisante sans contrainte et il y avait un je ne sais quel charme de douceur répandu dans toutes ses manières qui touchait le coeur dès qu'on la voyait. |
NOTES: | Page 463. |
SOURCE: | Achille Tatius, Leucippé et Clitophon. Belles Lettres,J.P. Garnaud: Paris, 2001. |
CHERCHEUR/E: | Haun N., Ramsthaler S. |
OCCURRENCE: | 102962 accreditee |
CONTEXTE: | Après l'aveu que lui a fait sa femme de l'inclination qu'elle ressent pour le marquis, le comte, son mari, commence une autre relation amoureuse. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle lui avoue qu'avant qu'il l'eût jamais vue, ni qu'elle pût croire qu'il dût être un jour son mari, elle avait senti pour le marquis un penchant qui lui avait souhaiter que son père se voulût déclarer pour lui. [...] <CITATION>Le comte, tout charmé qu'il est de l'extraordinaire vertu de sa femme, devient amoureux d'une belle qui se fait honneur de sa conquête CITATION>. |
NOTES: | [(Page) 467-68] |
SOURCE: | Achille Tatius, Leucippé et Clitophon. Belles Lettres,J.P. Garnaud: Paris, 2001. |
CHERCHEUR/E: | Haun N. |
OCCURRENCE: | 200090 accreditee |
CONTEXTE: | Lord Chester s'est servi de la tactique de provoquer de la jalousie pour manipuler et séduire la prude Mme de Rindsey. Mme de Rindsey révèle qu'elle n'est pas indifférente à la ruse de Chester, bien qu'elle nie toujours sa passion. |
COTEXTE ET CITATION: | Que vous ai-je fait pour me souhaiter à la fois deux malheurs aussi grands que l'amour et la jalousie ? |
NOTES: | Édition avec Introduction de Jean DAGEN, Paris, Desjonquères, 1995, p. 240. |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Sylphe (Le). L.D. Delatour: Paris, 1730.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |