OCCURRENCE: | TT101322 CHANTIER |
CONTEXTE: | " [le roi] s'évanouit à plusieurs reprises", "'éclate en plaintes et lamentations","'manifeste une profonde douleur" |
COTEXTE ET CITATION: | Le roi inconsolable à la mort de sa femme s'évanouit à plusieurs reprises |
SOURCE: | Beaumanoir Philippe de, Manekine (La). [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Weil M., Bosson I. |
OCCURRENCE: | TT102342 CHANTIER |
CONTEXTE: | "Loin de saluer celui qu'il ne reconnaissait pas, il le frappa si violemment d'une lance solide et bien trempée qu'il lui transperça l'écu et le haubert et lui enfonça dans le côté droit le fer de son arme, lui faisant une plaie large et profonde. Il arriva avec un tel élan, bien assuré sur ses arçons, qu'il heurta son adversaire avec une force incroyable, le jetant à terre de sa monture, tandis que dans la chute sa lance se brisait. Mais Lancelot ne resta pas longtemps dans cette posture, car il avait un cheval puissant, rapide et léger; en dépit de la plaie qu'il venait de recevoir, il se releva rapidement et remonta sur son cheval, en proie à une souffrance qui le mettait en sueur [...]". |
NOTES: | [(Page & Paragraphe) 57, 19] |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Conte du Graal. Lecoy/Champion: Paris, 1975. |
CHERCHEUR/E: | Michel B., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305720 accreditee |
CONTEXTE: | Rigobert qui a pris sur le fait sa femme en compagnie de son amant de venge d'une façon particulièrement cruelle. |
COTEXTE ET CITATION: | Après avoir donc coupé à ce misérable jeune homme le nez, les oreilles, les extrémités des pieds et des mains et ce qui le rendait homme, il lui donne plus de cinquante coups de dasgue devant que de le favoriser de celui de la mort. […] Il la fit traîner ainsi garottée dans une cave profonde où il la laissa mourir . |
NOTES: | Pages 67-68. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305372 accreditee |
CONTEXTE: | Sur ordre d’Astrée, Céladon a été exilé dans une profonde forêt du Forez. |
COTEXTE ET CITATION: | Enfin il (Céladon) fut contraint de recourre aux herbes et aux racines plus tendres, et par bon rencontre il se trouva qu’assez prêt de là il y avait une fontaine, fort abondante en cresson, qui fut son vivre plus assuré et plus délicieux. |
NOTES: | P. 117-118. |
SOURCE: | Urfé Honoré d, Astrée. Paris: Gallimard. Folio, 1984.Édition de Jean Lafond |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305455 accreditee |
CONTEXTE: | Le gardien du Gué Périlleux, vaincu par le Bel Inconnu, est épargné par ce dernier à condition qu’il aille se constituer prisonnier à la cour d’Arthur. L’épisode se répètera à plusieurs reprises au long du roman (p. 37, 45, 55, 155, 160). Test du respect de la parole donnée, il sert aussi à rendre compte devant les pairs de la prouesse du héros. |
COTEXTE ET CITATION: | Trop fu navrés ; molt li escrie Que por Diu laist que ne l’ocie Et il fera tot son talent, Ja ne passera son comant. “Se tu vels, prison m’averos, Et de par moi pris averois. Ens en la cort Artus le roi, A lui irés de par moi”. Sa blessure est trop profonde, il le supplie, au nom de Dieu, de ne pas le tuer : il fera tout ce qu’il voudra, il n’enfreindra jamais ses ordres. “Si tu le voulais bien, je serai ton prisonnier et tu en serais un homme d’autant plus considéré. -- Bien, répondit le jeune homme, vous allez vous rendre à la cour du roi Arthur de ma part.” |
NOTES: | P. 15, v. 475-482 ; trad. p. 29. |
SOURCE: | Renaud de Beaujeu, Le Bel Inconnu. Champion: Paris, 1983.Edition G. Perrie Williams ; traduction par Michelle Perret et Isabelle Weill, Paris, Champion, 1991. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305653 accreditee |
CONTEXTE: | Le duc Hervis de Metz épouse Aélis de Cologne, grâce à l’abbé de Gorge qui lui a trouvé une femme. |
COTEXTE ET CITATION: | A molt grant joie li vassax l’esposa. Premiere nuit que avec li coucha, L’ore fu bone, c’un enfant engendra. Garins ot nom, einsint l’en apela: Avec une joie très profonde, le jeune duc l’épousa. Lors de leur nuit de noces – le moment était favorable – il engendra un fils. On l’appela Garin, tel fut son nom. |
NOTES: | P. 87, laisse 18, vers 784-787. |
SOURCE: | Anonyme, Garin le Lorrain. Paris: H. Champion, 1996-97.Anne Iker-Gittleman, éditrice Trad.: Bernard Guidot, Garin le Lorrain, Nancy, Presses Universitaires, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |