OCCURRENCE: | 305394 accreditee |
CONTEXTE: | Dans la 6ème histoire des Illustres Françaises, Des Frans a rencontré Silvie et a tenu un enfant avec elle. Il la revoit quelques fois et l'invite avec sa tante et ses voisines à une promenade et un dîner hors de Paris. Les 15 jours de lit permettront à Des Frans de voir continuellement Silvie avant de se déclarer. |
COTEXTE ET CITATION: | « Silvie fit un faux pas sur les degrés de l'auberge en descendant ; mon empressement fit voir la part que je prenais à ce qui lui arrivait [---]. Le pied lui enfla beaucoup ; et elle fut obligée de rester dans son lit, où je l'avais portée, pendant plus de quinze jours. |
NOTES: | p. 379. |
SOURCE: | Challe Robert, Illustres Françaises (Les). Paris: Le Livre de Poche, 1996.Éd. Fr. Deloffre et J. Cormier |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 104894 accreditee |
CONTEXTE: | Evandre parle. |
COTEXTE ET CITATION: | [La bataille] se donna la plus sanglante que peut-être ait jamais été donnée. De quarante mille hommes dont nôtre armée étoit composée, il en demeura quinze mille sur la place, et plus de douze mille furent mis hors de combat. Il est vrai que le champ de bataille nous demeura, et que le carnage des ennemis fut si grand, qu'on peut dire qu'ils furent tous taillez en pieces. Il fut horrible en effet, interrompit Simas. Je sçai toutes ces choses comme si j'en avois été le témoin, et j'ai appris que de quinze mille Arcadiens qui étoient en cette occasion, il n'en resta pas trois mille en état de combattre. |
NOTES: | [(Page & Tome) 278, I] Cie des Libraires p. 60 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 102820 accreditee |
CONTEXTE: | Zelmatide découvre un Inca, prisonnier des Mexicains. Ce prisonnier est enchaîné dans un cachot souterrains depuis quinze ans. |
COTEXTE ET CITATION: | <CITATION>Une grosse chaîneCITATION>", " <CITATION>les bras liés derrière le dosCITATION>. |
NOTES: | [(Tome& Lettre& Page) I, 4, 657-658] |
SOURCE: | Gomberville (Marin le Roy), Polexandre. Augustin Courbé: Paris, 1637.Le texte est accessible par Google Plus. |
CHERCHEUR/E: | Bertaud M. |
OCCURRENCE: | TT103394 CHANTIER |
CONTEXTE: | "Ce même soir, on présente Narcisse aux orgies [...] on lui enfonce une aiguille brûlante dans le canal de l'urêtre[...] Pendant la nuit, le duc et Curval[...] descendent Augustine au caveau[...] On l'ouvrit, on lui brûla les entrailles dans le ventre même, et on passa une main armée d'un scalpel qui fut lui piquer le coeur en dedans, à différentes places. Ce fut là qu'elle rendit l'âme. Ainsi périt à quinze ans et huit mois une des plus célestes créatures qu'ait formée la nature, etc. Son éloge". |
NOTES: | [(Page & Tome & Partie) 289-91, 2, 4] Le 24 février. Permier assassinat détaillé des Cent vingt journées: il commence donc par une orgie où le premier sujet subit le travail de l'aiguille, et se termine avec une figure précédemment dérivée de la première (cf. passion 43, quatrième partie). Quatre victimes sont torturées avant le massacre d'Augustine, dont le catalogue des mutilations semble avoir remplacé la liste de ses qualités. Son éloge, quoiqu'annoncé, n'est pas fait. |
SOURCE: | Sade (Marquis de), Cent vingt journées de Sodome (Les)ou l. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Martin C. |
OCCURRENCE: | 104128 accreditee |
CONTEXTE: | Anténor, sur son lit de mort, à Ardélie. |
COTEXTE ET CITATION: | Mais le Ciel qui a toûjours pris à tâche de renverser tous mes desseins, me fit tomber entre les mains des Pirates de la mer du Levant, qui sont ennemis jurez de ceux de la mer de Sicile, et qui m'ont retenu quinze ans durant à leur service, sans qu'il m'ait été possible d'obtenir ma liberté d'eux, avant le tems destiné pour cette longue servitude. |
NOTES: | [(Page & Tome) 364, 1] Cie des Libraires p. 403. |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104912 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Les troupes de Nicostrate étoient campées à quinze ou vingt milles de ses portes [de la ville de Mégare], à côté du Hameau où le Prince [Evandre] étoit enfermé, et il étoit à craindre que si on sortoit pour attaquer les Lignes, l'armée du Tyran ne fermât le chemin de la retraite; et qu'ainsi on ne hazardât d'être taillé en pièces, sans délivrer le prisonnier. |
NOTES: | [(Page & Tome) 385, I] Cie des Libraires p. 487 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |