OCCURRENCE: | 104014 accreditee |
CONTEXTE: | Lors du sac de Nègrepelisse, Pontis prend sous sa garde une jeune fille de 17 ans 'parfaitement belle' qui est sortie se mettre sous sa protection. Sachant que les plus importants de de son armée convoitent la jeune fille qu' il a cachée dans le campement même, il imagine de la dissimuler à l'intérieur d'une génisse " tuée le jour de devant". Après ces péripéties, il la rendra à ses parents. |
NOTES: | [(Page&tome) 349-354, XXXI] |
SOURCE: | Potocki (Comte), Manuscrit trouvé à Saragosse (Le). 1805.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 305351 accreditee |
CONTEXTE: | Julie prévient St. Preux que leur amour doit rester secret car il y a peu de chances que ses parents acceptent un mariage entre eux à cause de leur différence de condition sociale. |
COTEXTE ET CITATION: | Je vois clairement que ma mère a conçu des soupçons et qu’elle nous observe. Mon père n’en est pas là, je l’avoue : ce fier gentilhomme n’imagine même pas qu’un roturier puisse être amoureux de sa fille ; mais enfin, tu sais ses résolutions ; il te préviendra si tu ne le préviens, et pour avoir te conserver le même accès dans notre maison, tu t’en banniras tout à fait. |
NOTES: | T. I, p. 152 ; voir aussi p. 221-222 et 224 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305568 accreditee |
CONTEXTE: | La Desmares, qui a un autre amant, fait la malade pour échapper au prince dont elle était la maîtresse. |
COTEXTE ET CITATION: | C'est que la Desmares a fait dire au Prince qu'elle étoit malade, & je m'imagine qu'il n'est ici que par désespoir. |
NOTES: | P. 94-95. Voir aussi p.300 : Est-ce que vous ne savez pas que quant une dame est indisposée, elle n'y est jamais. Assurément, & c'est le Médecin sans doute ou l'Apothicaire que j'ai vu fuir par cette porte. Que vous importe; dites seulement au Prince que je suis malade, & que je ne reçois personne. |
SOURCE: | Varenne, Jacques (de), Mémoires du Chevalier de Ravanne. Amsterdam: Aux dépens de la Compagnie, 1782. |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305807 accreditee |
CONTEXTE: | Crispiane aime Ramirez qui la dédaigne, tandis qu'elle est indifférente à l'amour de Cilevio qui imagine un subterfuge pour la séduire. |
COTEXTE ET CITATION: | En somme il cajolla si bien Crispiane, ayant non seulement la face, mais encore la voix de Ramirez, enquoi la fascination estoit double en l'oreille & en la veuë de cette fille trompée, qu'il la tenoit en opinion de posseder celui pour qui elle avoit tant de passion. |
NOTES: | Page 116. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305828 accreditee |
CONTEXTE: | Gordian s'imagine avoir été trahi par sa femme. |
COTEXTE ET CITATION: | Lui ayant apporté de la poison dans une tasse, & tenant une dague de l'autre main, il luy fit une longue reproche des faveurs qu'il lui avoit faites, de l'amour qu'il lui avoit portée , & de ses desloyautez, ingratitudes & perfidies, dont il se disoit estre asseuré par le témoignage de ses propres yeux, à raison de quoi, sans vouloir, ny recevoir, ny entendre les excuses de cette éplorée , il lui commanda de choisir promptement l'un ou l'autre genre de mort, du fer ou du venin. |
NOTES: | Page 196. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |