OCCURRENCE: | 102720 accreditee |
CONTEXTE: | Un aristocrate puis un jeune jacobin parlent. |
COTEXTE ET CITATION: | "Si vous voulez me rendre service et expier en partie le mal que vous nous avez fait, écrivez chez moi,<CITATION> qu'on fasse un grand feu de tous les livres modernes qui ont pu s'y introduireCITATION>; [...] et que rien de ce qui sentira la damnable philosophie de ce siècle ne soit épargné." "Jette loin de moi ces romans de qualité [...]. Je dédaigne encore plus ces romans libertins, [...]. <CITATION>Il faudrait brûler tout cela."CITATION> |
NOTES: | [(Page& Tome& Lettre) 437, 468, 8, VII, XXII] |
SOURCE: | Retif de la Bretonne, Le paysan parvenu. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Chabut M. |
OCCURRENCE: | TT103408 CHANTIER |
CONTEXTE: | "Ce soir-là à la fin du récit, Curval a fait chier Zelmire le matin, le duc lui demande de la merde. Elle ne peut; on la condamne sur-le-champ à avoir le cul piqué avec une aiguille d'or, jusqu'à ce que la peau soit tout inondée de sang, et comme c'est le duc qui est lésé par ce refus, c'est lui qui opère". |
NOTES: | [(Page & Tome & Partie) 265-6, 2, 4] Le 9 février Zelmire est la seconde femme de Curval; ce sera aussi la deuxième des filles du sérail à être massacrée, après Augustine (la seconde épouse du duc de Blangis). Rappelons que Julie (la première à avoir été associée à la figure, fille de Blangis et première épouse du président de Curval) sera la seule sujette à échapper aux passions meurtrières des libertins. Toute une ordonnance est donc mise en place à travers la récurrence du topos. |
SOURCE: | Sade (Marquis de), Cent vingt journées de Sodome (Les)ou l. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Martin C. |
OCCURRENCE: | 100164 accreditee |
CONTEXTE: | Des amants (Manon et Des Grieux) sont surpris prêts à se mettre au lit. Cependant, ce n'est pas le hasard qui a fait venir le vieux G...M... : il veut savoir ce qu'est devenu son fils. |
COTEXTE ET CITATION: | J'allais me mettre au lit, lorsqu'il arriva. La porte de la chambre étant ferméee, je n'entendis point frapper à celle de la rue; mais il entra suivi de deux archers, et s'étant informé de ce qu'était devenu son fils, il lui prit envie de voir sa maîtresse, pour tirer d'elle quelque lumière. Il monte à l'appartement, toujours accompagné de ses archers. Nous étions prêts à nous mettre au lit. Il ouvre la porte et il nous glace le sang par sa vue. " Oh! Dieu c'est le vieux G...M..., dis-je à Manon." |
NOTES: | [( Page & Partie) II, 152] Cette arrestation a été précédée d'une autre, dans la première partie (p. 78). G...M... avait alors pris la résolution de faire arrêter Manon et Des Grieux et de les traiter "moins comme des criminels que comme des fieffés libertins." (p. 78 GF) |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut. Garnier/Deloffre-Picard: Paris, 1990. |
CHERCHEUR/E: | Baider F., Marsal H., Weil M. |